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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Samedi 29/06/2025

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-Représentant le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, le Premier ministre, Nadir Larbaoui, se rend, dimanche 29 juin 2025, à Séville (Espagne) pour participer à la 4e Conférence internationale sur le financement du développement (FfD4), prévue du 30 juin au 3 juillet 2025. "Les participants à cette conférence examineront diverses questions liées à la problématique du financement du développement, notamment l’état de mise en œuvre du Programme d'action d'Addis-Abeba visant à appuyer la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, en vue de formuler des propositions et des solutions collectives à même de soutenir les efforts de développement et de combler le déficit de financement", selon un communiqué...................................... -John Bolton, l’ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump durant son premier mandat, et ancien représentant permanent des Etats-Unis à l’ONU, persiste et signe : Le Maroc reste le plus grand obstacle à la résolution du conflit au Sahara occidental, et le Front Polisario, représentant légitime du peuple sahraoui, ne peut aucunement être associé à une quelconque vocation terroriste, tel que s’acharne à le diffuser une vicieuse propagande de Rabat et de ses relais. Dans une interview accordée à l’analyste international Koldo Salazar, pour le compte de la publication en ligne «Otralectura», et intégralement reproduite par l’agence de presse sahraouie SPS, le diplomate américain confirme et détaille la substance des idées qu’il a développées il y a près d’un mois dans une tribune publiée dans le Washington Times. Il réaffirme ainsi que le Maroc, après avoir accepté le principe du référendum pour l’autodermination du peuple sahraoui, a multiplié plus tard les entraves, pour compromettre l’avancée vers une solution. John Bolton rappelle qu’il était même convenu de se baser sur le recensement espagnol de 1975 pour contourner la contrainte supposée de l’élément démographique pour organiser la consultation. «Honnêtement, il y avait environ 80 000 personnes éligibles pour voter et tout le monde était d'accord pour créer la MINURSO, avoir un cessez-le-feu et ensuite organiser le référendum sur l'avenir du Sahara occidental.