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Commerce

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  • 28-04-2025
    -Dans le but de réguler les prix de certains aliments ayant connu des fluctuations exagérées et injustifiées, le ministère du Cmmerce intérieur et de la Régulation du marché est passé à la vitesse supérieure, en plafonnant les prix de ces derniers. A savoir, ceux de la viande, des pommes, des bananes, des pommes de terre ainsi que la tasse de café. C'est ce qui a été précisé dans une des directives envoyées par la direction locale du Commerce de la wilaya d'Alger, à l'instar des autres directions, à l'ensemble des opérateurs du commerce. Invitant les commerçants et les opérateurs concernés à appliquer le plafonnement décidé des cinq produits cités. C'est ainsi que le prix de la pomme de terre ne doit pas dépasser les 100 Da le kilogramme, la banane les 400 dinars le kilogramme, la pomme entre 350 et 450 dinars le kilogramme. Pour ce qui est de la viande d'agneau, son prix ne doit pas, selon le plafonnement fixé, dépasser les 2.500 DA le kilo. Le prix d'une tasse de café a été fixé à 30 dinars.
  • 13-04-2025
    -L'Exposition universelle 2025 a ouvert ses portes ce dimanche à Osaka, où sont représentés quelque 160 pays et régions, un rendez-vous placé par le Japon sous le signe des technologies d'avenir et de la concorde dans un monde "confronté aux divisions"............................. - L'Algérie prend part, à partir dece dimanche, à l'exposition universelle Expo 2025 Osaka-Kansai prévue au Japon jusqu'au 13 octobre 2025 sous le thème "Concevoir la société du futur, imaginer notre vie de demain". Cette présence stratégique à l'Expo 2025, sous la direction du commissaire de la participation algérienne, Abdallah Bouguendoura, vise à mettre en avant l'aspect civilisationnel et culturel et le potentiel économique de l'Algérie, à travers la contribution active de plusieurs secteurs ministériels et établissements nationaux et la participation d'acteurs du monde artistique et culturel. Le stand algérien accueillera diverses manifestations et activités, dont des expositions visant à faire connaître les secteurs participant à l'exposition, notamment les Affaires étrangères, l'Intérieur et les Collectivités locales, l'Energie, la Culture et les Arts, la Poste et les Télécommunications, l'Industrie, l'Industrie pharmaceutique, l'Agriculture, l'Habitat, le Commerce, les Transports, le Tourisme et l'Artisanat, la Santé, l'Hydraulique et l'Environnement. Il abritera également des conférences et des rencontres consacrées aux opportunités d'investissement et de partenariat avec différents acteurs économiques présents, ainsi que des représentations artistiques et culturelles de troupes algériennes des différentes régions du pays pour faire connaître la diversité culturelle et la richesse du patrimoine de l'Algérie. L'Expo 2025 Osaka-Kansai devrait accueillir plus de 28 millions de visiteurs et participants du monde entier, offrant ainsi à l'Algérie une occasion en or pour renforcer sa présence sur la scène internationale et tisser de nouveaux partenariats dans divers domaines. Pour rappel, l'Algérie a pris part aux expositions universelles et internationales de Montréal (1967), d'Osaka (1970), de Séville (1992), de Lisbonne (1998), de Saragosse (2008), de Shanghai (2010), de Yeosu (2012), de Milan (2015), d'Astana (2017) et de Dubaï (2020).................................. -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé, dimanche à Alger, la création, en mai prochain, de deux nouvelles instances, l'une chargée de réguler et d'encadrer les importations, et l'autre chargée d'encourager les exportations, précisant que les opérations d'exportation ne se feront plus via l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (ALGEX). "Après cette rencontre, j'instruirai le gouvernement de créer deux instances: l'une chargée de l'importation, qui sera renforcée par un système de veille pour contrôler l'activité des importations, et l'autre chargée de la régulation des exportations et de l'accompagnement des exportateurs", a déclaré le président de la République dans son allocution à l'ouverture de la 2e édition de la Rencontre nationale avec les opérateurs économiques. Par cette nouvelle mesure, "l'exportation ne se fera plus via l'ALGEX", a-t-il affirmé, révélant qu'"avant la fin du mois de mai, les deux instances seront créées".
  • 12-04-2025
    -En pleine escalade des droits de douane entre Washington et Pékin, les États-Unis ont décidé, samedi, d'exempter les smartphones et les ordinateurs des récentes surtaxes douanières imposées par Donald Trump, selon une notice du service des douanes.
  • 07-04-2025
    -«Le secteur industriel en Algérie connaît un développement remarquable grâce à la politique de soutien apportée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, au bénéfice des producteurs locaux, en particulier dans le domaine des industries alimentaires, qui constituent l'un des piliers fondamentaux des industries de transformation dans le pays», a indiqué, hier lundi, Abderraouf Bouhbila, membre du Conseil du Renouveau économique algérien (CREA). Intervenant sur les ondes de la Radio nationale, Abderraouf Bouhbila, a expliqué que «le CREA est en mesure de relever le grand défi annoncé par les Autorités publiques, qui est celui d'atteindre l'objectif de 30 milliards de dollars d'exportations hors hydrocarbures à l'horizon 2030». L'invité de la Radio a également estimé que le Conseil du Renouveau économique algérien «est prêt à relever ce défi, grâce aux mesures incitatives prises par le président de la République, qui ont renforcé la confiance des investisseurs dans divers secteurs industriels nationaux, et ont contribué directement à l'amélioration de la qualité des produits alimentaires algériens, ce qui les rend plus compétitifs à l'international». Et d'ajouter : «les industries alimentaires représentent aujourd'hui «la part du lion dans la production industrielle algérienne, et le produit local est devenu prisé et demandé avec force sur de nombreux marchés internationaux, notamment l'Europe, le Canada et les États-Unis d'Amérique». Le membre du CREA a également indiqué que «l'Algérie consomme aujourd'hui ce qu'elle produit localement, grâce au soutien des pouvoirs publics, dirigé essentiellement vers l'investissement dans la filière des industries alimentaires, en particulier dans les matières premières, ce qui met le pays à l'avant-garde des pays attractifs pour investir dans le secteur industriel d'une manière globale», a-t-il souligné.
  • 06-04-2025
    -L'édition 2025 du Salon professionnel de la production agroalimentaire (Djazagro) se tiendra du 7 au 10 avril prochain au Palais des expositions Pins maritimes (Alger) avec la participation de 650 exposants nationaux et internationaux, ont indiqué, dans un communiqué, les organisateurs de cette manifestation. Cette nouvelle édition sera «l'occasion de mettre en lumière les avancées les plus marquantes du secteur et d'offrir aux 650 exposants représentant 36 pays, comme aux 23.000 visiteurs attendus, un cadre propice aux échanges et au développement commercial, avec une attention particulière à un maillon clé de la filière: l'emballage», a précisé la même source. Co-organisé par les entreprises Comexposium et Promosalons Algérie, cet évènement professionnel est dédié exclusivement aux exposants fabricants, dont 25% sont des fabricants algériens et 75% de pays étrangers, principalement venant d'Italie, de Chine, de la France et de la Turquie. Ces exposants activent dans les secteurs d'activités représentatifs de l'industrie agroalimentaire, notamment le conditionnement et emballage, matériels et équipements pour process agroalimentaire, boulangerie et pâtisserie, manutention et stockage, hôtellerie et restauration, transformation des aliments, produits alimentaires et boissons, ainsi que les matières premières, ingrédients et additifs. Cette année, Djazagro mettra l'accent particulièrement sur l'importance de la filière de l'emballage
  • 05-04-2025
    -Une grande partie des produits que les États-Unis importent du reste du monde sont visés depuis ce samedi par des droits de douane additionnels de 10 %. "Tenez bon", a lancé Donald Trump sur sa plateforme Truth Social alors que les Américains s'inquiètent pour leur pouvoir d'achat face aux risques d'inflation. D'autres hausses massives de droits de douane doivent prendre effet dès la semaine prochaine. Ces droits de douane de 10 % visent une grande partie des produits que les États-Unis importent du reste du monde, certains biens étant toutefois exemptés pour l'heure : pétrole, gaz, cuivre, or, argent, platine, palladium, bois de construction, semiconducteurs, produits pharmaceutiques, ou encore minéraux introuvables sur le sol américain. L'acier, l'aluminium et les voitures importés ne sont pas non plus concernés, mais ils sont déjà visés par un taux de 25 % de taxes douanières. Et le Canada et le Mexique, soumis à un autre régime, paient déjà un nouveau tribut à la guerre commerciale initiée par le président américain. L'addition sera nettement plus lourde dès le 9 avril pour les pays qui exportent plus vers les États-Unis qu'ils n'importent de produits américains. +54 % au total pour la Chine (visée en plusieurs temps), +20% pour l'Union européenne (UE), +46% pour le Vietnam, +24% pour le Japon... Cela représentera quelque 80 pays et territoires, en comptant les 27 pays du bloc européen, selon un document officiel publié vendredi par le gouvernement américain. Le Bangladesh a convoqué une réunion d'urgence samedi pour répondre aux craintes du secteur textile de son pays, deuxième plus grand fabricant de vêtements au monde qui exporte 20% de ses produits prêts à l'emploi aux États-Unis. La liste des plus taxés a été raccourcie : elle ne comprend plus les îles françaises de Saint-Pierre-et-Miquelon - que la Maison Blanche avait présentées comme étant visées par +50 % de droits de douane -, ni les territoires australiens des îles Heard et McDonald, dans la région subantarctique, qui abritent seulement des colonies de manchots. Leur présence avait suscité un mélange de stupéfaction et de moqueries concernant la méthodologie de l'administration américaine. L'ONU commerce et développement (Cnuced) s'est inquiétée vendredi de trouver toujours dans la liste les pays plus pauvres de la planète. L'organisation internationale a souligné que les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement n'étaient responsables, respectivement, que de 1,6 % et 0,4 % du déficit commercial américain.L'annonce mercredi de Donald Trump, justifiée par l'"urgence nationale" de réduire le déficit américain, a foudroyé l'économie mondiale. Les barrières douanières promises seront aussi hautes, selon les économistes, que dans les années 1930 aux États-Unis, à une époque où les flux étaient éminemment plus faibles et les pays moins dépendants de la production des autres. Face à la riposte annoncée par Pékin (+34 % sur les produits américains dès le 10 avril) et aux craintes d'une spirale négative pour l'économie mondiale, les marchés financiers se sont effondrés. En deux jours, Wall Street a vu s'envoler plus de 6 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, selon l'indice Dow Jones US Total Stock Market. Exhorté vendredi par Donald Trump à baisser les taux d'intérêt, le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) a brossé un tableau plutôt sombre des perspectives pour l'économie américaine, avec les droits de douane : potentiellement plus d'inflation, moins de croissance et davantage de chômage. - Les marchés mondiaux ont succombé à l'affolement, vendredi 4, les investisseurs laissant éclater leurs craintes quant à l'état de l'économie américaine en raison de la vaste offensive commerciale lancée par le Président américain Donald Trump à laquelle a répondu la Chine. Après une séance chaotique, jeudi, les Bourses mondiales ont continué de plonger vendredi après les annonces de Pékin imposant en réponse aux mesures américaines des droits de douane de 34% sur toutes les importations de biens américains à partir du 10 avril. À Wall Street, le Dow Jones a perdu 5,50%, l'indice Nasdaq a fondu de 5,82%, soit une chute de 22% depuis son record en décembre dernier, et l'indice élargi S&P 500 a lâché 5,97%, sa pire séance en Bourse depuis la crise du Covid-19 en 2020. En deux jours, la place américaine a laissé s'envoler plus de 6.000 milliards de dollars de capitalisation boursière, selon l'indice Dow Jones US Total Stock Market. En Europe, la Bourse de Paris a dévissé de 4,26%, effaçant tous ses gains de l'année, peu après avoir perdu plus de 5%. Les Bourses de Francfort et Londres ont toutes deux chuté de 4,95% et Milan de 6,53%, leurs plus fortes chutes depuis le début de la pandémie de Covid-19 en mars 2020. La Bourse suisse a dégringolé de 5,14% et Madrid de 5,83%. Les cours du pétrole, très sensibles aux évolutions de la consommation mondiale, ont été touchés de plein de fouet, évoluant à leur plus bas niveau depuis quatre ans. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a perdu 6,50%, à 65,58 dollars, son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), a chuté de 7,41% à 61,99 dollars.
  • 04-04-2025
    -Pékin va imposer des droits de douane de 34% sur tous les produits importés des États-Unis à partir du 10 avril, a annoncé vendredi le ministère chinois des Finances. L’Algérie figure parmi les 180 pays concernés par la révision des tarifications douanières américaines, en se voyant imposer un taux de 30% de droits de douane sur tous ses produits exportés vers les Etats-Unis, contre un taux de 18,9% appliqué jusqu’à aujourd’hui. L’Algérie est le quatrième pays fortement taxé par la nouvelle administration américaine, après la Syrie (41%), l’Irak (39%), la Libye (31%). La Tunisie est taxée à hauteur de 28%, la Jordanie 20%, l’Egypte, les pays du Golfe, le Liban et le Maroc sont pour leur part taxés à 10%.
  • 03-04-2025
    -Les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis ont cherché la parade jeudi face au coup de massue infligé par Donald Trump avec les droits de douane, qui a provoqué un vent de panique sur les marchés. Le président américain a balayé les inquiétudes jeudi. "L'économie avait beaucoup de problèmes... C'était un patient malade, (elle) va finir en pleine forme", a-t-il assuré devant la presse, à bord d'Air Force One. Le Fonds monétaire international (FMI) a néanmoins fait part de son inquiétude. Les annonces de Donald Trump "constituent manifestement un risque important pour les perspectives mondiales, dans une période de croissance molle", a averti sa directrice, Kristalina Georgieva. Et dans l'immédiat, c'est la gueule de bois à Wall Street, où les ménages américains placent massivement leur épargne. Des milliards de dollars d'actions sont partis en fumée: -5,97% pour l'indice Nasdaq, -4,84% pour l'indice de référence S&P 500, leur pire séance depuis 2020, lors du premier mandat de Donald Trump. Les entreprises fuies par les investisseurs sont celles dont le modèle de production est en péril en raison de leur dépendance aux importations en provenance d'Asie. Comme l'habillement (Gap, -20,38%) ou la tech (Apple, -9,25%). Les nouveaux droits de douane sont particulièrement punitifs pour la Chine (qui, précédemment visée, verra au total les taxes sur ses produits augmenter de 54%), le Cambodge (+49%), le Vietnam (+46%) ou encore le Bangladesh (+37%).