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Energie (et Mines)

Mois du 11/2025

novembre 2025

aujourd'hui

17-11-2025
-Le coup d’envoi de la première édition du Salon international de l’électricité et des énergies renouvelables, «Electricity Algeria Expo», a été donné, au palais des Expositions de la Safex, à Alger. L’événement, qui se poursuivra jusqu’au 19 novembre, a été inauguré par le ministre de l’Énergie et des Énergies renouvelables, Mourad Adjal, accompagné du ministre de l’Industrie, Yahia Bachir, du ministre de l’Économie de la connaissance, des Start-up et des Microentreprises, Nouredine Ouadah, ainsi que du directeur général de l’Agence algérienne de développement et de l’investissement, Omar Rekkache........................ -Les cours du pétrole se sont maintenus, après des hausses enregistrées les jours précédents. Dans la matinée, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en janvier, lâchait tout juste 0,08% à 64,34 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en décembre, refluait à peine de 0,03% à 60,07 dollars....................... -Sonatrach et la société chinoise Sinopec Guangzhou Engineering Co., Ltd ont signé, à Alger, un important contrat portant sur la réalisation d’une unité d’hydrotraitement et de reforming (type CCR) destinée au traitement du naphta lourd au sein de la raffinerie d’Arzew. La cérémonie s’est tenue au siège de la direction générale de Sonatrach, en présence du ministre d’État, ministre des Hydrocarbures et des Mines, Mohamed Arkab, du président-directeur général du groupe, Noureddine Daoudi, ainsi que de cadres dirigeants des deux parties, a précisé un communiqué de la compagnie nationale. Le projet, conclu en formule EPCC (Engineering, Procurement, Construction and Commissioning), sera entièrement exécuté par Sinopec Guangzhou Engineering. L’unité sera implantée sur une superficie de cinq hectares au sein de la raffinerie et devra être livrée dans un délai de 30 mois. Dotée d’une capacité de traitement de 738.000 tonnes de naphta lourd par an, la future installation permettra de hausser la production d’essence du site d’Arzew, qui passera de 550.000 tonnes à 1,2 million de tonnes annuellement

16-11-2025
-Les prix du pétrole ont enregistré une progression notable, avec un Brent de la mer du Nord qui s’est hissé à 64,39 dollars le baril pour les livraisons de janvier, soit une hausse de 2,19%. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en décembre, a suivi la même tendance, avançant de 2,39% pour atteindre 60,09 dollars. selo Tewfik Hassni, consultant en transition énergétique, la récente hausse du Brent à 64,39 dollars s’explique d’abord par des dynamiques géopolitiques qui dépassent largement les mécanismes classiques de l’offre et de la demande

11-11-2025
-L es prix du pétrole étaient en très légère hausse mardi dans l'attente de plusieurs publications dans la semaine sur l'état du marché. Le baril du Brent de la mer du Nord gagnait 0,45% à 64,35 dollars et celui du WTI nord-américain 0,40% à 60,37 dollars (vers 10H00 GMT).............................. --Selon les prévisions contenues dans le rapport «Perspectives énergétiques» publié par la société française TotalEnergies et repris par l’unité de recherche en énergie de la plateforme spécialisée Attaqa, basée à Washington, la demande mondiale de gaz devrait atteindre 4620 milliards de mètres cubes en 2050, contre 4200 milliards en 2024, soit une augmentation de 10%, soit 420 milliards de mètres cubes de plus en 26 ans. Selon la même source, l’industrie sera le principal moteur de l’augmentation de la demande mondiale de gaz naturel jusqu’en 2050. TotalEnergies estime par ailleurs que la demande mondiale de gaz augmentera à un taux de croissance annuel de 0,4% entre 2024 et 2050. Ainsi, la demande devrait atteindre 4560 milliards de mètres cubes en 2030, puis 4630 milliards en 2040, avant de se stabiliser autour de 4620 milliards d’ici 2050. Le rapport fait ressortir également que la croissance de la demande mondiale de gaz au cours de la période prévisionnelle sera tirée par la dynamique de la Chine, de l’Inde et d’autres pays, compensant un léger recul de la demande des économies de l’OCDE. Par régions, la part des Etats-Unis diminuera pour atteindre 18% d’ici 2050, après avoir représenté environ 21% de la demande mondiale de gaz en 2024, tandis que celle de l’Europe passera de 10 à 8% sur la même période. En revanche, la part de la Chine connaîtra une forte hausse, passant de 10 à 12% entre 2024 et 2050, tandis que celle de l’Inde atteindra 4% d’ici le milieu du siècle, faisant de ce pays l’un des marchés de la demande de gaz à la croissance la plus rapide. Parallèlement, la région du Moyen-Orient continuera de consolider sa position, sa part passant de 15 à 16% sur la même période, selon l’Energy Research Unit. Pour rappel, au début du millénaire, la demande de gaz était estimée à environ 2450 milliards de mètres cubes, avant de bondir de près de 71%, selon les estimations du groupe énergétique

06-11-2025
-L’Algérien Farid Ghezali a été élu, mardi 4 , à Brazzaville (Congo), à la majorité, nouveau secrétaire général de l’Organisation des producteurs de pétrole africains (APPO), indique un communiqué du ministère des Hydrocarbures et des Mines.

03-11-2025
-L’OPEP + vient de décider d’un relèvement collectif de la production de 137.000 barils par jour pour le mois de décembre. La part de l’Algérie dans cette augmentation sera de 4.000 barils par jour pour le même mois. Au regard de l’évolution des conditions du marché pétrolier au cours des prochains moins, les ministres ont également convenu de marquer une pause dans les hausses graduelles de production entre le 1er janvier et le 31 mars 2026. Dans un communiqué, le ministère des Hydrocarbures et des Mines évoque un «ajustement graduel» qui reflète une approche prudente et coordonnée qui tient compte des besoins du marché et permettra de préserver la cohérence des efforts entrepris et d’assurer un suivi attentif de l’évolution du marché.

02-11-2025
-L’Opep+ a annoncé ce dimanche une légère hausse de sa production de pétrole pour le mois de décembre, avant de suspendre toute augmentation durant le premier trimestre de 2026. Cette décision intervient dans un contexte marqué par la crainte d’un excédent d’offre sur le marché mondial. Le groupe, qui réunit les pays de l’Opep, la Russie et plusieurs autres producteurs, avait relevé depuis avril dernier ses objectifs de production d’environ 2,9 millions de barils par jour, soit près de 2,7 % de la demande mondiale. Cependant, face aux signes d’une possible surabondance, l’Opep+ a commencé à ralentir le rythme de ces hausses depuis octobre. L’organisation cherche à renforcer sa position face à ses concurrents, notamment les producteurs américains. Mais cette stratégie se heurte aux sanctions occidentales visant la Russie à la suite de l’invasion de l’Ukraine. Les mesures prises par les États-Unis et le Royaume-Uni contre les deux principales compagnies pétrolières russes, Rosneft et Lukoil, pourraient limiter la capacité de Moscou à accroître sa production. Selon la décision annoncée dimanche, huit pays membres – l’Arabie saoudite, la Russie, les Émirats arabes unis, l’Irak, le Koweït, Oman, le Kazakhstan et l’Algérie – ont convenu d’augmenter leurs objectifs de production de 137 000 barils par jour en décembre, comme pour les mois d’octobre et de novembre. « Au-delà de décembre, pour des raisons saisonnières, les huit pays ont également décidé de mettre en pause les incréments de production en janvier, février et mars 2026 », indique un communiqué de l’Opep+. Le groupe souligne que la période allant de janvier à mars correspond traditionnellement à un ralentissement de la demande de pétrole. Des décisions similaires avaient déjà été prises les années précédentes.