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Economie

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  • 27-05-2021
    -Le directeur général de l’Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM), Abdelfattah Djebnoun a indiqué, ce jeudi à Alger, que plus de 22.000 projets ont été financés au niveau national depuis le début de la pandémie de la COVID-19, précisant que les femmes ont bénéficié de plus de 65% du nombre global des projets financés. Lors d'une exposition nationale organisée par le ministère de tutelle pour faire connaitre ses mécanismes d'appui et d'accompagnement de la catégorie vulnérable, via l'ANGEM et l'Agence de développement social (ADS), le responsable a précisé que ces financements ont permis, depuis leur création jusqu'à aujourd'hui, de lancer 950.000 projets, ce qui a permis de créer près de 1,3 millions de postes d'emplois directs et indirects. Plus de 50 % des micro-crédits programmés pour l'année 2021 sont destinés aux femmes pour la création de leurs projets, dont 30 % au profit de la femme rurale et 20% au profit de la femme au foyer. Le soutien apporté par l'Etat à ces femmes à travers plusieurs dispositions appuie le lancement de micro-projets à travers deux types de crédits, à savoir le crédit destiné à l'acquisition des matières premières (allant de 100.000 à 250.000 DA) et celui destiné à l'acquisition du matériel (pouvant atteindre 1.000.000 DA).
  • 19-05-2021
    -La Confédération Algérienne du Patronat Citoyen a annoncé ce mercredi 19 mai, le lancement de la 1ère édition du «Prix Réda Hamiani de la presse économique ». A travers le Prix Réda Hamiani, la CAPC souhaite vulgariser le débat économique à travers les médias nationaux de tous supports confondus et encourager les meilleurs travaux journalistiques qui traitent des questions et problématiques clés en relation avec le monde de l’entreprise et l’économie nationale, peut-on lire sur le communiqué. Le prix récompense les journalistes de la presse écrite, presse électronique, radiophonique et télévisuelle pour leurs articles, enquêtes, émissions et reportages. Les travaux des journalistes doivent être publié ou diffusé entre le 01 janvier 2021 et le 31 juillet 2021. Le thème de cette édition est : «Les défis de l’économie algérienne à l’épreuve de la crise COVID-19». La CAPC décernera quatre prix , à l’occasion de la journée nationale de la presse, 22 octobre 2021. Les lauréats dans la presse écrite, la presse électronique, télévision et radio seront récompensé article, reportage, enquête économique et émission, publiés dans leur médias. Le règlement ainsi que le formulaire de participation seront communiqué savant le 30 mai 2021. La CAPC a , par ailleurs, annoncé la création d’un club de presse. Ouvert à tous les professionnels des médias spécialisés dans l’information économique, le «Club Presse de la CAPC» est un espace d’échanges, rencontres, débats et de formation. L’adhésion au Club se fait sur simple demande et une carte de «Membre» est délivrée au journaliste. La CAPC prévoit des cycles de formation au profit des membres du Club sur des thèmes qui répondent à leurs besoins. L’homme d’affaires et ancien ministre chargé de la PME, Réda Hamiani est décédé ce 27 mars. Né en 1944 à Mostaganem, Réda Hamiani, économiste de formation, a été tout d’abord un enseignant universitaire avant de se consacrer avec son frère à la promotion de leur usine textile créée par leur père. En 1969, la célèbre marque de chemises algériennes Redman, voit le jour. Reda Hamiani est reconduit dans le Gouvernement de feu Reda Malek en 1993 avec le même portefeuille. Dans les deux Gouvernement de Mokdad Sifi, il aura un ministère à part entière avec les mêmes charges................................................................................... --Avec la crise économique que vit l'Algérie et l'amenuisement progressif des réserves de change, de nombreux experts estiment que le recours à l'endettement extérieur sera incontournable au vu des hiatus budgétaires qui existent entre les revenus du pays et ses dépenses incompressibles. Le Premier ministre, qui participait ce mercredi à la célébration de la Journée nationale de l'étudiant, a évoqué la question de l'endettement, ce qui est en soi une indication, mais dans le même temps il exclut le recours de l'Algérie aux services du FMI, estimant qu'il en va "de la sauvegarde de la souveraineté du pays". "Le défi de la phase actuelle est la protection de la souveraineté de notre décision", réitère t-il en rappelant à ce propos que "beaucoup de pays ont perdu leur souveraineté, se sont effondrés, ce que l'Algérie ne saurait accepter". Parlant de l'Université dans une prise de parole à l'université Alger 3, Abdelaziz Djerad soutient que "l'université doit être le fer de lance de la reconstruction de l'Algérie", invitant les étudiants "à s'impliquer dans la politique et à défendre leurs idées".
  • 17-05-2021
    -Une quinzaine de chefs d’Etat africains et des dirigeants européens sont attendus à Paris ce mardi pour participer au sommet de financement des économies africaines, selon une information diffusée par l’Elysée. L’Algérie ne sera présente, en tout cas pas sous une forte représentation. Plusieurs organisations seront, pourtant, représentées par leurs directeurs, comme le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque mondiale, ou encore la Banque africaine de développement (BAD). Seront présents dans la capitale française pour participer activement aux discussions, les présidents tunisien, malien, congolais, ou encore égyptien. Visiblement, l’Algérie ne semble pas intéressé par ce sommet, où seront présents des pays africains fortement affaiblis économiquement comme c’est le cas l’Egypte, la Tunisie ou encore le Mali. De plus, l’Algérie qui a toujours refusé d’être sous l’autorité du FMI et encore moins sous la coupe de la BAD.
  • 11-05-2021
    -Les établissements publics à caractère industriel et commercial relevant du secteur économique de l’armée sont désormais exemptés de “l’obligation de publicités légales, prévues par les dispositions de la loi n°04-08 du 14 août 2004, modifiée et complétée, relative aux conditions d’exercice des activités commerciales”. Cette disposition est contenue dans l’avant-projet de loi de finances complémentaire (PLFC ) 2021. Le législateur justifie cette mesure, dans l’exposé des motifs, en mettant en avant le “caractère confidentiel des données et informations liées aux activités des établissements publics à caractère industriel et commercial sous tutelle du ministère de la Défense nationale”. Il rappelle que les dispositions de l’article 119 de la loi n°20-16 du 31 décembre 2020, portant loi de finances pour 2021, ont abrogé les dispositions de l’article 17 de la loi n°04-08 du 14 août 2004, modifiée et complétée, relative aux conditions d’exercice des activités commerciales, et qui prévoyaient que les établissements à caractère industriel et commercial ne sont pas soumis aux publicités légales prévues par les dispositions de cette loi. En conséquence, les établissements publics à caractère industriel et commercial relevant du secteur économique de l’armée sont, devenus au même titre que les autres établissements publics à caractère industriel et commercial, soumis à l’obligation de publicités légales. Il est bon de savoir que la loi n°04-08 du 14 août 2004 relative aux conditions d’exercice des activités commerciales indique que “les publicités légales, pour les personnes morales, ont pour objet de faire connaître aux tiers, le contenu des actes constitutifs de sociétés, les transformations, les modifications ainsi que les opérations portant sur le capital social, les nantissements, les locations-gérances, les ventes de fonds de commerce ainsi que les comptes et avis financiers”. Elle souligne, en outre, que “la publicité légale a également pour objet les prérogatives des organes d'administration ou de gestion, leurs limites et leur durée ainsi que toutes les oppositions portant sur ces opérations”.
  • 10-05-2021
    -Dans une instruction présidentielle datée du 25 avril dernier, Abdelmadjid Tebboune a critiqué des entreprises économiques nationales qui ont noué des relations contractuelles avec des entités étrangères, sans considération « économique et stratégique » du pays. Le chef de l’Etat a ainsi instruit son Gouvernement de « bloquer le transfert de dividendes lié à de tels contrats vers l’étranger ». Selon cette instruction, destinée au Premier ministre, aux membres du Gouvernement, aux responsables des entreprises du secteur public, des « rapports ont convergé vers la Présidence dans lesquels il a été relevé de graves atteintes à la sécurité nationale par le fait d’entreprises nationales, publiques et privées, qui ont noué des relations contractuelles avec des entités étrangères sans considération des intérêts économiques et stratégiques du pays » L’instruction cite nommément la SAA, la CAAR, « qui ont établi des contrats avec des entreprises d’origine marocaines » ou encore Djezzy dont la « publicité est assurée par la société proches de lobbies étrangers haineux vis-à-vis de l’Algérie ». Pour Abdelmadjid Tebboune, ces relations, « engagées sans concertation, se traduisent – on peut s’en douter – par la mise à la disposition d’entités étrangères de données et d’informations sensibles qui peuvent porter atteinte aux intérêts vitaux du pays et à sa sécurité ». Tebboune Ces contrats suscitent également les critiques de Abdelmadjid Tebboune en raison « des sorties de devises vers l’étranger pour des prestations à peine moyenne pour des entreprises algériennes peuvent prendre en charge aisément ». « Partant de ce constat, et eu égard aux effets négatifs de ces pratiques qui ont tendance à se généraliser, j’instruis tous les responsables concernés des entreprises nationales à l’effet de mettre un terme à ce type de rapports dans un délai maximum de 10 jours et de faire preuve, à l’avenir, de plus de responsabilités et de circonspection dans leurs relations avec leurs partenaires étrangers en veillant, en toutes circonstances, à la préservation des intérêts supérieurs de l’Etat », poursuit l’instruction. A. Tebboune annonce ainsi à ses destinataires avoir instruit au ministre des Finances que les dividendes liées à ces contrats soient ne soient plus transférées à l’étranger ». « De tels contrats doivent être résiliés sur le champ », lit-on. « Toute défaillance dans la prise en charge de la présence instruction sera considérée comme relevant de la concession et de la complicité et sera, en conséquence, traité en tant que telle, conformément à la législation en vigueur ».