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Communication ( et Presse)

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  • 31-10-2020
    -La chaîne de la mémoire « Dhakira Tv » (« La Mémoire »), spécialisée dans l'histoire de l’Algérie, a été lancée, samedi 31/10 lors d’une cérémonie officielle., en présence du premier ministre.
  • 30-10-2020
    -La chaîne d’informations qatarie Al Jazeera a officiellement obtenu son accréditation pour travailler à partir de l’Algérie cette semaine. C’est le journaliste Atef Kedadra qui a été choisi pour être le correspondant principal de la chaîne à partir d’Alger. Atef Kedadra, ancien journaliste du quotidien El Khabar, a occupé son premier poste de responsable comme directeur de l’information de la chaîne KBC, appartenant au groupe El Khabar et sous la direction de Ali Djerri. Il a ensuite travaillé un certain temps pour la chaîne Numidia Tv, en tant que rédacteur en chef. La chaîne Al Jazeera a depuis son retour en Algérie réalisé plusieurs reportages, plus ou moins corrects, sur l’inauguration de la grande Mosquée la veille du Mawlid Nabawi et l’état de santé du président Tebboune. Selon certaines sources, la chaîne Al Jazeera pourra ouvrir son bureau en janvier et pourrait agrandir sa rédaction pour devenir le bureau le plus important de la chaîne d’info qatarie en Afrique du Nord.
  • 27-10-2020
    - Le propriétaire de la chaîne El Hayat TV Habet Hannachi, a réagit dans un communiqué à l’information diffusée par un influenceur sur Youtube et relayée sur les réseaux faisant état de la vente de sa télévision à une société anglaise Information Services Corporation LTD (El Hayat TV), basée à Londres appartenant à un homme d’affaires membre de la famille royale du Qatar Al-Athani. Habet Hennachi a tenu à démentir ces informations précisant que sa chaîne de télévision était 100 % algérienne depuis 2018, l’année de son lancement. «Une campagne de dénigrement a été lancée contre El Hayat TV et son directeur, y compris la publication d’un faux document comme preuve que la chaîne a été vendue (…) El Hayat TV est chaîne algérienne, lancée en 2018, 100% algérienne et aujourd’hui, en 2020, elle est 100% algérienne et elle restera Toujours (si Dieu le veut) 100% Algérienne », a notamment écrit Habet Hennachi dans un communiqué.
  • 26-10-2020
    - La Maison de la presse Tahar Djaout était au rendez-vous ce lundi pour un nouveau rassemblement de soutien au jeune journaliste Khaled Drareni qui purge une peine de 3 ans de prison depuis le 15 septembre, suite à sa condamnation en appel par la Cour d'Alger. Journalistes, Figures du Hirak, mais aussi des étudiants se retrouvaient mêlés dans la foule pour réclamer la libération du journaliste, poursuivi pour "atteinte à l'unité de l'Etat" et "incitation à attroupement non armé" Certains brandissant des pancartes à l'effigie du journaliste, d'autres arborant un T-Shirt floqué de son portait,. Les manifestants ont scandé "Presse libre, justice indépendante", "Libérez les détenus", "Khaled Drareni n'est pas un informateur"............................................................. - « Le ministère de la Communication annonce que, dans le cadre de la mise en œuvre des réformes du secteur, inscrites au programme du gouvernement, le directeur général de l’établissement public de télédiffusion d’Algérie a procédé, ce lundi 26 octobre 2020, au siège du ministère de la Communication, à la signature d’un protocole d’entente liant cet établissement à des +chaines de télévision privées+ », précise un communiqué du ministère de la communication. Les chaines de télévision concernées sont : Ennahar-TV, Echourouk-TV, Numédia-TV, Hoggar-TV et El-Djazairia-One, qui sont déjà diffusées via des satellites étrangers, rappelle le communiqué. « Cet accord, qui porte sur la diffusion directe en DTH des programmes de ces chaines sur le satellite algérien Alcomsat-1, a été signé pour une durée de trois (3) mois, à titre gracieux et vise à renforcer l’attractivité orbitale du dit satellite », ajoute le ministère, qui explique que « cette période est définie à titre de test, en attendant la promulgation du nouveau dispositif réglementaire, qui est en cours de finalisation par les services du ministère de la Communication ».
  • 22-10-2020
    -La presse célèbre aujourd’hui sa Journée nationale, instituée en vertu du décret présidentiel no 13-191du 19 mai 2013. Une commémoration qui intervient dans un contexte particulier, voire inédit, à plusieurs niveaux. En la matière, il est question, d’une part, de la crise sanitaire qui a grandement influé sur l’exercice de la profession, en favorisant l’émergence de la technique du télétravail, soit le travail à distance....................................................................... --Une maison de la presse a été inaugurée, jeudi, à Bouira par le wali Lakehal Ayat Abdeslam, en marge d’une cérémonie organisée à l’occasion de la journée nationale de la presse. "Je profite de cette journée dédiée exclusivement à la presse pour vous annoncer l’inauguration d’une maison de la presse pour les journalistes et les correspondants locaux après plusieurs années d’attente", a déclaré le wali, soulignant qu'il s'agit "d’un important acquis devant permettre à la famille de la presse locale, entre autres d'exercer son métier dans de meilleures conditions". Au cours de la cérémonie organisée au siège de la wilaya, les représentants de la presse (journalistes, correspondants) et les autorités locales ont rendu un vibrant hommage aux journalistes locaux décédés à l’image de Nacer Hanniche, Lakhdar Rekouche, Mohamed Ossmani et Souhil El Khaldi................................................................................................. --Les journalistes lauréats de la 6ème édition du prix du président de la République du journaliste professionnel, organisé sous le thème "le Numérique... une passerelle pour l'édification de l'Algérie nouvelle", ont été distingués jeudi 22 à Alger Centre international Rahal) Douze lauréats ont été distingués par un jury présidé par le doyen de la faculté de Sciences politiques Slimane Aaradj. Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement Ammar Belhimer a exprimé ses remerciements à l'endroit du président de la République pour «l’intérêt particulier qu'il accorde à la profession de la presse et sa progression». Cet intérêt s'est illustré, affirme M. Belhimer, à travers le placement sous son patronage de l'événement de la célébration de Journée nationale de la Presse. «Le Président de la République a évoqué d’une manière claire dans son message l'ensemble des aspects liés à la profession de la presse et à son développement», indique le ministre. Il mettra en relief les principaux axes qui ressortent du message dont sa reconnaissance et son hommage rendu aux contributions des journalistes professionnels. «Le président a mis l'accent sur la nécessité d'adapter les médias aux exigences de la numérisation et du développement des technologies de l'information et de la communication». Il s’agit aussi de vigilance pour faire face aux risques cybernétiques. A ceci s’ajoute la moralisation du secteur par la promotion des valeurs de l'éthique et de déontologie La 6e édition du Prix du Président de la République du journaliste professionnel se distingue par une participation appréciable, fera savoir le président du jury Slimane Aaradj indiquant que près de 200 œuvres journalistiques sont réceptionnées. Le 1er prix de la catégorie presse écrite a été décroché par Leïla Zarkit d’El Djoumhouria pour son reportage intitulé «la numérisation prière angulaire de l'Algérie de demain». Le 2e prix a été attribué à Fahima Benakrouf, journaliste à Sawt El- Ahrar et le 3e prix à El Hadj Tahar Ali du journal El Hayat El Arabia. Pour ce qui est des œuvres radiophoniques, le premier prix a été accordé à deux journalistes de la Chaîne I, en l'occurrence Abdenacer Kasseh Laaouar pour un reportage intitulé «le coronavirus impose la distanciation et favorise la communication numérique» et Ahmed Amine Harane pour un reportage sur «la numérisation de l'administration et de bureau cratisation». Le deuxième et troisième prix ont été attribués à Rahima Ait Hamiche de Radio Tizi-Ouzou et Salah Eddine Benghedka de Radio Sétif. S'agissant des travaux audiovisuel, le comité n'a décerné ni de 1er ni de 3e prix, octroyant le second prix à la journaliste de l'Eptv Amel Merir pour son programme «la culture a l'ère du coronavirus». Dans la catégorie des médias électronique, le premier prix a remporté par Houssam Eddine Fodhil de Echourouk Online pour son thème «numérisation du secteur de la santé, prémices de l'Algérie nouvelle», le 2e prix est revenu au journaliste de l'APS Abdelkader Chems Eddine Houari et le 3e a été octroyé à Ahmed Laalaoui d’El Watan presse. Le prix du jury a été remis à la journaliste Nesrine Rabehi de Radio Coran. Ces lauréats ont reçu leur distinction des mains du Premier ministre Abdelaziz Djerad et les membres de l'Exécutif du président du Conseil Constitutionnel, Kamel Fenniche. D’anciennes figures ont été également honorés dont l’ancien ministre Lamine Bechichi, l'ancien directeur du journal La Tribune, Kheireddine Ameyar, l'ancien directeur général du quotidien Horizons, Lyès Hamdani, le regretté Majid Hadji, l'ancien directeur d’El Moudjahid, Morsli Aziz, l'ancien DG de la télévision algérienne Abdou Benzyane, le journaliste Abdelaziz Boubakir, ainsi que l'ancien directeur général de l'agence APS, Talmat Ammar Ali.
  • 20-10-2020
    -Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a soutenu, hier à Alger, qu'à la faveur des nouvelles dispositions contenues dans le projet de révision constitutionnelle, «l'Algérie ne pourra évoluer que dans le sens de la consécration de la liberté de la presse». Intervenant dans le cadre d'une rencontre initiée par l'organisation des nationale des journalistes sportifs ayant trait à la place de la presse dans la nouvelle Constitution, il fera savoir que les dispositions innovantes obéissent à l'objectif de promouvoir la liberté de la presse de façon à l'adapter aux normes universelles. «Le droit à une presse libre est au summum des droits», dira M. Belhimer en évoquant les conventions internationales et le rôle de l'Unesco. Dans l'Algérie nouvelle, «il n'y aura pas de liberté de la presse sans le pluralisme», indique le ministre expliquant que la Constitution 2020 incorpore dans l’article 54 de nouvelles dispositions visant à promouvoir la liberté d'entreprendre dans le secteur des médias, à consolider la liberté d'expression, à consacrer l'indépendance du journaliste et a élargir l'ouverture du champ médiatique. Toutefois, souligne encore M. Belhimer, la pratique apaisée des libertés ne peut être garantie sans le respect absolu de la caution juridique qu'il a qualifié de sacré. Tout en réitérant la nécessité de revoir le dispositif législatif régissant le secteur, il relèvera la nécessaire intervention de l'État en tant que régulateur dans le secteur des médias pour satisfaire les exigences du triptyque sûreté, sécurité et stabilité. L'intervention de l'Etat est indispensable dans la lutte contre le discours de la haine ou pour faire valoir le respect des lois. «Dans le monde d'aujourd'hui, il existe un retour en force des Etats pour réguler la sphère des médias», a-t-il indiqué mettant l'accent sur l'impératif de faire face aux nouveaux défis de la communication et à ses effets engendrés par la globalisation à travers le développement des nouvelles technologies qui parfois ouvrent la voie à de multiples dérives. «Y compris sur les réseaux sociaux, l'expression obéit à des règles de droit», souligne Belhimer qui affirme ne pas croire au concept de citoyen-journaliste. Il plaide aussi en faveur d'une prise de conscience de la corporation sur la nécessité de réunification des rangs : un préalable pour activer le Conseil national de la presse écrite. Il rappelle les actions menées par le ministère de la Communication pour opérer les réformes nécessaires en vue d'extraire le secteur de la presse d'un situation qu'il qualifie de champ de ruine et de mines. Il souligne également l'importance d'aller vers l'autorégulation de la presse. La révision par le ministère des règles d'attribution de la publicité publique pour les médias conditionnées par une quinzaine de critères consolidant le principe de transparence et le respect de la loi est l'une des actions évoquée par Belhimer. Il évoque aussi l'impératif de combler le manque d'encadrement juridique notamment de la presse électronique, des agences de communication et de publicité. «Le secteur des médias a besoin d'un sursaut qualificatif», a soutenu Belhimer expliquant que les réformes à entreprendre dans ce domaine ne peuvent être envisagées en dehors du cadre du processus institutionnel et du respect de la réglementation. Il a insisté sur le respect des règles d'éthique et de déontologie. Évoquant la situation des journalistes activant dans des médias appartement à des hommes d'affaires impliqués dans des affaires de corruption, il dira que son département est intervenu en tant que médiateur pour aider à la prisse en charge des employés au nombre de 750. «Pour l'heure, quelque 150 employés ont été réintroduits dans le secteur public», a-t-il dit.
  • 19-10-2020
    -Les jeunes Africains sont vulnérables aux fausses informations qui se multiplient sur la toile. C’est ce qu’a révélé le cabinet PSB Research après une enquête faite dans 14 pays. Les résultats sont « alarmants » et montrent les jeunes du continent sujets à une actualité toujours plus fausse. En Afrique du Sud, une étude commanditée par la Fondation de la famille Ichikowitz a montré que de plus en plus de fake news sont diffusés sur Internet, ce qui porte atteinte au droit à l’information de près de 90% des jeunes du continent. Le cabinet PSB Research, auteur de l’enquête, a recueilli les témoignages et avis de jeunes Africains âgés de 18 à 24 ans tous sexes confondus, issus de plusieurs pays à savoir : Congo Brazzaville, Ethiopie, Gabon, Ghana, Kenya, Malawi, Mali, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Afrique du Sud, Togo, Zimbabwe et Zambie. Selon les résultats de l’enquête (par exemple au Ghana), les plateformes les plus fustigées sont Facebook et WhatsApp. En effet, l’étude révèle que 4 jeunes sur 10 les accusent d’être « indignes de confiance ». Par ailleurs, les fausses informations auraient un impact considérable sur 35% de la population interrogée, alors même que pour la majorité Internet constitue la première source d'informations. La Fondation de la famille Ichikowitz se dit consternée par ces résultats. « Les résultats de notre enquête sont alarmants et révèlent que les jeunes de notre continent sont particulièrement vulnérables à une actualité de plus en plus fausse », a laissé entendre son porte-parole.
  • 16-10-2020
    - Le directeur de Bilad tv a été convoqué aujourd’hui par l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) pour s’expliquer sur une info mise en ligne sur son site internet, qui porte atteinte à l’honneur de Slimane Chenine, président de l’APN troisième personnage important de l’Etat . Il s’avère que le journal El Bilad a fait indûment l’objet d’une manipulation malsaine par l’entremise des techniques des tutoriels. Pour l’heure, aucune communication de l’Arav n’a été rendu public pour déterminer l’issue et les mesures prises à l’issue de cette convocation. Une guerre médiatique qui ne dit pas son nom est lancée en prévision des changements qui vont toucher l’APN après la révision de la Constitution et qui pourrait amener au changement de son président. "
  • 15-10-2020
    -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a édicté, jeudi, une série de recommandations et de principes régissant la couverture médiatique de la campagne référendaire, applicables aux médias audiovisuels en vue d'assurer une couverture "indépendante, équilibrée et enregistrée" du processus référendaire sur l’amendement de la Constitution………………………………………………………….
  • 14-10-2020
    -Le Procureur général de la Cour d'Alger a affirmé que l'article publié, mercredi, par le quotidien "Liberté" concernant la teneur des réunions périodiques de coordination entre le président de la Cour d'Alger, le Procureur général et le bâtonnat d'Alger, contenait des "informations détournées". Dans un communiqué du Parquet général, il est stipulé que "L'article publié, mercredi, par le quotidien +Liberté+ concernant la teneur des réunions périodiques de coordination entre le président de la Cour d'Alger, le Procureur général et le bâtonnat d'Alger, contient plusieurs informations détournées. L'auteur de l'article a manqué de professionnalisme, d'où cette mise au point pour éclairer l'opinion publique", précise le communiqué signé par le Procureur général près la Cour d'Alger. "Selon l'article en question, le président de la Cour d'Alger et le Procureur général se seraient engagés à muter le président de la cinquième chambre correctionnelle vers une autre juridiction, ce qui est contraire aux textes de loi régissant la profession de magistrat, l'attribution de mutation des magistrats relevant exclusivement du ressort du Conseil supérieur de magistrature (CSM)", précise le communiqué. "Le même article commente et fait différentes lectures de certaines affaires déjà traitées par les magistrats de la Cour et d'autres en cours de traitement, en leur attribuant, à tort, des procédures attentatoires à la crédibilité et à l'indépendance de la Justice", ajoute le communiqué
  • 11-10-2020
    - Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Amar Belhimer a procédé lundi à Alger, à l`installation des membres jury du Prix du président de la République du journaliste professionnel, organisée dans sa sixième édition sous le thème "La numérisation, passerelle vers l’Algérie nouvelle". Présidé par le doyen de la faculté des Sciences politiques, Slimane Arradj, le jury est composé d'un représentant du ministère de la Communication, des Finances, de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de la Culture, de la Télévision nationale, de la radio nationale, de la presse publique, de la presse privée et de la faculté des Sciences de l'information et de la communication. …………………………………………………………………………….. -Un atelier de formation sur la détection des fake-news a débuté, ce dimanche à Alger, au profit de journalistes de plusieurs organes de presse. Le coup d'envoi de cet atelier a été donné par le ministre de la Communication, Porte parole du Gouvernement, Ammar Belhimer, en présence du ministre de la Poste et des Télécommunications, Brahim Boumzar. Dans une allocution prononcée à l'occasion, A. Belhimer a insisté sur l'impératif de relever les défis et de se mettre au diapason de l'évolution technologique, ainsi que "d'accompagner la transition d'une presse papier à une presse numérique, un impératif imposé par le progrès". Insistant sur la nécessité de "produire un contenu national solide" et "l'impérative lutte contre les fake-news", le ministre s'est référé au code pénal qui sanctionne tout individu qui divulgue des informations d'ordre personnel. Il a évoqué, en outre, le phénomène de l'hyper-trucage des informations (deep-fakes), au vu de "ses effets désastreux visant à ternir la réputation des personnalités publiques, à l'instar des hommes politiques et de culture, et ce à travers un montage audio et photos". Le Gouvernement "a procédé à l'ouverture du dossier d'encadrement juridique des sites électroniques et de droit de réponse", a poursuivi A. Belhimer, relevant que la présence en force des réseaux sociaux et de sites électroniques en Algérie fait de l'encadrement juridique ''une question primordiale". Il s'agit du projet de décret exécutif présenté par A. Belhimer, mercredi dernier, lors de la réunion du Gouvernement, relatif aux modalités d'exercice de l'activité d'information en ligne et de diffusion de mise au point ou rectification sur le site électronique. Ce projet de décret exécutif a pour objectif de mettre en oeuvre les dispositions législatives de la Loi n12-05 du 12/01/2012 relative à l’information, en encadrant, sur le plan juridique, la presse écrite en ligne et sa domiciliation et ce, afin de faire face à l’évolution rapide que connaît ce segment important de la presse nationale. Le projet en question met en exergue le rôle de la presse électronique dans l'effort collectif visant la démocratisation et la moralisation de la vie publique.Pour sa part, B. Boumzar a réitéré l'engagement de son département ministériel à accompagner les journalistes pour une formation spécialisée afin de se mettre au diapason des évolutions technologiques et de fournir un service public de qualité. Les travaux de cet atelier de formation, organisés par les ministères de la Communication et de la Poste et des Télécommunications, en collaboration avec le représentant officiel de la société mondiale Google (Alphabet), se poursuivront pendant 5 jours.
  • 10-10-2020
    -L'animateur de la radio nationale chaîne 3 Ahmed Nany Chellaoua, connu à l'antenne sous ses initiales "Can" pour ses émissions dédiées au châabi et au patrimoine musical, est décédé samedi à Alger à l'âge de 60 ans des suites d'une longue maladie, a-t-on appris auprès de la Radio nationale. "Can" était connu ces dernières années pour son émission musicale "Hier encore j'avais 20 ans", un programme interactif quotidien dédié à la musique des années 1960-1970 mais aussi aux grands noms du patrimoine musical algérien. Il était également co-animateur avec Sid-Ali Driss de l'émission "El Qahwa Wel Latay", une émission hebdomadaire entièrement dédiée à la musique châabi et qui reçoit depuis un vingtaine d'années des orchestres entiers qui se produisaient en direct sur les ondes de la chaine III. Véritable révélateur de jeunes talents du châabi, interprètes, musiciens et paroliers, cette émission a également permis à un grand nombre de formations d'enregistrer dans des conditions professionnelles. Le duo avait aussi animé une émission musicale intitulée "Si Can". "Can" avait également fait quelques apparitions en tant que comédien dans des programmes de la télévision. .
  • 07-10-2020
    - Le journaliste et directeur des sites « Radio M » et « Maghreb Emergent », El Kadi Ihsane a quitté mercredi en fin de matinée les locaux de la gendarmerie où il avait été convoqué, la veille, à la brigade de recherche et d'investigation. "La gendarmerie m'a signifié que ma présence n'est pas nécessaire, ce matin, j'ai pu ressortir", a t-il écrit sur sa page Facebook. "Nous pensions que vous avez un lien avec d'autres personnes, mais finalement, on a constaté hier que ce n'était pas le cas" , rapporte le journaliste, citant les propos de l'officier qui l'a reçu dans son bureau. "L'officier a pris mon numéro de téléphone, au cas où ils auraient besoin de moi et m'a cordialement remercié pour m'être présenté à la convocation", conclut le directeur des deux médias électronique qui a reçu mardi une convocation en mains propres, apportées par deux gendarmes au siège de l'agence, place Audin, à Alger.
  • 06-10-2020
    -Le journaliste et directeur de la web-radio Radio M et du site d’informations Maghreb émergent, El Kadi Ihsane, a été convoqué ce mardi 06 octobre 2020 par la gendarmerie nationale afin de se présenter à la brigade de recherche et d’investigation de Bab Ejdid et ce, dans les meilleurs délais », rapporte le Maghreb Emergent. La convocation amenée par deux gendarmes au siège de l’agence éditrice des deux médias évoque une « enquête préliminaire » comme motif, précise la même source. Le même site, qui dénonce un « harcèlement » comme ces deux médias et leur directeur, a également fait savoir que Ihsane El Kadi a aussi été interpellé à la sortie de son bureau par des éléments de la Direction de la sécurité intérieure (DSI) pour un « examen de situation » qui a duré six heures au siège algérois de ce service, le 18 juin 2020 à 18H30. Les deux sites d’information Radiom.info et maghrebemergent.info sont inaccessibles en Algérie sans VPN depuis le 9 avril dernier. Le ministre de la communication, Amar Belhimer, avait expliqué ce blocage par plusieurs motifs, jugés « contradictoires », affirmant « qu’une plainte en diffamation était sur le point d’être déposée pour un article jugé insultant pour la personne du président Abdelmadjid Tebboune ».
  • 05-10-2020
    -Le ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement, Amar Belhimer a reçu le président de l'Association des Oulémas musulmans algériens, Abderrezak Guessoum et le Secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Salim Labatcha, indique un communiqué du ministère. La rencontre qui s'est déroulée au siège du ministère en présence d'une délégation de l'Association des Oulémas musulmans a porté sur "le rôle des médias et leurs préparatifs en termes d'accompagnement des activités des associations et de la société civile, ainsi que leur apport à l'égard des citoyens". "Il s'agit là de la démarche que le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a toujours mise en avant, à travers l'orientation consacrée par des amendements proposés à la Constitution, appelant à octroyer à la société civile la place et le rôle qui lui sied, en matière de promotion du sens de citoyenneté et d'accompagnement des institutions de l'Etat dans la gestion des affaires publiques". Par ailleurs, le ministre de la Communication a précisé, lors de cette rencontre, que "les médias œuvreront, comme à l'accoutumée, à faire la lumière sur l'action syndicale et son rôle efficace sur le front social et dans les rangs des travailleurs, à travers des couvertures médiatiques".
  • 04-10-2020
    -Adam Nossiter, chef du bureau du quotidien américain The New York Times à Paris, spécialiste du Sahel et du Maghreb, a rencontré, à Alger, le président Abdelmadjid Tebboune, des responsables de l’État, des leaders de l’opposition et des figures du Hirak, et a consacré un article publié dans l’édition du 4 octobre 2020 sous le titre : « Un an après le Hirak, l’espoir d’un renouveau retombe en Algérie ». « Nous construisons ici un nouveau modèle”, explique le président Abdelmadjid Tebboune, 75 ans, au cours d’une entrevue de plusieurs heures dans son somptueux bureau, entouré de conseillers et fumant à la chaîne. “J’ai décidé de frapper fort en instituant une nouvelle politique et une nouvelle économie », écrit le journaliste. « Mais les habitudes ont la vie dure dans ce pays du Maghreb qui a connu près de 60 ans de répression, d’ingérence militaire, d’élections truquées, et très peu de démocratie. Dans les rues voisines de la présidence, les vieilles réalités de l’Algérie ont repris le dessus(…) L’opposition, elle, est affaiblie par son manque de leaders et l’absence d’un projet alternatif cohérent pour le pays », ajoute-t-il. Le journaliste précise qu’un an après qu’un soulèvement populaire ait chassé du pouvoir Abdelaziz Bouteflika, « l’autocrate au pouvoir depuis 20 ans, et conduit l’armée à emprisonner une grande partie de l’oligarchie dirigeante , l’espoir d’un changement radical du système politique et d’une vraie démocratie en Algérie retombe ». « Comment voulez-vous que nous soyons impliqués en politique ? » Adam Nossiter souligne que l’Algérie, « pièce maîtresse et insulaire du Maghreb », est le dixième producteur mondial de gaz naturel et possède la deuxième plus grande force armée d’Afrique, d’après certaines estimations (après l’armée égyptienne). « Le pays est un des meneurs des pays non-alignés depuis qu’il a arraché son indépendance à la France il y a 58 ans », écrit-il.Il revient sur l’affaire Khaled Drareni. « L’arrestation et la condamnation de l’un des plus célèbres journalistes du pays, Khaled Drareni, 40 ans, a durci le ton dans la rue et répandu la peur dans la presse algérienne(…) M. Drareni couvrait le Hirak avec un mélange de militantisme et de détachement », note le journaliste. Interrogé sur la liberté de la presse, le président Tebboune a répondu : «Tout le monde a droit à la liberté d’expression, mais seulement s’ils respectent l’ordre. Il est normal que quelqu’un qui insulte et qui attaque les symboles de l’état finisse au tribunal ». L’envoyé spécial de The New York Times a rencontré le général de corps d’armée Said Chengriha, chef d’état-major de l’ANP. « Comment voulez-vous que nous soyons impliqués en politique ? Nous ne sommes pas du tout formés pour ça”, assure ce général de 75 ans depuis le camp de l’armée sur les hauteurs d’Alger », rapporte le journaliste (« le camp de l’armée » signifie siège du ministère de la Défense nationale). La rencontre publique d’un officier supérieur de l’armée algérienne avec un journaliste étranger est une première. « Le général et le président affirment se réunir au moins deux fois par semaine pour s’entretenir de la situation du pays, qui est de plus en plus instable en raison de la baisse du prix du pétrole. Le pétrole et le gaz constituent plus de 90% des exportations de cette nation majoritairement désertique », relève-t-il………………………… -Le ministère de la Défense nationale (MDN) a apporté, lundi dans un communiqué, un démenti « formel » à certaines « allégations tendancieuses » formulées par des parties maliennes et reprises par certains médias maliens, faisant état d’une prétendue présence des éléments de l’Armée nationale populaire (ANP) dans la localité frontalière malienne d’In Khalil. « Suite à certaines allégations formulées par des parties maliennes et reprises par certains médias maliens, faisant état d’une prétendue présence des éléments de l’Armée nationale populaire dans la localité frontalière malienne d’In Khalil et qu’une partie du territoire malien a été annexée par l’Armée algérienne, le ministère de la Défense nationale tient à apporter un démenti formel à ces allégations tendancieuses », indique la même source. A ce titre, le MDN souligne que « ces allégations font suite à une mission technique conduite par des experts relevant du Service géographique et de télédétection de l’Armée nationale populaire accompagnés par un détachement de sécurisation et de protection et à l’intérieur du territoire national pour effectuer des travaux de vérification des bornes du tracé frontalier algéro-malien et à proximité de la localité frontalière malienne d’In Khalil, et que cette mission technique a achevé ses travaux en date du 21 septembre 2020 avant de quitter les lieux sans enregistrer aucun incident ». « Il convient de préciser que l’Algérie, qui a toujours veillé à la sécurisation de ses frontières nationales, notamment à l’ombre du climat d’instabilité prévalant dans la région du Sahel, réitère son total engagement à respecter la souveraineté des Etats et le principe de l’intangibilité des frontières, notamment avec un pays frère en l’occurrence le Mali, et ce, conformément aux dispositions de la Convention de bornage du 8 mai 1983 signée entre les deux pays, et réaffirme également son attachement à asseoir les principes de bon voisinage et à apporter aide et assistance aux pays voisins lorsque le besoin se fait ressentir », conclut le communiqué.
  • 02-10-2020
    -Participant à la tête de la délégation algérienne, le Directeur général de la Radio Algérie, Djamel Senhadri, a indiqué vendredi en marge de l’AG ordinaire et élective de l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) que « la participation de l’Algérie en tant que membre actif est très importante pour affirmer la place algérienne dans ce conglomérat de médias du monde ». Fidèle à sa présence active de puis 1970, date de son adhésion, l’Algérie prend part à la 84 ème AG ordinaire et élective de l’Union Européenne des Radio-télévision (UER) qui se tient à distance avec la participation du groupement des trois entreprises (Radio Algérie, Algérie télévision et TDA). Un groupement né de la dernière restructuration de l’entreprise mère sous le label RTA, regroupant à la fois la radio, la télévision et la diffusion. Pour rappel l’AG ordinaire est élective verra l’adoption des rapports moraux et financier du bureau en fin de mandat et élection d’un nouveau président et son adjoint. Fondée en 1950, l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER), dont le siège est à Genève, est la plus grande alliance de médias de service public (MSP) dans le monde. Sa mission consiste à rendre les MSP indispensables. Elle compte 117 organisations membres dans 56 pays d’Europe, d’Afrique du Nord et du Proche-Orient, et 34 affiliés dans 21 pays d’autres régions du monde. L’UER collabore étroitement avec les Unions sœurs des autres continents que sont l’ABU (Asia Pacific Broadcasting Union), la NABA (North American Broadcasters Association), l’URTNA (Union des radios et télévisions nationales d’Afrique), l’ASBU (Arab States Broadcasting Union) et l’OTI (Organización de la Televisión Iberoamericana).
  • 01-10-2020
    -Le ministère de la Communication a annoncé, dans un communiqué jeudi, le lancement du "Prix du Président de la République du journaliste professionnel", organisée dans sa sixième édition, pour l’année 2020, sous le thème "La numérisation, passerelle vers l’Algérie nouvelle", sera décerné à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la Presse, le 22 octobre 2020.................................................................................. -Le journaliste Khaled Drareni reçoit , le prix spécial du jury de la 13e édition des Assises internationales du journalisme qui se tient chaque année dans la ville de Tours, à l’ouest de la France. Lors de cette édition spéciale consacrée à l’“information aux temps du Covid”, le jury a décerné, à l’unanimité, le prix spécial des Assises 2020 au fondateur du site électronique Casbah Tribune pour “son professionnalisme et sa rigueur dans la couverture du Hirak en Algérie”.