- Le Centre de recherche et de développement de l'électricité et du gaz (CREDEG) relevant du groupe Sonalgaz  obtient le certificat d’accréditation qui lui a été délivrée par l’organisme ALGERAC, lors d’une cérémonie organisée à la salle de conférence du CBA à Ben Aknoun (Alger).
Qu’est-ce que l’accréditation ? C’est une attestation délivrée par une tierce partie, ayant rapport avec un organisme d'évaluation de la conformité constituant une reconnaissance formelle de la compétence de ce dernier à réaliser des activités spécifiques d'évaluation de la conformité. Elle a pour objet, après évaluation, d'attester que des organismes sont capables    techniquement : de réaliser des analyses, des étalonnages ou des essais, de procéder à des actions d’inspection, ou à des actions de certification (de produits, services, systèmes qualité ou de personnes).            Â
- Double anniversaire de la création de l'UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures (commémoré à l'Université de Tébessa) . Message du Préisdent de kla Républqiue mlu par Mohamed Ali Boughazi, conseiller
- Ouverture, à Oran, de la Conférence de Haut niveau de la croissance verte. Discours d'ouverture de A. Sellal. Présence de Nicolas Hulot (France) et d'Arnold Schartzenegger (USA)
- Signature de contrats de réalisation de six centrales électriques en cycle combiné dans six wilayas
- La presse rapporte que Samsung Engineering Co a "raflé" un contrat de 800 millions de dollars pour la réalisation d'une usine de traitement de gaz dans la région de Timimoun
- La presse rapporte que des révélations (article de la; presse italienne , Il Fatto Quotidiano) sur le PDG du groupe italien ENI, Paolo Scaroni, font référence de manière très forte au duo algérien Chakib Khelil-Farid Bedjaoui.........qui ne voulaient pas de rencontres à Alger , " en raison de la surveillance du DRS"
- Le quotidein parisien Le Parisien , publie une carte déclassifliée de 4 avril 2013, "dans le cadre de l'enquête pénale " déclenchée par les vétérans des campagnes d'essais nucléiares français dans le Sahara au début des années 60 puis en Polynésie dans les années 70. Elle révèle que "les retombées radioactives du premier essai nucléaire français (13 février 1960, Gerboise bleue) dans le Sahara algérien ont été beaucoup plus importantes que celles admises à l'époque (jusqu'à la côte espagnole et la Sicile)
Sur les 13 tirs effectués entre 1961 et 1966, douze ont fait l'objet de fuites radioactives