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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Mardi 23/07/2025 |
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-Arrivée à Rome du Président Abdelmadjoid Tebboune en visite officielle en Italie. Le ministre italien de la Défense, Guido Crosetto, ainsi que Javier Domingo Fernandez Gonzalez, directeur du protocole de Sa Sainteté le Pape Léon XIV, ont accueilli le président Tebboune à son arrivée à l’aéroport international Léonard de Vinci de Rome-Fiumicino................................................
-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s'est entretenu en tête à tête, ce mercredi à Rome, avec son homologue italien, Sergio Mattarella et ce, dans le cadre de la visite officielle qu'il effectue dans ce pays ami.
Auparavant, un accueil officiel a été réservé au président de la République au Palais du Quirinal, par le Président Mattarella, conformément aux usages et traditions protocolaires italiens.................................. Les entretiens entre le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et son homologue italien, Sergio Mattarella, tenus ce mercredi à Rome, ont été élargis aux membres des délégations des deux pays.
Auparavant, un accueil officiel a été réservé au président de la République au Palais du Quirinal, par le Président Mattarella, conformément aux usages et traditions protocolaires italiennes.
Après avoir écouté les hymnes nationaux des deux pays, les deux Présidents ont passé en revue un détachement de la Garde républicaine italienne, qui leur a rendu les honneurs.
Le président de la République était arrivé, mardi , dans la capitale italienne, Rome, à la tête d'une importante délégation pour une visite officielle dans ce pays ami, au cours de laquelle il présidera, du côté algérien, les travaux de la 5e session du sommet intergouvernemental algéro-italien de haut niveau.
Cette visite revêt une importance particulière dans la consolidation des liens d'amitié historique et le renforcement des relations bilatérales dans plusieurs domaines entre les deux pays amis........................................
-Les travaux du forum d'affaires algéro-italien ont débuté, ce mercredi matin, dans la capitale italienne, Rome et ce, dans le cadre de la visite officielle du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, en République d'Italie.
Ce forum est coprésidé par le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, et le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République italienne, Antonio Tajani.
Après avoir écouté les hymnes nationaux des deux pays, les deux Présidents ont passé en revue un détachement de la Garde républicaine italienne, qui leur a rendu les honneurs.
Le président de la République est arrivé, mardi soir à Rome, à la tête d'une importante délégation pour une visite officielle en République italienne, pays ami, au cours de laquelle il présidera, du côté algérien, les travaux de la 5e session du Sommet intergouvernemental algéro-italien de haut niveau.
Cette visite revêt une importance particulière pour le raffermissement des liens d'amitié historiques et le renforcement des relations bilatérales dans plusieurs domaines entre les deux pays amis........................................................
- Le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau, a pris une série de mesures restrictives visant de hauts responsables algériens, notamment pour tenter de faire pression sur les autorités algériennes pour accepter la liste des ressortissants jugés dangereux par Paris.
Après avoir affirmé vouloir « changer de ton avec Alger » et cesser « la diplomatie des bons sentiments« , le ministre de l’Intérieur français a déclenché, lundi soir 23, selon la presse française, une salve de mesures restrictives ciblant directement des hauts responsables algériens.
L’objectif de ces restrictions est de faire pression sur Alger, pour qu’elle accepte le retour de ses ressortissants en situation irrégulière, que les autorités françaises jugent dangereuses.
Selon Paris Match, le locataire de la place Beauvau a déclenché, lundi, une série de restrictions qui vise directement une quarantaine de personnalités algériennes, issues de la sphère politique, économique et militaire. Ces dernières ne bénéficieront plus des avantages diplomatiques habituellement accordés pour leurs séjours en France. Ce nombre devrait rapidement atteindre les 80 personnes.
Cette démarche s’inscrit dans une stratégie de « riposte graduée« , annoncée précédemment par Paris et défendue pendant plusieurs mois par Bruno Retailleau. Le ministre justifie cette pratique par « le refus persistant » qu’il attribue aux autorités algériennes de délivrer les autorisations consulaires nécessaires pour le retour des ressortissants en situation irrégulière en France.
Parmi les leviers envisagés par Bruno Retailleau figure aussi la remise en cause des accords bilatéraux de 1968, qui régissent le statut migratoire spécifique aux Algériens en France. Ce cadre qui règlemente le séjour, la circulation et le regroupement familial liés aux ressortissants algériens à l’hexagone. Cependant, cet accord est fréquemment critiqué par l’extrême droite française qui le qualifie de « déséquilibré« .
Il est important de préciser que ce n’est pas la première fois que des mesures ciblent certains hauts responsables algériens. En effet, le gouvernement français avait déjà prononcé de telles restrictions en février dernier..........................................................
--Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis en avant, mercredi à Rome, les performances de l'économie algérienne, qualifiant l'Italie de "partenaire essentiel et sérieux" dans l'accompagnement de la dynamique économique ambitieuse de l'Algérie au service de leurs intérêts mutuels.
Coprésidant avec la présidente du Conseil des ministres italien, Mme Giorgia Meloni, la clôture des travaux du Forum d'affaires algéro-italien, le président de la République a affirmé que la tenue de ce forum "reflète la profondeur des relations historiques et incarne notre engagement à les renforcer davantage et à les hisser au niveau escompté".
Il a, dans ce cadre, rappelé que l'économie algérienne, dans différents secteurs, connaît "une grande dynamique, comme en témoigne le bilan positif réalisé au cours des dernières années", avec des indicateurs "parmi les meilleurs dans la région méditerranéenne".
Il a, à cet égard, cité "la croissance économique, la diversification de l'économie et la maîtrise des grands équilibres", qui, a-t-il dit, "démontrent l'efficacité des mesures prises pour parvenir au modèle en vigueur dans les pays classés comme émergents en Europe".
Après s'être arrêté sur "la stabilité politique et institutionnelle" dont jouit l'Algérie, le président de la République a mis en exergue le développement que connaissent les infrastructures, soulignant que l'Algérie, qui dispose du "plus grand réseau routier en Afrique", ambitionne de réaliser "le plus grand réseau de transport ferroviaire du continent".
Il a également indiqué que l'Algérie dispose de 24 aéroports, en plus du capital humain. "Grâce à son capital humain et à sa jeunesse ambitieuse, l'Algérie offre de véritables opportunités d'investissement dans divers domaines, tels que les énergies renouvelables, les industries pharmaceutique et de transformation, la transformation numérique, les mines, l'agriculture, le tourisme et le développement des services financiers", a-t-il dit.
Concernant les opportunités de coopération bilatérale, le président de la République a rappelé que pour l'Algérie, l'Italie est "un partenaire essentiel et sérieux dans l'accompagnement de la dynamique économique ambitieuse de notre pays, au service des intérêts mutuels, à travers la coopération fructueuse et l'échange d'expertises", soulignant que l'Italie "compte parmi nos partenaires les plus fiables".
"Je souhaite réaffirmer ici notre volonté de relancer l'industrie sur des bases durables qui permettent de répondre, dans un premier temps, aux besoins du marché national, pour ensuite nous tourner vers l'exportation", a déclaré le président de la République.
"Nous souhaitons bénéficier de l'expérience italienne, reconnue mondialement, qui a fait de l'Italie la deuxième puissance économique en Europe, notamment s'agissant de l'écosystème des zones industrielles", a poursuivi le président de la République.
S'adressant aux opérateurs économiques des deux pays, il les a invités à "s'appuyer sur le capital des relations historiques entre les deux pays et sur la dynamique que connaissent leurs entreprises stratégiques, en vue de renforcer le partenariat selon le principe gagnant-gagnant", tout en "tirant parti des complémentarités dans divers secteurs, notamment la réalisation des grands projets, l'extension du réseau ferroviaire dans le Grand Sud sur 8.000 km, la valorisation des matières premières et la numérisation".
En conclusion, le président de la République a salué les projets bilatéraux concrétisés dans le domaine des hydrocarbures, dont le dernier contrat signé entre la société italienne ENI et le groupe Sonatrach d'une valeur de "plus d'un milliard de dollars".
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