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Sports (et Jeunesse)
Journée du Vendredi 10/07/2021 |
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-La JSK s’est vu refuser par les officiels de la Confédération africaine de football (CAF) l’inscription du nom des joueurs en tifinagh, caractères de la langue amazigh, au bas du dos des maillots et a exigé que les noms soient transcrit en latin. La CAF a rappelé aux dirigeants de la JSK que les deux langues officielles de la CAF restent l’anglais et le français et considère le tifinagh, comme un acte politique.
La CAF a également demander aux dirigeants kabyle de supprimer du maillot de la JSK le drapeau amazigh et maintenir le drapeau algérien officiel. Ce qui n’a pas été largement commenté sur la toile.
Enfin, il faut préciser qu’après tirage au sort , les marocains ont choisi le blanc leur couleur habituelle à domicile alors que les kabyles ont opté pour le vert leur seconde couleur après le jaune. Les responsables de la JSK aurait aimé disputer le match avec le jaune sa première couleur, mais les arbitres ont décidé de porter cette couleur.. alors ils ont opté pour le vert et jaune sur la pelouse.....................................................
--Gosse désillusion pour le football national. La JS Kabylie a craqué, samedi, en finale de la Coupe de la CAF, jouée à Cotonou au Bénin, face au RAJA Casablanca.
Enorme frustration à l’arrivée pour les Canaris qui ont dominé totalement la deuxième mi- temps. La faute à la pâle copie rendue au premier half.
En effet, et comme tétanisés par l’enjeu, les algériens se sont laissés ballotés par les marocains dans les 45 premières minutes.
Suffisant pour les Rajaouis pour crucifier en 09 minutes (5’- 14’) l’infortuné Benbott.
Pis , l’addition aurait pu être plus lourde devant la passivité inouïe des jaunes et verts en défense et en attaque, quand aucune action chaude n’ a été entreprise par les Bensayah and Co.
Tout allait changer au retour des vestiaires quand Zakaria ponctua avec succès un rush qu a semé le dé »sordre dans la défense maroaciane.
A partir de là , les hommes de Denis Lavagne ont mis le pied sur le ballon, à l’inverse de leurs adversaires semblant KO debout.
Mieux, l’expulsion d’Ardjoune, dans le dernier quart d’heure de la partie a défriché idéalement le terrain pour une remontada qui se dessinait fort.
Il n’en sera rien et, réduit à 10, le Raja a tenu bon pour signer son 4e trophée de son histoire dans cette épreuve.
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