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Culture (et Religion)

Mois du 04/2020

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  • 29-04-2020
    -La productrice cinématographique et audiovisuelle, Samira Hadj Djilani, est placé, ce jeudi, en détention provisoire par le juge d’instruction du tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger). Samira Hadj Djilani est poursuivie pour plusieurs chefs d’inculpations, à savoir blanchiment d’argent, abus de fonction, dilapidation de deniers publics et transfert illicite de capitaux vers l’étranger. La productrice faisait, depuis le 12 mars dernier, l’objet d’une interdiction de sortie du territoire national (ISTN). Pour rappel, Hadj Djilani avait occupée le poste de directrice centrale du ministère de la Culture sous la présidence de Bouteflika. Elle était également directrice de communication du candidat Azzedine Mihoubi lors de la campagne électorale pour l’élection présidentiel du 12 décembre dernier.
  • 28-04-2020
    -Le montant de Zakat El-Fitr est fixé cette année à 120 DA, soit un "Saâ" (une mesure) de nourriture des Algériens équivalant à 2 kg, a indiqué, mardi, le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, dans un communiqué. Egalement, le ministère a appelé à remettre Zakat El-Fitr directement aux nécessiteux en raison de la pandémie de Covid-19 , qui a entraîné la fermeture des mosquées à travers le pays, et ce à titre exceptionnel, en attendant le retour à la normale après fin de la pandémie, explique-t-il. Il rappelle, par ailleurs que ‘’Zakat El-Fitr’’ était obligatoire pour «tout musulman, aussi bien nanti que pauvre, disposant d’un surplus de subsistance journalière et qui doit faire don de la Zakat pour lui même et pour les personnes à sa charge».
  • 26-04-2020
    -La Commission ministérielle de la zakat a appelé à remettre zakat el fitr, cette année, directement aux nécessiteux, sans passer par le Fonds de la zakat, et ce à titre «exceptionnel» vu l’évolution de la situation due à la pandémie de Covid-19, a indiqué hier un communiqué du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs.
  • 24-04-2020
    -Le mois de Ramadan de l'année 1441 de l'hégire débute ce vendredi 24 avril 2020 après observation jeudi soir du croissant lunaire, a annoncé la Commission nationale d'observation du croissant lunaire relevant du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs. Cette commission, qui compte des sous-commissions à travers les 48 wilayas du pays, est composée d'oulémas et d'experts du Centre de recherche en Astronomie, Astrophysique et Géophysique (CRAAG).
  • 23-04-2020
    -Journée mondiale du Livre
  • 20-04-2020
    -Le ministre des Affaires religieuses, invité ce lundi par la radio nationale, est longuement revenu sur le mois de Ramadhan, qui intervient cette année dans un contexte bien particulier, marqué par les mesures contre le Coronavirus et donc la nécessité d’adapter la pratique du jeûne aux dispositions impératives du confinement. Mais Youcef Belmehdi a d’abord tenu à mettre les choses au point s’agissant de la pratique du jeûne et sa relation avec le Coronavirus, expliquant, sur la foi des avis médicaux que « la soif n’est pas un facteur favorisant le contamination au COVID193 et que « l’observance du jeûne reste obligatoire, sauf pour les personnes souffrant de maladies chroniques ». La réunion du Comité de la Fatwa à laquelle avait pris part le Pr Djamel Fourar, président du Comité de suivi des dispositions préventives contre le Coronavirus, a également rendu son avis à propos de la prière du vendredi et de la prière des Tarawih. La prière du vendredi restera encore suspendue autant que durera le confinement, alors que la prière des Tarawih se fera à domicile, explique Youcef Belmehdi, précisant qu’aux heures de ces deux prières des psalmodies du Saint Coran seront diffusées via les haut-parleurs des mosquées.
  • 19-04-2020
    - Le Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA) réaffirmé ce dimanche son engagement "continuel" à œuvrer pour la consolidation de Tamazight dans les systèmes de l’Education et de la Communication en accompagnant la concrétisation du processus de sa généralisation, préalablement entamé en 1995. "En cette occasion du double anniversaire du printemps amazigh, le Haut Commissariat à l’Amazighité réaffirme son engagement continuel à œuvrer pour la consolidation de Tamazight dans les systèmes de l’éducation, de la communication en accompagnant la concrétisation du processus de sa généralisation, préalablement entamé en 1995", a indiqué le secrétaire général du HCA, Si El Hachemi Assad dans un entretien à l'APS accordé à la veille de la commémoration du printemps amazigh. Il a relevé que la mission du HCA était de "consolider" l’amazighité comme "dimension inaliénable" de l’Algérie. Pour cela, a-t-il expliqué, le HCA aspire à "renforcer" ses missions et à "étoffer" son staff par des "compétences" pluridisciplinaires pour répondre justement aux exigences du terrain et à traduire la dimension nationale de la langue amazighe, précisant qu'un rapport dans ce sens est transmis au président de la République , Abdelmadjid Tebboune (....).
  • 18-04-2020
    -À l’approche du mois de Ramadhan, des fatwas sur le jeûne et la prière des Tarawih, durant cette crise sanitaire, reviennent sans cesse. Face à cette situation, et afin de mettre fin à la cacophonie au niveau de l’espace public et des médias, le Haut Conseil islamique a déclaré que la commission des fatwas du ministère des Affaires religieuses «est la seule instance habilitée à donner un avis juridique religieux sur les questions d’actualité». Selon le Dr Mohamed Baghdad, directeur de communication auprès du HCI, que dirige Bouabdellah Ghlamallah, a décidé d’approuver et de valider toutes les fatwas de la commission nationale composée également de membres du HCI. «Cette décision vise à préserver l’unité nationale, la protection de la cohésion sociale et le renforcement de la jurisprudence», a-t-il dit. Il souligne que «cette commission est l’instance qualifiée, dans le contexte actuel, pour émettre des fatwas». L’objectif majeur est d’unifier le canal de fatwas et de définir une seule instance habilitée.
  • 16-04-2020
    -La ministre de la Culture, Malika Bendouda annonce, ce jeudi , la parution du premier numéro du magazine culturel "Inzyahat" lancé par son département ministériel sous le slogan "l'idée du changement" et supervisé par "des écrivains et intellectuels algériens". Dans le même cadre, la ministre a évoqué les préparatifs en cours à une émission radiophonique qui sera diffusée sur la radio Culture sous le titre "Inzyahat FM" quotidiennement du 12H00 à 17H00 en partenariat avec le ministère de la Communication.
  • 14-04-2020
    -Le Comité interministériel de la Fetwa, au terme de sa réunion ce mardi, a rendu public un communiqué dans lequel il explique que « du point de vue de la religion, une personne contrôlée positive au Coronavirus, et pour ne pas contaminer son entourage, doit déclarer sa maladie aux autorités compétentes et se soumettre aux rigueurs du confinement » « Celui qui dissimule son mal , participant ainsi à sa propagation et sa transmission, commet un péché (ITHM) et toute personne informée de la dissimulation de la contamination est considérée comme complice », prévient l'autorité religieuse. La sortie du Comité de la Fatwa se veut en fait une réaction à certaines « fetwas » qui ont fleuri sur les réseaux sociaux, recommandant aux porteurs du virus COVID 19 de ne pas se déclarer pour ne pas « se faire les relais d’un complot contre la Ouma(SIC) » Au contraire, le Comité de la Fetwa appelle les citoyens « à collaborer avec les autorités sanitaires dans le cadres des actions de sensibilisations en toute transparence contre les dangers du Coronavirus » Evoquant par ailleurs, la solidarité traditionnelle au mois de Ramadhan, le Comité de la Fetwa a expliqué que « du fait des circonstances particulières que vit notre pays, les traditionnels Iftar collectifs dédiés aux familles nécessiteuses, pourraient ne pas avoir lieu dans leur forme habituelle », invitant les généreux donateurs à réajuster leurs actions caritatives, selon les nouvelles conditions imposées par la pandémie du Coronavirus………………………………………………………… - Le romancier algérien Abdelouahab Aissaoui a remporté le prix littéraire international du roman arabe Booker 2020 pour son roman "Eddiwan El Isbarti", indiqué ce mardi la direction du prix. La cérémonie de remise du prix a été annulée en raison des mesures de prévention contre la propagation du coronavirus, expliquent les organisateurs. Abdelouahab Aissaoui devra recevoir une récompense de 50.000 USD pour son roman, publié chez l'éditeur algérien Mim, en plus d’une traduction de son oeuvre vers l’anglais. Le roman évoque la fin de l’occupation ottomane et le début de la colonisation française (1815-1833) à travers l'histoire de cinq personnages, les événements se déroulant essentiellement à Alger. Le roman d’Abdelouah Aissaoui, se caractérise par une structure narrative "profonde" et "de qualité", et une polyphonie invitant le lecteur à mieux comprendre "l’histoire de la colonisation de l’Algérie" et les "conflits dans toute la région de la Méditerranée ainsi que les formes de résistance opposées", a noté le président du jury, MohcenAl Moussaoui. Né à Djelfa en 1985, Abdelouahab Aissaoui a à son actif plusieurs ouvrages littéraires dont "Cinéma de Jacob" (2012) et "Sierra Del Muerte", son deuxième roman et Grand Prix Assia- Djebbar en 2015................................................................................................................................................................................;..;;;.-Le président de la République Abdelmadjid Tebboune félicite, ce mardi , le romancier algérien Abdelwahab Aissaoui, laureat du prix international du roman arabe "Booker 2020". Dans un tweet sur sa page officielle sur les réseaux sociaux, le Président a écrit " à la veille de la célébration de la journée du savoir, voila le jeune Abdelwahab Aissaoui de Djelfa rejoindre les nombreux écrivains algériens qui ont brillé de par le monde par leurs travaux, cette fois par le prestigieux prix international Booker" Le président s'est adressé directement au jeune romancier en lui disant "continue sur cette voie mon fils, tu me trouveras toujours à tes cotés". A noter que le jeune Aissaoui a remporté le prix international Booker 2020 dans sa 13 e edition avec son roman "eddiwan el isbarti".
  • 13-04-2020
    -Après le Booker Prize du roman en langue arabe décerné à l’auteur Abdelouahab Aïssaoui, c’est le jeune réalisateur Abderrahmane Harrat qui rafle, ce 13 avril, le premier prix du concours Al Jazeera documentaire du court métrage, pour son film Jamila fi zaman el-hirak. Réalisé cette année, ce petit bijou de 7 min. est déchirant et révoltant à la fois, car il dresse le tableau d’une frange de la société complètement oubliée de tous, à savoir les sans-abri. Le réalisateur a posé sa caméra face à Jamila, une sans-abri de la ville de Annaba (son seul refuge est la vieille ville, dans le quartier de la place d’Armes où elle a élu domicile) ayant retrouvé espoir et confiance grâce à la “révolution du sourire”, qui donne la parole à tous. Ce premier concours d’Al Jazeera documentaire du court métrage a pour but de “découvrir” et d’“encourager” les jeunes réalisateurs arabes. Pour cette édition, 400 cinéastes d’une trentaine de pays y ont participé. Le premier prix est doté d’une somme de 3000 dollars, le deuxième de 2000 dollars et le troisième prix de 1000 dollars. Originaire de Annaba, Abderrahmane Harrat est infirmier. Depuis son entrée dans le monde cinématographique, il exerce comme chargé de l’audiovisuel au CHU de sa ville. Il a à son actif le long métrage L’Amour du diable et le court métrage Désolé (primé au 2e Festival international de Annaba du film méditerranéen).
  • 07-04-2020
    -La commission ministérielle de la Fatwa a émis, ce mardi, un nouvelle Fatwa concernant la prière pour les personnes qui s’occupent des patients atteints du Coronavirus........................................... Si la personne n’est pas en mesure d’effectuer les ablutions et le tayammum ensemble, comme c’est le cas pour les médecins, infirmières, personnel de protection civile et d’autres qui ne peuvent pas quitter leur emploi, dont dépend la nécessité d’un traitement et de sauver la vie d’une personne, alors les règles de leur prière sont, selon le communiqué de la commission ministérielle de la Fatwa -Celui qui est capable de prier d’une manière ou d’une autre, il peut faire ses prières même sans ablution ni tayammum, s’il n’est pas en mesure de le faire; -Celui qui ne peut pas faire ses prières à temps, il doit les faire dés qu’il pourra/ -Il il est possible de combiner une prière avec celle qui la précède (Dhuhr et Asr et les prières Maghrib et Isha) mais, selon le cas de chaque personne/ -S’il n’est pas possible d’accomplir la prière à pleine capacité, il est permis de l’accomplir de plusieurs manières, par exemple si la personne ne peut pas se prosterner, elle peut accomplir sa prière en se contentant de l’indication ou en se penchant dans la position à sa disposition/ -Celui qui est incapable d’enlever l’impureté, il peut prier avec elle.
  • 01-04-2020
    - L'Arabie saoudite appelle les musulman à suspendre les préparatifs du Hadj