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Culture (et Religion)

Journée du Lundi 08/12/2020

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-La dépouille de l’ancien archevêque d’Alger, Mgr Henri Teissier, est arrivée mardi en début d'après-midi à l’aéroport international Houari Boumediène, à bord d’un appareil de la compagnie aérienne nationale Air Algérie. Selon le Diocèse d’Alger, Mgr Teissier, décédé le 1er décembre à Lyon (France), sera inhumé mercredi dans l'intimité, dans la Chapelle Sainte Monique de la Basilique Notre-Dame d'Afrique à Alger, à côté du Cardinal Duval. Une cérémonie religieuse est prévue dans la basilique de Notre Dame d'Afrique, laquelle sera diffusée sur sa page Facebook: https://www.facebook.com/notredameafrique, et sera transmise à la cour de la basilique par hauts parleurs. Ces mesures ont été prises en raison des places limitées du fait de la situation pandémique. Décédé à l'âge de 91 ans, Mgr Henri Teissier est connu pour son attachement à l'Algérie, dont il obtient la nationalité en 1966. Fervent défenseur du dialogue inter-religieux, l’évêque catholique franco-algérien est né le 21 juillet 1929 à Lyon. Ordonné prêtre pour le diocèse d'Alger en 1955, il est nommé Evêque d'Oran par le Pape Paul VI en 1972, avant de devenir par la suite Archevêque d'Alger en 1988..................................................... - -Les 24 lauréats du Prix du président de la République pour les jeunes créateurs "Ali-Mâachi" ont reçu leurs distinctions mardi au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi à la faveur d'une cérémonie organisée par le ministère de la Culture et des Arts. Dans son édition 2020 ce prix récompense les trois meilleures oeuvres dans les domaines de la littérature (roman et poésie), du théâtre, de la musique, de la danse, des arts plastiques et du cinéma. Dans le domaine littéraire le jury, présidé par l'universitaire Abdelhalim Bouchraki, a attribué le premier prix du roman à Sabah Medaregnarou pour "Watan maâ ouaqf el tanfid", troisième ouvrage de l'écrivaine après "Le collier rouge" (2007) et "Les roses suicidaires" (2017). Hamida Chanoufi auteure de "La fin" et Bouchra Assia Zebda auteure de "Assabbar la yahdinou ahadan" ont reçu respectivement le deuxième et troisième prix de cette catégorie. Dans le volet poésie Rabah Fellah, Achour Boudiaf et Fares Bira ont respectivement reçu les trois prix de cette catégorie. Le jury du quatrième art a, quant à lui, distingué les spectacles "La musicienne" de Thiziri Ben Youcef, étudiante à l'Institut des métiers des arts du spectacle et de l'audiovisuel (Ismas), "Un billet pour Cordoue" de Fayçal Bounacer, et "Tamnefla" de Samia Bounab et trois autres texte de Abdelmoumen Ourghin, Issam Ben Chellal et Achour Bouras. Dans le domaine musical, le jury qui comporte le chef d'orchestre Lotfi Saidi a choisi de récompenser le musicien, compositeur et chef de choeur Zohir Mazari pour sa composition "Evasion musicale", alors que le deuxième et troisième prix ont été attribué respectivement à Belkacem Tayeb Bentoumi et à Ahmed Bouchikhi. Egalement membre du jury du Prix Ali--Mâachi 2020, le chorégraphe et danseur contemporain Ahmed Khamis a choisi d'attribuer les trois prix de cette catégorie respectivement à Ayoub Naserellah Belmhel pour son spectacle "Catharsis" , Abdal-Samad Sadouki pour "Notre vie" et Yahia Zakariya Hadj Ahmed pour "Et si?". Les trois prix Prix Ali-Mâachi pour les arts plastiques sont quant à eux revenus à Nour El Houda Choutla pour "La femme en Afrique", Chadia Derbal pour "Cauchemars de la guerre" et à Abla Ben Chaiba pour "Le cireur de chaussures". Le producteur et réalisateur Mounes Khammar, également membre du jury pour la catégorie cinéma et audiovisuel, a attribué les prix de cette catégorie à Bachir Messaoudi pour "Rahim", Abderrahmane Harrath pour "Djamila au temps du Hirak" et à Abdallah Kada pour son oeuvre "Kayen Wella Makach". Le jury a également décidé d'attribuer des mentions spéciales à Bilel Mzari, Takieddine Benammar, Youcef Djouani et à Mohamed Tahar Boukaf. La ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda, qui a remis les distinctions aux lauréats a insisté sur la nécessité "d'améliorer" ce prix qui a permis l'émergence de jeunes talents algériens ayant brillé par leurs créations sur la scène internationale. Créé en 2008, le Prix Ali-Mâachi pour les jeunes créateurs distingue des œuvres littéraires (roman, poésie, textes de théâtre), et musicales, cinématographiques, audiovisuelles et chorégraphiques ainsi que les œuvres d'arts plastiques (peinture, sculpture et design)........................................................................ --À Tauste, dans le nord-est de l'Espagne, un projet routier a mis au jour l'un des plus anciens cimetières du pays pendant la période islamique. Il contenait environ 400 tombes musulmanes ! Ce sont les ouvriers de l'entreprise de travaux publics qui ont accidentellement découvert le cimetière musulman ayant servi entre le VIIIe et le XIe siècle alors qu'ils élargissaient une route de la petite municipalité de Tauste, près de la ville de Saragosse. Une découverte qui remet en question les croyances antérieures sur la présence des colonies musulmanes de la région, car le cimetière s'est avéré être le plus ancien cimetière de l'ère islamique et le mieux conservé du pays. S’étendant sur plus de 2 hectares, la vaste nécropole montre que la population musulmane de cette région était beaucoup plus grande qu'on ne le croyait. La directrice de l'Observatoire Anthropologique de la Nécropole Islamique de Tauste, Miriam Pina Pardos, a déclaré à CNN que plusieurs indices découverts laissent penser, qu'autrefois, une importante population musulmane vivait là, et cela avant même que les tombes ne soient découvertes. L'un des archéologues présent lors des fouilles précise que la communauté musulmane a vécu dans la région pendant plus de quatre siècles. Après avoir conquis la Péninsule ibérique en 711 après J.C., les musulmans la baptisèrent Al Andalous. Territoire conquis en seulement 7 ans par les musulmans, Al Andalus sera reconquis par les chrétiens en 1492. La société d'archéologie en charge des fouilles du site a déclaré que les restes humains seront retirés dans moins d'un mois et que la plupart des vestiges était bien conservés