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Communication ( et Presse)

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  • 28-02-2025
    -Fin d’émission. Comme NRJ12, la chaîne C8 va s’éteindre dans quelques heures, ce vendredi à minuit. Son animateur phare Cyril Hanouna a présenté ce jeudi 27 février le dernier chapitre de son émission « Touche pas à mon poste », qui a fait le succès de la chaîne du groupe Canal+, propriété du milliardaire Vincent Bolloré. Cette issue a été choisie par l’actionnaire après la décision de l’Arcom (validée ensuite par le conseil d’État) de ne pas renouveler la fréquence attribuée à Direct 8 (chaîne devenue C8) il y a 20 ans. Parmi les motivations mises en avant par le gendarme des médias : le chiffre record de 7,6 millions d’euros d’amende cumulés par la chaîne, en raison des dérapages de Cyril Hanouna. Car TPMP, une émission apparue sur France 4 en 2010, transposée sur D8 en 2012 devenue C8 en 2016, a mué au fil des années. À l’origine dédiée au décryptage et à l’actualité des médias, le programme s’est transformé en une véritable machine à « buzz » et à audiences, au prix entre autres d’innombrables polémiques, de propos complotistes ou d’humiliations en tous genres, sur fond de désinformation. Ceci, avant de servir de rampe de lancement aux idées et personnalités d’extrême droite. Le virage de Touche Pas à mon poste vers l’extrême droite est très net à l’approche de la présidentielle 2022. Entre septembre et décembre 2021, pendant la précampagne, TPMP consacre 52,9 % de son temps d’antenne politique au discours nationaliste, selon les travaux de Claire Sécail. Éric Zemmour, qui se déclare candidat fin novembre, occupe à lui seul 44,7 % des discussions consacrées à la politique dans le talk-show.
  • 24-02-2025
    -L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRAV) a appelé, lundi dans un communiqué, les chaînes audiovisuelles à présenter des programmes variés et de qualité durant le mois de Ramadhan, à même de répondre aux attentes du téléspectateur et de l'auditeur algériens, soulignant la nécessité de respecter les spécificités du mois sacré. L'ANIRAV «exprime le souhait de voir les chaînes audiovisuelles présenter, à l'occasion de l'avènement du mois sacré de Ramadhan, des programmes variés et de qualité, à même de répondre aux attentes du téléspectateur et de l'auditeur algériens, de refléter la richesse du legs culturel et civilisationnel de notre pays et de renforcer les valeurs de solidarité et d'entraide qu'incarne le Ramadhan», précise le communiqué. L'Autorité a également appelé à «faire grimper l'audimat des productions et programmes nationaux, au regard de leur rôle essentiel dans la valorisation du patrimoine national et des traditions algériennes authentiques et dans l'ancrage de l'identité culturelle sur la scène médiatique, à même de réaliser un équilibre positif entre le service de divertissement et le contenu instructif». Et de souligner «la nécessité de respecter les spécificités du mois sacré et du référent religieux national, à travers les programmes religieux présentés, en vue de refléter les valeurs de modération et de tolérance». A cette occasion, l'ANIRAV a réitéré son attachement au «professionnalisme et au respect de l'éthique et de la déontologie professionnelles, en se conformant aux textes juridiques et réglementaires, notamment au dernier décret exécutif règlementant les services de la communication audiovisuelle». L'Autorité exhorte les chaînes «à ne pas succomber à l'appât du gain et au sensationnel au détriment des valeurs de l'information, afin de préserver la crédibilité du secteur et la confiance du public», ajoute la même source. Dans ce cadre, l'ANIRAV a rappelé aux chaînes «la nécessité de respecter la durée autorisée des spots publicitaires» et à «adopter des critères internes d'autocontrôle, à même d'assurer l'équilibre entre la liberté de créativité et la responsabilité médiatique et de contribuer à présenter un contenu en cohérence avec la spécificité du mois sacré», conclut le communiqué
  • 12-02-2025
    -L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRAV) a adressé une mise en demeure aux chaînes de télévision El Hayat et Echourouk, suite à une violation de la législation et de la réglementation en vigueur dans le domaine de l'audiovisuel, à travers la diffusion d'informations contenant des "allégations et des données erronées", indique mercredi un communiqué de l'ANIRAV. "Dans le cadre de l'exercice de ses prérogatives de contrôle, conférées par la loi, l'ANIRAV a constaté un manquement des chaînes El Hayat et Echourouk à la législation et à la réglementation en vigueur dans le domaine de l'audiovisuel, à travers la diffusion d'informations économiques, politiques et internationales contenant des allégations, des données mensongères et erronées susceptibles d'induire le public en erreur, sans recourir à des sources diversifiées et crédibles", précise le communiqué. A cet égard, l'Autorité a souligné que "toutes les chaînes de télévision sont tenues de se conformer, dans tous leurs programmes, notamment d'information, aux critères d'objectivité, de vérifier l'exactitude de l'information et de veiller à ce qu'elle soit exempte de toute exagération ou légèreté dans les commentaires liés aux faits et événements publics", estimant que "les deux chaînes n'ont pas veillé au respect de ces principes conformément aux exigences du devoir professionnel, éthique et juridique". "Après avoir écouté les représentants des deux chaînes de télévision concernées en les confrontant aux faits, objet de ces infractions, l'Autorité a décidé de prendre des mesures disciplinaires contre les chaînes El Hayat et Echourouk", ajoute la même source. Par conséquent, les deux chaînes susmentionnées ont été officiellement mises en demeure, ce jour, de se conformer dans un délai de 48 heures à compter de la promulgation de la décision de l'Autorité, aux dispositions de l'article 7 du décret exécutif 24-250 fixant les dispositions du cahier des charges générales imposables aux services de communication audiovisuelle". L'ANIRAV a également averti les chaînes concernées qu'"en cas de non-respect de la mise en demeure dans le délai imparti, des sanctions financières dont elle fixera le montant et le délai, seront prononcées à leur encontre. L'Autorité peut également ordonner la suspension totale ou partielle des programmes objet de l'infraction en application des articles 76 et 77 de la loi n 23-20 relative à l'activité audiovisuelle".......................................... -Au moins 124 journalistes ont été tués dans le monde en 2024, soit l’année la plus meurtrière depuis au moins 30 ans pour la profession, a dénoncé, hier, le Comité de protection des journalistes (CPJ), qui impute la responsabilité à l’entité sioniste dans deux tiers des cas. « La guerre à Ghaza a un impact sans précédent sur les journalistes et témoigne d’une détérioration majeure des normes» occidentales en matière de protection des journalistes «dans les zones de conflit». Ce même Occident qui a laissé l’armée d’occupation sioniste faire le sale boulot. 82 journalistes palestiniens ont été tués à Ghaza et trois sont morts au Liban, « tous aux mains de l’armée israélienne ».
  • 09-02-2025
    -Le journaliste Noureddine Merdaci est décédé dimanche à l'âge de 82 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Le défunt a débuté sa carrière professionnelle en 1965 au quotidien El-Moudjahid où il a exercé plus d'une dizaine d'années avant de rejoindre l'hebdomadaire Algérie Actualités en tant qu'éditorialiste jusqu'en 1990. Après une brève expérience à la tête de la revue Variété Magazine, il est retourné à Algérie Actualités pour diriger la rédaction et en 2020, il a intégré le quotidien L'Expression où il a occupé plusieurs postes de responsabilité. Reconnu pour ses analyses pertinentes sur l'actualité nationale et internationale, Noureddine Merdaci était apprécié pour son humilité, son dévouement et sa rigueur professionnelle.
  • 06-02-2025
    -Le ministère sénégalais de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a publié, ce jeudi, une liste de 258 médias officiellement reconnus par l'Etat, en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Vingt-six télévisons, 28 quotidiens, 30 radios commerciales, 102 radios communautaires, 22 web télés et 48 médias en ligne constituent cette liste qui a été publiée, après une soumission de dossiers sur une plateforme dénommée "Déclaration médias du Sénégal (DMS)". Selon le directeur de la Communication, Habibou Dia, sur 639 médias ayant déposé un dossier, 381 ont été jugés non conformes aux dispositions du Code de la presse. "Les médias qui refusent de se conformer et qui continuent de diffuser tomberont sous le coup de la loi. Ils encourent des sanctions allant jusqu'au retrait de leur signal ou fréquence", a-t-il averti.