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Informatique (et Technologies de l'Information et de la Communication)

Journée du Samedi 11/05/2025

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-Un hashtag « sawrih wa echeki » a enflammé les réseaux sociaux notamment sur la plateforme Tiktok. Ce hashtag vise à dénoncer ce fléau qui devient persistant dans les rues publiques, en incitant les femmes à publier des vidéos des harceleurs sur les réseaux afin de diminuer ce phénomène. Dans l’univers foisonnant des médias sociaux, les hashtags de ces femmes se révèlent être des catalyseurs puissants propulsant les voix féminines au-delà des frontières numériques. Certains sociologues voient que les hashtags, qui fleurissent sur les réseaux sociaux, sont un moyen de mettre en lumière des voix si longtemps étouffées dans l’espace public. La politique du hashtag est révélatrice de ce bouleversement : les réseaux sociaux font entendre ce qui reste inaudible dans l’espace public dominant. Les hashtags sont un moyen parmi d’autres. Ce cri d’alarme numérique est ambivalent, où des femmes algériennes dénoncent les agressions verbales dans les rues publiques. Le hashtag permet une prise de conscience partagée contre une oppression qui, sans cela, serait subie. Abdelhafid Cortel, avocat, a mis en évidence que la loi algérienne criminalise l’acte de publication que ça soit avec des photos ou des vidéos dans des places privées ainsi que la publication des appels téléphoniques secrets. Le trend ne doit pas être publié sur les réseaux sociaux mais signaler aux autorités concernées afin d’assurer la sécurité de la victime et punir les coupables.