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Communication ( et Presse)

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  • 30-07-2020
    -Condamné à 18 ans de prison ferme avec saisie de tous les biens, le patron du groupe ETRHB Ali Haddad, aurait engagé un lobbyiste américain proche du président américain pour la somme de 10 millions de dollars. C’est ce qu’a révélé, hier mercredi 29 juillet, le site spécialisé « foreignlobby.com ». « L’un des hommes d’affaires les plus riches d’Algérie a embauché un lobbyiste proche du président Donald Trump pour la somme époustouflante de 10 millions de dollars à peine quelques semaines après qu’un tribunal l’a condamné à 18 ans de prison pour corruption ». Ce contrat d’un an a été signé par Sabrina Ben, une conseillère spéciale d’Ali Haddad établie à Paris. Selon le site, Haddad aurait demandé au « Sonoran Public Group » de fournir des services de conseils d’entreprise et personnels. Ainsi que « d’autres services sur une base convenue ». Le média foreignlobby, le groupe n’a pas fourni de détails concernant « la nature de leur travail avec Ali Haddad ». Pour rappel, Ali Haddad a été condamné, le 1er juillet 2020 par le tribunal Sidi Mhamed, à 18 ans de prison ferme et à une amende de 8 millions DA, tandis que ces cinq frères, en l’occurrence Rebouh, Mohammed, Omar, Soufiane et Meziane, ils ont été condamnés à 4 ans de prison ferme assortis d’une amende de 8 millions DA chacun.
  • 29-07-2020
    -L'ancien Correspondant de France 24, Moncef Ait Kaci et son collégue, cameraman, Ramdane Rahmouni, sont libérés mercredi, selon la même chaîne de télévision française qui cite des sources familiales . Un peu plus tôt, France 24 indiquait en bandeau que ses responsables entreprenaient des démarches pour obtenir la libération des deux journalistes, précisant même que "le Quai d'Orsay était informé" Pour rappel, Moncef Ait Kaci et son collègue Ramdane Rahmouni a été placés, mardi, sous mandat de dépôt au terme de leur audition au tribunal de Bir Mourad Rais. Il seraient poursuivis pour "collaboration sans accréditation" et "financement étranger"
  • 28-07-2020
    -L'ancien correspondant de la chaîne télévision française France 24, Moncef Ait Kaci, a été placé, mardi, sous mandat de dépôt au terme de son audition au tribunal de Bir Mourad Rais (Alger). Selon des sources concordantes, il lui est reproché d'avoir travaillé depuis l'Algérie pour le compte de France 24 sans accréditation. Il serait poursuivi pour "collaboration sans accréditation" et "financement étranger"………………………………………………………. - «Toutes les conditions» sont réunies pour permettre aux représentants de la presse étrangère accréditée en Algérie d'exercer leur métier, a affirmé, hier à Alger, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer. «L'Algérie offre toutes les facilités aux correspondants des médias étrangers pour leur permettre d'exercer leur métier et ce, dans le respect des règles d'éthique et de déontologie», a déclaré M. Belhimer, lors de la cérémonie de remise des accréditations à des représentants des médias étrangers accrédités en Algérie. A cette occasion, le ministre a tenu également à adresser ses «encouragements» aux professionnels de la presse nationale assurant leur mission «dans des conditions difficiles» en raison de la pandémie du Coronavirus, citant «les difficultés de circulation, l'éloignement de leurs familles et des sièges de leurs médias». Aux côtés du ministre de la Communication, étaient notamment présents à cette cérémonie les représentants des ministère des Affaires étrangères (MAE), Abdelaziz Benali Cherif, de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Laidaoui Hamouda. Une cinquantaine de représentants de médias étrangers se sont vus remettre leurs accréditations, ou la reconduction de celles-ci pour la majorité d'entre eux, dont ceux de la BBC (Radio), des Agences de presse française (AFP), anglaise (Reuters), américaine (AP), chinoises (Chine nouvelle, CCTV), vietnamienne (AVI), ainsi que des chaînes de télévisions El-Arabiya, El-Horra, El-Aâlam, El-Hadath et El Ghad
  • 22-07-2020
    -Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer a révélé dans un entretien accordé au journal Elhiwar, que le secteur de la presse digitale compte « plus de 150 sites électroniques, dont 130 sites déclarés auprès du ministère de la Communication, la majeure partie étant domiciliée à l’étranger »
  • 21-07-2020
    - L’autorité de régulation de l’audiovisuel (l’ARAV) a adressé un avertissement pour les chaînes Echourouk Tv et Ennahar Tv suite à la diffusion de programmes qui portent atteinte à la dignité de la femme. L’ARAV a notamment protesté contre la diffusion par la chaîne Echourouk dans son émission « Khat El Ahmar » (Ligne rouge) des images montrant une femme qui se prosterne pour embrasser le pied de son mari devant des centaines de téléspectateurs. Pour L’ARAV cette scène fait la promotion d’une image laide et humiliante pour la femme. L’autorité a exigé de la chaîne de supprimer cette image avant qu’elle ne soit diffusée, puisque c’est un geste privé et intime entre conjoints qui n’ont pas besoin de diffusion. D’un autre coté, l’ARAV a critiqué la chaîne Ennahar, qui a diffusé dans l’émission « Ma oura el Djoudran (Derrière les murs), un épisode sur l’évasion d’une femme du domicile conjugal, qui a été soumise à la torture et à l’oppression physique et psychologique de son mari. L’autorité a affirmé que le traitement de ces cas nécessite des psychologues, des travailleurs sociaux et une expérience professionnelle de la part des concepteurs de programmes, et ne pas faire le buzz afin d’atteindre des audiences au détriment de la dignité humaine.
  • 19-07-2020
    -L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) est montée de nouveau au créneau pour rappeler aux télévisions privées l’obligation , d' « interrompre immédiatement » les campagnes publicitaires destinées à promouvoir les produits pharmaceutiques et les compléments alimentaires, lesquelles « requièrent des autorisations de la part d’autorités scientifiques compétentes« , indique un communiqué de l’ARAV. Mohamed Louber, président de l’ARAV, s’exprimant dimanche sur les ondes de la radio nationale, a confirmé la mise en demeure adressée aux télévisons privées, indiquant,par ailleurs, que son instance sera partenaire du ministère de la Communication dans le dossiers de la publicité. La directrice de la Publicité de la télévision « AlgérieOne », interrogée également par la radio chaîne 3, a assuré que la chaîne pour laquelle elle travaille a décidé de suspendre le publicité sur le compléments alimentaires, en application de l'injonction de l'ARAV. Néanmoins, elle explique que son média a signé des contrats avec annonceurs et se demande surtout « pourquoi interdire la publicité sur les compléments alimentaires , dés lors qu’ils sont autorisés à la vente?" Pour sa part Mohamed Bekkat Berkani, président de l’Ordre national des médecins est formel en expliquant que la publicité sur ces produits exige une autorisation préalable de l’Autorité médicale. Et de rappeler que « la loi interdit strictement l’apparition d’un médecin et autre personnel soignant sur une publicité, cela tombe sous le coup de la loi » Cette affaire des compléments alimentaires pose à nouveau la nécessité d’une remise en ordre révolutionnaire du marché de la publicité qui continue encore aujourd’hui de fonctionner selon la loi de la jungle où chacun fait ce qu’il veut, au mépris de la loi.................................................................................... --Entrevue avec la presse (deux journalistes) du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune , diffusée dimanche soir (19/7/2020) .
  • 12-07-2020
    -Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer a appelé les médias publics audiovisuels et écrits à s’organiser de « manière profonde » selon les nouvelles exigences qui impliquent leur modernisation et leur transformation en entreprises organisées en portails numériques offrant des produits variés. « Les médias publics audiovisuels et écrits sont appelés à être réorganisés de manière profonde. C’est l’époque qui l’exige et qui implique de les moderniser et de les transformer en entreprises organisées en portails numériques offrant des produits variés. C’est-à-dire une offre basée sur le texte, le son et l’image, ce qui est une règle valable pour tout le monde : presse écrite imprimée, sites électroniques, radios et télés », a indiqué le ministre dans un entretien au quotidien « la Sentinelle » (………….). Pour lui, « Il s’agit à l’heure actuelle de la nomination de nouveaux DG et PDG d’entreprises du secteur économique de la Communication. Des responsables chargés d’assainir des sociétés assises actuellement sur des déséquilibres structurels, financiers et humains, et qui accumulent déficits de tous genres et pertes d’argent ». « Ces nouveaux dirigeants sont chargés de les préparer à constituer à terme des groupes économiques autonomes sous l’égide du CPE, le Conseil des participations de l’Etat qui dépend du Premier ministre. Sont ainsi concernés l’ANEP, les Imprimeries et les six titres de la presse écrite publique », a-t-il dit, tout en signalant, à ce propos, que le secteur de la Communication « est aujourd’hui le seul à ne pas avoir opéré cette mutation ». Il a expliqué qu' »une fois assainies, ces entreprises devraient se diversifier et produire de la richesse (…………….) . Le ministre a annoncé en outre la réactivation du Fonds d’aide à la presse, gelé en 2015. « Indépendamment des futurs ressources du Fonds d’aide à la presse qui a été gelé en 2015 et vu ses réserves transférées au Trésor Public. Ce Fonds, et c’est là une vraie bonne nouvelle, a été réactivé sur décision du Premier ministre et à ma demande », s’est-il félicité, indiquant que la presse « bénéficiera donc de deux sources de subvention directes ou indirectes, via l’ANEP et ce Fonds d’aide ». Sur le chantier de réformes relatif aux médias digitaux, il a annoncé qu' »un texte réglementaire, et non une loi, sera promulgué au sujet de la presse numérique dont nous voulons légaliser l’existence de fait, afin de lui permettre notamment de bénéficier légalement de la publicité et de tout autre forme d’aide publique à la presse », faisant savoir que « les observations et autres préconisations des professionnels ont été prises en compte dans leur ensemble ».
  • 11-07-2020
    -Devant la tendance des citoyens à se laisser aller en négligeant les mesures barrières contre la Covid-19, le ministre de la Communication a annoncé samedi une campagne nationale tous azimuts, impliquant différents supports médiatiques et l'Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP). Il s’agira à travers cette campagne qui sera lancée la semaine prochain de sensibiliser les citoyens sur le strict respect des mesures préventives pour empêcher la propagation du coronavirus (Covid-19. Amar Belhimer qui s'exprimait lors d'une réunion l'ayant regroupé avec le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, le PDG de l'ANEP, Larbi Ouanoughi, et des membres du Comité scientifique de surveillance de l'évolution de la pandémie, a indiqué que cette rencontre intervenait dans un contexte à la fois de recrudescence de cas de Covid-19, mais aussi, ajoute Belhimeur, contre la malveillance de certains organes de presse, en travaillant dans le sens de l'apaisement et contre ceux qui exploitent cette situation, et pour ne pas céder à la panique et à la psychose". Il s'agit, pour le ministre, de "mettre à jour" les éléments de communication pour faire valoir, un peu plus, les contraintes "légales" des gestes barrières, occuper l'espace public (commerces, bus, trains...etc) et parvenir, ce faisant, à l'esprit du citoyen en vulgarisant au maximum ces éléments de langage. "Pour y parvenir, il faudrait connaitre et exploiter l'anthropologie du peuple algérien et délivrer les messages (spots publicitaires, images explicatives et génériques des gestes barrières) sous diverses déclinaisons linguistiques (Arabe, Amazigh et Français)", a-t-il expliqué, affirmant que cette voix est l'unique pour répondre aux sollicitations des hautes autorités du pays, à leur tête le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
  • 10-07-2020
    - Des éditeurs des journaux nationaux et régionaux paraissant à Oran ont demandé, mercredi, à poursuivre l’impression de leurs titres suivant les exigences de la situation sanitaire actuelle. La direction de la Société publique d’impression de l’Ouest (SIO) avait permis, exceptionnellement, à une douzaine de quotidiens paraissant dans l’Ouest du pays, sur leur demande, de réduire le nombre de pagination à 16 seulement au lieu de 24 pages, en raison du recul de la matière d’information et de la publicité, dans la conjoncture marquée par la pandémie de coronavirus, avant qu'elle ne revienne sur sa décision en invitant les journaux à reprendre le système d'impression contracté, ont-il affirmé à l’APS. Le président-directeur général du groupe de presse Ouest Tribune, Abdelkader Bensahnoune, a indiqué que «cette mesure exceptionnelle est appliquée en adéquation avec la situation sanitaire actuelle, et partant de ses répercussions sur le volet économique des entreprises médiatiques, à l'instar des entreprises de différents domaines». «Nous résistons face à cette conjoncture pour continuer d'exister sur la scène médiatique, de paraître, au grand bien des lecteurs, et préserver les postes d’emploi des journalistes et des travailleurs», a-t-il ajouté. De son côté, la directrice générale du quotidien Cap Ouest, Hafida Benarmas, a déploré la situation dans laquelle les journaux se débattent, à l’instar de son journal, en raison de la situation économique «critique», estimant que «la poursuite du tirage à 16 pages, dans les conditions actuelles, est nécessaire, pour ne pas disparaître des étals et préserver les salaires des journalistes et des travailleurs». «Nous avons veillé à accompagner les efforts de l’Etat, notamment en focalisant dans nos pages sur la sensibilisation et la prévention contre la propagation de la pandémie de coronavirus», a-t-elle poursuivi, s'interrogeant à ce propos, «pourquoi ne pas permettre à nos journaux de bénéficier des mesures exceptionnelles alors que l’Etat continue à les appliquer dans les différents autres domaines ?» Pour le directeur général du quotidien Echabbab Al-Djazairi (la jeunesse algérienne), Ali Guettaf, la crise sanitaire a eu «un grand impact économique» sur son journal, surtout que les mesures de prévention, décidées par les pouvoirs publics, ont eu pour conséquence la réduction des effectifs, ce qui a conduit à la baisse du contenu informationnel, nonobstant le grand recul de la publicité. Au sujet de la notification portant sur le retour au système de 24 pages, le P-DG de la SIO, Abdelkader Mohamed, a expliqué à l'APS que «la suspension de la mesure exceptionnelle est dictée par la situation financière de la SIO, qui a vu son chiffre d’affaires réduit de 40%, durant ces derniers mois», soutenant que « le recours à cette nouvelle décision est liée à une contrainte technique concernant la programmation des rotatives», faisant savoir à ce titre que la société imprime une quarantaine de quotidiens et la pagination à 16 exige pour un nombre de titres des mesures techniques «coûteuses». Le même responsable a souligné que «la réduction du nombre de pages implique la réduction de la facture du tirage, alors que son prix dans les kiosques reste le même». Dans une déclaration à l’APS sur cette question, le ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a indiqué qu’«il appartient aux éditeurs seuls de définir leur propre pagination et c'est aux lecteurs de décider de la qualité de la ligne éditoriale du titre», ajoutant qu’il est attendu de tous les opérateurs publics d’être compréhensifs à l'égard de la situation financière des éditeurs induite par la pandémie de covid-19, et de reporter les délais de paiement, après la levée de toutes les mesures de prévention. s éveillé les soupçons des autorités. Selon les experts, Tahkout changeait de registres de commerce
  • 08-07-2020
    -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a enjoint, mercredi 8/7/2020 , aux médias audiovisuels d'"interrompre immédiatement" les campagnes publicitaires destinées à promouvoir les produits pharmaceutiques et les compléments alimentaires, lesquelles "requièrent des autorisations de la part d'autorités scientifiques compétentes", indique un communiqué de l'ARAV
  • 06-07-2020
    -Le cyber-activiste algérien à Paris, Amir Boukhors, plus connu sous le sobriquet d’ «Amir DZ», a été arrêté et présenté aujourd’hui lundi devant les enquêteurs de la Brigade Centrale de Répression de la cybercriminalité Informatique (BCRCI), L’arrestation d’Amir DZ n’aurait rien à avoir avec ses «activités politiques» d’influenceurs des réseaux sociaux contre le régime algérien, et ferait suite à des plaintes portant «violation de la vie privée» déposées contre lui par des algériens établis en France.
  • 05-07-2020
    -C’est la première fois depuis son lancement, que la chaîne Djil FM réservé aux jeunes, accueille un haut responsable, en l’occurrence le premier ministre Abdelaziz Djerad. « Il faut que nos jeunes reprennent l’histoire de leur pays » et se «mobilise» pour construire la nouvelle Algérie, a notamment déclaré le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, lors de son passage, samedi, sur les ondes de la Chaine Jil FM , de la Radio Algérienne. Pour construire un bel avenir, il faut tout d’abord « aimer son pays», estime le Premier ministre, en précisant que «c’est la leçon que nos martyrs nous ont donnée» par leurs grands sacrifices. La jeunesse algérienne, ajoute M. Djerad, est également conviée à s’inspirer de nos ancestrales valeurs et enracinés fondements qui privilégient « le dialogue constructif et inclusif, la concertation consensuelle et sage», ainsi que le partage des préoccupations et des aspirations pour un lendemain meilleur.
  • 04-07-2020
    - L’ex-candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2019, Slimane Bakhlili va lancer à partir de ce 5 juillet sa propre chaîne de télévision El Badil TV, sur le bouquet Nilesat. L’annonce a été faite sur les réseaux sociaux et la mire de la chaîne est déjà disponible sur le satellite juste avant les deux chaînes du groupe Echourouk. Journaliste érudit, Slimane Bakhlili, est un producteur et animateur réputé. Il avait débuté dans l’audiovisuel sur l’Entv en 1985 comme journaliste avant de lancer sa propre émission « Khatem Souleiman », une émission de qualité qui teste la grande culture de la vox populi. L’émission avait remporté un grand succès durant le ramadhan. Un concept à succès qui a été ensuite diffusé sur plusieurs satellitaires arabes dont la chaîne MBC. Slimane Bakhlili a occupé ensuite plusieurs postes de responsabilité, dont directeur de la production de l’ENTV et ensuite directeur exécutive d’Echourouk Tv, après l’ouverture audiovisuelle au privé. Depuis quelques années, il a tenté une carrière politique en se présentant comme candidat à l’élection présidentielle. Après avoir échoué à récolter les voix nécessaire pour sa candidature, Bakhlili a rallié sa cause au candidat Ali Benflis durant la campagne électorale de la présidentielle de 2019. Après l’échec de Benflis et son retrait de la politique, Bakhlili a décidé de revenir à sa passion l’audiovisuel et à lancer sa propre chaîne El Badil Tv (« L’équivalent » en français). On ignore quelle orientation va-t-il donné à sa chaîne, mais selon toute vraisemblance, El Badil Tv ne s’éloignera pas beaucoup de la ligne adopté par Echourouk Tv, basée sur le divertissement, la spiritualité et surtout la connaissance.
  • 02-07-2020
    -Après plusieurs mois d’attente, la famille Rabrab a officiellement confirmé le journaliste Hassane Ouali dans le poste de directeur de la publication et gérant du quotidien Liberté, dans un communiqué publié aujourd’hui dans le quotidien. Réunie en session ordinaire, lundi 29 juin 2020 au siège du journal, l’assemblée générale de la Sarl SAEC, société éditrice de Liberté, a désigné le journaliste Hassane Ouali au poste de directeur de la publication-gérant du quotidien Liberté, qui prend ses fonctions dès aujourd’hui. Il succède ainsi à Saïd Chekri, admis à la retraite, a encore précisé le communiqué du quotidien propriété de la famille Rabrab. Cette décision a été prise suite à l’échec des propriétaires de recruter Amer Ouali, ex chef de bureau de l’AFP à Alger et journaliste considéré comme une pointure adapté pour ce poste dans un quotidien aussi important que Liberté. Le quotidien Liberté qui a été lancé en 1992 par l’ex journaliste d’El Moudjahid Ahmed Fattani était devenu un modèle de réussite médiatique dans la presse privée dans les années 90, surtout durant la décennie noire où le quotidien était en avant ligne dans la lutte contre le terrorisme et la politique obscurantiste. Mais la montée en puissance d’un des actionnaires en l’occurrence Isaad Rabrab, qui a acheté la majorité des actions de la société éditrice du journal a obligé le fondateur du journal Ahmed Fattani à quitter liberté et à créer un autre quotidien en l’occurrence L’Expression. Isaad Rabrab devenu actionnaire majoritaire du journal a installé à cette époque un ancien fonctionnaire du ministère de la Communication Abrous Outoudert. Ce dernier a dirigé le journal durant plus d’une décennie avant d’être remplacé par un actionnaire de la société Ali Ouafeck, mais ce dernier n’a pas su maintenir le cap. Plusieurs directeurs se sont alors succédés à la tête de Liberté entre 2004 et 2020. Hassane Ouali, devient après cette nomination le plus jeune directeur de publication de liberté. Ex journaliste d’El Watan, ce dernier qui possède une longue expérience en tant que journaliste n’a jamais occupé de poste de gestionnaire ou de responsabilité éditoriale dans un quotidien. Sa mission sera difficile face à la concurrence des médias électroniques et des chaînes privées. Même si Liberté a opéré un virage numérique en adoptant une double diffusion : Papier et digitale, il reste fortement concurrencé par les sites électroniques. L’objectif des Rabrab est d’assurer la transformation numérique de leur média surtout après l’échec de l’opération du groupe El Khabar.