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Communication ( et Presse)

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  • 28-02-2021
    - L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a averti, ce dimanche, les chaînes d'informations audiovisuelles à «l'impératif de veiller à la probité des programmes de débats loin de l'insulte, l'invective et l'attaque à la vie privée des personnes, qu'elles soient toujours ou pas en poste», indique un communiqué de l'Autorité. «L'ARAV avertit encore une fois l'ensemble des chaînes d'informations audiovisuelles à l'impératif de veiller à la probité des programmes de débats loin de l'insulte, l'invective et l'attaque à la vie privée des personnes, qu'elles soient toujours ou pas en poste et quel que soit le prétexte», souligne la même source qui appelle au «respect du cadre objectif du programme et ce qui intéresse le téléspectateur». Le communiqué de l'ARAV intervient en réponse à une plainte déposée, le 22 février, par le ministre de la Jeunesse et des Sports contre la chaîne TV Ennahar pour «campagne de diffamation et d'attaque contre sa personne et contre les membres de son département» à travers l'émission «Dakhel 18» (Dans les 18 mn). «Après visionnage de l'émission et confirmation de ‘’l'attaque’’ contre le ministre et son instance, l'ARAV a adressé une convocation pour explications à la chaîne, dont le représentant a reconnu l'erreur et a présenté des excuses, s'engageant à ce que ce genre de dépassement ne se reproduise plus’, précise la même source. Rappelant que la liberté de la presse ‘est une liberté responsable mais non absolue’, l'ARAV affirme que ‘combien même elle (liberté de la presse) ouvre le champ au débat, dans le cadre de la critique constructive et des règles de déontologie, de n'importe quelle question, elle ne saurait être un moyen de dénigrement, de diffamation ou d'insulte’. En conclusion, l'ARAV met en garde, dans son communiqué, contre des mesures pénales conformément à la loi en cas de non-respect des règles du droit public, de la loi relative à l'activité audiovisuelle et la déontologie.
  • 27-02-2021
    -Dans un entretien accordé au site Shihab Presse Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer, a indiqué samedi que les parties qui ont tenté d'instrumentaliser le 2e anniversaire du Hirak populaire "ont échoué et essuyé un sévère revers de la part du peuple algérien", qui a célébré cette date "de manière pacifique et civilisée". Il a rappelé que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a décrété le 22 février "Journée nationale de la cohésion entre le peuple et son armée pour la démocratie" au service du développement, de la souveraineté nationale et du renforcement du front intérieur de l'Etat national".
  • 23-02-2021
    -Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a souligné mardi l'«urgence» de faire face à la cybercriminalité, en se focalisant sur la garantie de la souveraineté cybernétique basée sur la production d'un contenu national «qualitatif» sur les sites électroniques et les plate-formes universitaires. «Vu que 70% des Algériens consultent la presse électronique, il est devenu urgent de faire face à la cybercriminalité, en se focalisant sur la garantie de la souveraineté cybernétique, basée sur la production d'un contenu national qualitatif et les plate-formes universitaires et la sécurisation du réseau en vue de consacrer la souveraineté de l'Etat», a indiqué M. Belhimer dans un entretien accordé au quotidien national Cresus. En ce sens, le ministre a exigé la domiciliation dans le domaine.dz des sites électroniques régis par le décret exécutif relatif aux modalités d'exercice de l'activité d'information en ligne et de diffusion de mise au point ou rectification sur le site électronique. Pour A. Belhimer, la sécurisation des plate-formes web et sites électroniques est un «enjeu fondamental», citant à cet effet un audit des sites web institutionnels réalisé par l'Observatoire du groupement algérien des acteurs du numérique. Il a ainsi relevé que «le certificat SSL constitue une des protections les plus indispensables à déployer sur un site web», faisant remarquer que «85% des sites web audités ne disposent pas de ce certificat et ce, en dépit des assurances réitérées par le ministère». M. Belhimer a expliqué : «Depuis l'arrivée en masse des réseaux asociaux, je dis bien asociaux et je préfère cette expression à celle en vigueur, la Constitution algérienne déclare inviolables et protégés par la loi, la vie privée et l'honneur du citoyen.? Elle garantit le secret de la correspondance et de la communication privée». Le ministre a ajouté que ces «grandes catégories de droit» sont énoncées dans la nouvelle Constitution, adoptée en novembre 2020, précisant à cet égard «qu'en droit, la vie privée est circonscrite à trois éléments de la personnalité : le respect des comportements, de l'anonymat et de la vie relationnelle». A. Belhimer s'est ainsi dit «favorable à un renforcement de leur protection par l'édiction des peines les plus lourdes, quel que soit le mobile ou le statut social de l'agresseur», estimant que «c'est d'autant plus nécessaire que le phénomène n'épargne personne et prend des proportions alarmantes». A une question sur les fonds d'aide à la presse, gelés depuis 2014, il a indiqué qu'il est envisagé de les «réactiver pour notamment, accompagner la transition du papier au numérique, soutenir les efforts de formation et de perfectionnement», soulignant que «la loi de finance complémentaire est au plan procédural, le moment idoine pour le faire». S'agissant de l'Autorité de régulation de la presse écrite prévue par la loi de 2014, A. Belhimer l'a qualifiée «d'obsolète au regard de l'absence de référence internationale en la matière et à l'avènement du nouveau cadre constitutionnel». Il a indiqué avoir envisagé en lieu et place de cette autorité, un «Conseil national de la presse écrite ayant en charge la délivrance de la carte de presse, les arbitrages en cas de manquements aux règles éthiques et déontologiques et la ‘’médiatrie’’ que commande une équitable répartition de la manne publicitaire selon une formule qui assure que le champ médiatique reste ouvert à l'abri de tout monopole, tout en récompensant le mérite». Enchainant sur les grands chantiers de la réforme initiés par son département, le ministre a précisé que ces chantiers tiennent de deux grandes préoccupations, à savoir le raffermissement de l'exercice démocratique et l'encadrement juridique des activités de communication. Il a expliqué qu'au titre de la première préoccupation, avoir retenu «le renforcement du cadre référentiel (au titre de la vision constitutionnelle), la préservation du cadre pluriel et concurrentiel de l'activité de communication (loin des abus de positions dominantes et des concentrations), le développement de la communication institutionnelle, le développement de la communication de proximité. Au titre de l'encadrement juridique des activités de communication, il a cité «la codification de l'activité de presse électronique multimédias (écrite, web radio et web télé), une loi sur la publicité, l'encadrement de l'activité de sondage d'opinion, une assise juridique pour les agences de communication, l'autorégulation de la presse écrite : Conseil national de la presse écrite (CNPE), le rapatriement juridique et technologique des chaînes de télévision privées. «Des dix chantiers, initiés il y a un peu plus d'un an, c'est celui de la réhabilitation du professionnalisme et de l'éthique et de la déontologie -les trois vont ensemble- qui me tient le plus à cœur», a précisé le ministre, avant de conclure : «J'ai initié cette réhabilitation sur la base d'une démarche inclusive et résiliente pour concilier deux grandes catégories juridiques qui me paraissent commander un exercice apaisé de ce noble métier : la liberté et la responsabilité. L'une ne va pas sans l'autre dans une société démocratique».
  • 20-02-2021
    -A l’occasion du 32e anniversaire de la fondation de l’Union du Maghreb arabe le 17 février, plus d’une centaine de journalistes du Maroc, de Tunisie, de Libye, de Mauritanie et de l’Algérie ont annoncé mercredi soir la création de l’Union maghrébine des journalistes. Selon Al Araby Al Jadid, il s’agit d’une union qui comprend dans son organe fondateur des journalistes de diverses institutions médiatiques du Maghreb. Dans un communiqué, les fondateurs ont exprimé leur intention de faire de cette organisation «un cadre professionnel qui travaille en concertation et en dialogue ouvert et constructif pour limiter les préoccupations des journalistes au Maghreb, pour travailler à l’amélioration des conditions de travail des journalistes, pour faire avancer la profession du journalisme et d’en faire un outil efficace au service des enjeux communs». Ils ont annoncé que la Mauritanie a été choisie comme siège de l’organisation, dont la première conférence se tiendrait dans les mois à venir afin d’élire un bureau. De plus, un comité dirigé par le chef du Syndicat des journalistes mauritaniens, Mohamed Salem Ould Dah, a été nommé, qui comprend Faouzia El Ghiloufi de Tunisie, Nasr Faouzi Al Mahdawi de Libye, Anas Mourid du Maroc et Riad Boukhdcha président du Conseil national des journalistes algériens, représentera l’Algérie.
  • 17-02-2021
    -L’État algérien a «béni, protégé et constitutionnalisé le Hirak populaire, et satisfait ses revendications légitimes dans des délais record», a déclaré le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, ce mercredi , au journal électronique «Algérie Maintenant». Rappelant que l’Algérie célèbrera, le 22 février, la Journée nationale de la fraternité et de la cohésion peuple-armée pour la démocratie, «instituée par le Président de la République en 2020 en tant que gage entre l’Armée nationale populaire (ANP) et la Nation et renouvellement du serment de protéger la patrie et de concrétiser son développement», M. Belhimer a affirmé que «si certains veulent faire du Hirak un fonds de commerce et un moyen de pression pour déstabiliser l’Algérie et susciter la fitna, le citoyen est bien conscient que l’Etat a béni, protégé et constitutionnalisé le Hirak populaire et satisfait ses revendications légitimes dans des délais records».
  • 13-02-2021
    -A quelques jours du deuxième anniversaire du Hirak, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a accordé un entretien au Soir d’Algérie (samedi 13/2/2021) où il fait le point sur ce mouvement populaire, d'une part, et le bilan du gouvernement post-Hirak après une année de sa rentrée en fonction, d'autre part. Sur le premier point relatif au Hirak, d'emblée, Belhimer nous rappelle que le mouvement est inscrit dans la mémoire collective et le droit algérien tout en distinguant entre le «Hirak historique originel», au diapason et en convergence avec l'ANP que le président de la République Abdelmadjid Tebboune qualifie d'«acquis pour le peuple et le militantisme pacifique dans notre pays», ajoutant «qu’ il a permis de mettre un terme à ce qui avait fait de nous la risée du monde», et le «néo-Hirak» composé des résidus de l'ancien système, premières cibles du Hirak originel, entre autres, qui ont pris le train en marche et «qui espèrent un retour aux affaires et aux commandes». Sur le volet relatif à la situation sociopolitique, le porte-parole du gouvernement, en arborant succinctement le bilan du gouvernement, estime que la situation d’ensemble «a connu une nette amélioration sur plusieurs plans en dépit de la crise sanitaire qui a imposé une récession économique mondiale» en croyant fort que «beaucoup de progrès ont été enregistrés à tous les niveaux et sur tous les plans et que «seuls les aveuglés par la haine qu'ils vouent à l'Algérie osent nier», a-t-il assené.
  • 12-02-2021
    - La réactivation du Fonds d’aide à la presse, gelé en 2014, est programmée pour l’année en cours, a annoncé le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer. “Cette réactivation, validée par le Premier ministre sur la base d’une proposition que nous avions faite, tend à aider les médias privés à surmonter leurs difficultés financières, compliquées davantage par l’arrêt des activités engendré par la pandémie du coronavirus (Covid-19)”, a indiqué A. Belhimer dans un entretien sur un site privé. Sur un autre plan, le ministre a fait savoir que la plupart des dix chantiers lancés, en janvier 2020, “pour assainir un secteur longtemps laissé au désarroi, sont bien avancés”. Il s’agit notamment des chantiers relatifs “à la mise en place d’un cadre juridique adéquat pour régir le secteur de la presse électronique, la mise à jour des statuts de TDA pour la commercialisation des produits offerts par Alcomsat-1, la publicité, le sondage et les agences de communication”. A. Belhimer a rappelé que l’année 2021 sera consacrée à l’amendement de la loi organique relative à l’information de 2012 “en vue de l’adapter à la nouvelle Constitution et aux mutations que connait le secteur” et qui sera “pensée avec le concours de l’ensemble des acteurs et professionnels du secteur”. “Pendant ce temps-là, les autres chantiers se poursuivront à grand pas à l’image de l’élaboration d’un cadre juridique relatif à la publicité et un autre régissant l’activité des sociétés de communication”, a-t-il dit. Le ministre a indiqué que le marché de la publicité “n’a pas été laissé dans l’état d’anarchie qu’il connaissait”, indiquant, qu'”en attendant l’adoption du décret exécutif relatif à cette branche d’activité, l’ANEP a entrepris, en sa qualité de régie exclusive de l’Etat, de mettre en conformité l’accès aux annonces publiques avec les lois de la République, par une série de critères transitoires, quinze en tout, qui prendront effet incessamment”. Il a également évoqué la presse électronique en affirmant qu’il a été mis fin “à l’anarchie” par l’élaboration d’un décret aujourd’hui en vigueur. Interrogé, par ailleurs, sur la situation du secteur de la Communication, il a indiqué qu'”assainir un champ ruiné et miné exige à la fois du temps et de la persévérance”. “Nous continuons à travailler pour une amélioration de la situation du secteur de la Communication qui a été durant longtemps rongé par les intrus et les affairistes”, a-t-il regretté. Pour le ministre, l’aspect de la sécurité numérique, qui constitue un défi majeur de l’heure, “exige que tous les sites électroniques d’information ou autres, soient hébergés localement afin de protéger les données du pays”. Les journaux électroniques, existants et ceux à avenir, sont ainsi invités à rapatrier l’hébergement physique et logique de leur site dans le domaine “.dz”, sachant que les capacités nationales dans ce domaine sont de plus en plus importantes. A. Belhimer a indiqué que les opérateurs comme l’entreprise de télédiffusion (TDA), Algérie Télécom, Mobilis ou encore l’Agence de presse “Algérie Presse Service” (APS) disposent de Data Center répondant à tous les besoins d’hébergement des sites électroniques et de stockage des contenus informatisés (stockés en Cloud). L’Algérie nouvelle accorde une importance cruciale à la liberté de la presse Le ministre a affirmé que “l’Algérie nouvelle, telle qu’annoncée par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, accorde une importance cruciale à la liberté de la presse, levier de la démocratie”. Il a rappelé que “le Chef de l’Etat fait de la communication l’un des piliers de la nouvelle République à travers la création d’un environnement favorable au renforcement du professionnalisme des médias et des journalistes”, ajoutant que dans son programme contenant 54 engagements essentiels, “le président de la République consacre un intérêt particulier au secteur et aux professionnels des médias traditionnels et nouveaux”. M. Belhimer a réitéré, à cette occasion, qu'”il n’existe pas de prisonniers d’opinion en Algérie”. “Il ne faut pas, pour des motivations occultes, faire l’amalgame entre l’emprisonnement d’un journaliste pour délit d’opinion et le caractère sacro-saint de la justice lorsqu’un délit est commis, quand bien même par un journaliste”, a-t-il relevé, ajoutant que “le journaliste a des devoirs et des droits garantis et protégés par la loi en sa qualité de professionnel de l’information. Mais lorsqu’il commet des délits il est jugé et condamné comme tout citoyen qui enfreint la loi. Nul n’est au-dessus de la loi”, a-t-il martelé.
  • 09-02-2021
    -La chaîne Echourouk TV a été autorisée à diffuser les cinq épisodes restants de l’émission, récemment suspendue, “Li Fat Mat” après l’engagement de son responsable à “apporter un changement radical au programme”, indique l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV), ce mardi, dans un communiqué. “Suite à la décision portant suspension de l’émission en raison de plusieurs dérapages professionnels et éthiques, l’ARAV a été destinataire d’un recours de la chaîne sollicitant la reconsidération de sa décision, et après convocation des représentants de la chaîne et l’audition de leurs explications, arguments et engagements, il a été décidé d’autoriser la diffusion des cinq épisodes restants, partant du principe que l’objectif de ses décisions est la régulation et la promotion de la scène médiatique artistique en Algérie”, précise le communiqué. L’ARAV ajoute, que le responsable de la chaîne “s’est engagé à un changement radical dans le programme, tant sur la forme que sur le contenu, avec un changement d’animateur”. Soulignant “leur respect de la décision de l’ARAV”, les représentants de la chaîne “se sont engagés à prendre en considération les observations et mises en garde qui leur ont été faites”, indique la même source. “A ce titre, ils ont demandé à l’ARAV de prendre en compte les engagements de la chaîne envers les téléspectateurs ainsi que les considérations financières en tant que ressource principale pour couvrir les salaires, d’autant que les épisodes restant traitent des thèmes liés à la conciliation des proches et réunification des familles”. Les mêmes responsables “ont assuré, également, que les épisodes restants ont été soumis aux règles professionnelles et éthiques tout en s’engageant à se conformer à la déontologie et à l’éthique au service d’une information constructive, à la hauteur du service public et des aspirations du téléspectateur algérien”, conclut le communiqué.