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Commerce

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  • 27-08-2020
    -Une première cargaison de 10.000 litres d’huile d’olive de la marque déposée « Kotama » a été exportée mercredi depuis le port Djen Djen de Jijel vers plusieurs pays d’Europe. L’exportateur, l’investisseur agricole, Mohamed Benseghir a précisé que ces 10.000 litres de l’huile d’olive ont été exportés vers la France, la Belgique, et l’Angleterre et constituent « un début d’une opération d’exportation de ce produit qui devra se poursuivre sur plusieurs mois ». Le même opérateur économique qui a fait état dans ce cadre de la signature d’une convention d’exportation de l’huile d’olive portant le label « Kotama » avec un partenaire étranger pour une durée de 3 ans, a ajouté que la convention prévoit l’exportation d’une quantité de 10.000 litres par mois. L’oléiculture à Jijel s’étend sur 18.000 hectares dont 14.500 ha sont entrés en production avec un rendement oscillant entre 18 et 22 litres/quintal, a-t-on rappelé, précisant que la production locale en la matière avait dépassé la saison précédente les 6 millions de litres........................................................................................... --Les commerçants ont jusqu’au 31 décembre 2020 pour mettre à la disposition des clients des instruments de paiement électronique. Le deadline prévu par la loi de finances a été rappelé jeudi par le ministère du commerce qui a demandé aux commerçants de se rapprocher d’Algérie Poste et des banques « pour formuler une demande d’équipement de leurs locaux commerciaux en moyens nécessaires (TPE, QR Code), en vue d’assurer le service e-paiement. Le communiqué du ministère du commerce indique que les commerçants doivent recevoir des accusés de réception de la part des banques ou d’Algérie Poste. L’accusation de réception servira de justificatif devant les agents de contrôle dans le cas le commerçant n’a pas pu obtenir les équipements demandés. Entamés durant l’automne 2016 – très tardivement comparativement aux pays voisins de l’Algérie – l’E-paiement ne progresse que lentement. La crise du Covid-19 semble avoir favorisé une petite progression au cours de l’année 2020. Selon les statistiques du Groupement d’intérêt économique de la monétique (GIE Monétique), il y a eu 728.394 opérations de paiement effectuées par des usagers durant les quatre premiers mois 2020. Grand bémol, ces opérations ont été réalisées pratiquement dans le seul secteur des télécommunications (93,34%) via les opérateurs Algérie Télécom, Mobilis, Djezzy et Ooredoo). L’obligation de mettre à disposition des TPE a été prévue dans la loi de finances 2017. L’article 111 disposait que « tout manquement au respect de mettre à disposition du consommateur des terminaux de paiement électronique, constitue une infraction punie d’une amende de 50.000 dinars ». Les « agents économiques » avaient « un délai maximal » d’un an pour se conformer à ces dispositions, soit jusqu’au 31 décembre 2018. Manifestement, une préconisation inapplicable et inappliquées. La loi de finances 2020 a repris le même article en fixant cette fois-ci le deadline au 31 décembre 2020.
  • 25-08-2020
    - Le taux d’inflation moyen annuel en Algérie a atteint 2,2% à fin juillet dernier, a-t-on appris mardi auprès de l’Office national des Statistiques (ONS). L’évolution des prix à la consommation en rythme annuel à juillet 2020, qui est le taux d’inflation moyen annuel calculé en tenant compte de 12 mois, allant du mois d’août 2019 à juillet 2020 par rapport à la période allant du mois d’août 2018 à juillet 2019. La variation mensuelle des prix à la consommation, qui est l’évolution de l’indice de prix du mois de juillet 2020 par rapport à celui du mois de juin dernier, a enregistré une baisse de -1,1%, a indiqué l’Office. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont affiché une baisse de 3,5%, induite, essentiellement, par un recul de 6,9% des prix des produits agricoles frais. Cette chute des prix des produits agricoles frais s’explique, selon l’Office, par une baisse des prix de la viande de poulet (-16,0%), des fruits (-32,5%), des légumes (-5,3%) et de la pomme de terre avec -17,6%. Par ailleurs, l’Office relève, des hausses de prix qui ont caractérisé certains produits, notamment la viande rouge (+1,3%), les œufs (+12,5%) et les poissons (+5,3%). Quant aux produits alimentaires industriels, les prix ont connu une variation baissière modérée de (-0,1%) durant le mois de juillet dernier et par rapport au mois de juin, selon l’organisme des statistiques. Les prix des produits manufacturés ont augmenté de 1,1%, alors que ceux des services ont accusé une stagnation. Par groupe de biens et de services, les prix des groupes « habillement chaussures » et ceux des meubles et articles d’ameublement ont connu des hausses respectives de (+0,1%) pour chaque groupe, celui du « transport et communication » (+0,2%), alors que le groupe divers a enregistré une hausse de 3,3%. L’ONS relève, par ailleurs, que le reste des biens et services s’est caractérisé par des stagnations. Durant le mois de juillet dernier, les prix à la consommation ont augmenté de 2,4% par rapport au même mois de 2019. Cette variation haussière est due à une augmentation du prix de 0,6% des produits alimentaires, induite par un relèvement de près de 0,2% des produits agricoles frais, les produits alimentaires industriels (1,1%), les biens manufacturés 5,28% et enfin les services 0,7%. Durant les sept premiers mois de l’année en cours, les prix à la consommation, ont connu une hausse de 2,28%, malgré une baisse des biens alimentaires (-0,04%), induite notamment par un recul de 0,6% des prix des produits agricoles frais. Cette variation haussière enregistrée s’explique par des hausses de +0,5% des produits alimentaires industriels, de +5,02% des biens manufacturés et de +2,26% des services. En 2019, le taux d’inflation en Algérie avait atteint 2%..................................................................... -Le palais des expositions des pins maritimes « Safex » a annoncé la reprise graduelle de ses activités à partir du mois de septembre prochain. Dans une déclaration au quotidien El Chourouk, le Directeur Général de la Safex, Tayeb Zitouni a affirmé que le palais des expositions des pins maritimes, en arrêt depuis mars dernier, reprendra graduellement ses activités au mois de septembre 2020. « La Safex reprendra ses activités de salons et foires dès le mois de septembre, mais d’une manière graduelle tout en respectant les protocoles sanitaires de lutte contre le Coronavirus », a confié T. Zitouni à la même source. Le même responsable a toutefois précisé qu’il était en attente de la décision des hautes autorités pour procéder à la reprise de l’activité de la Safex, ainsi que la programmation de plusieurs salons au mois de la réouverture, notamment le salon des travaux publics « Batimatec », de l’agroalimentaire « Djazagro », ainsi que la foire internationale d’Alger « FIA ». En outre, d’autres salons, tels que le SILA (salon international du livre d’Alger), sont également prévus pour le mois de décembre prochain.............................................................................................................................................................. --Le sucre et les pâtes alimentaires, sous toutes leurs formes, figurent désormais dans la liste réactualisée d’une cinquantaine de produits interdits à l’exportation, établie par le ministère du Commerce. Selon le document transmis aux opérateurs économiques, le ministère détaille 55 positions et sous-positions tarifaires douanières suspendues à l’exportation, dans le cadre des mesures prises par le gouvernement en vue de garantir la disponibilité des produits alimentaires de première nécessité et des produits sanitaires, tels que les masques de protection nécessaires pour lutter contre la pandémie de Covid-19. La mesure fait suite à une décision prise par le gouvernement dès le début de la crise sanitaire, vers la fin du mois de mars, afin d’interdire près d’une vingtaine de produits à l’exportation sur instruction du président Abdelmadjid Tebboune…………………………………………………….. -Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a fait état, à Illizi, d’une action en cours pour la création du registre du commerce de troc et l’élargissement du champ de couverture du fonds de péréquation de transport de marchandises dans les wilayas du Sud. S’exprimant lors d’une rencontre avec les opérateurs économiques locaux, le ministre, rapporte l’APS, a indiqué que le registre du commerce de troc permettra aux commerçants d’exercer ce type d’activités commerciales, surtout ceux ne disposant pas d’un registre du commerce de gros, en raison du gel de ce document depuis quelques années
  • 23-08-2020
    -Le Secrétariat permanent de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) a été inauguré au Ghana, en présence du président du Ghana, Nana Akufo-Addo, et le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat. La cérémonie a été l’occasion de mettre en avant l’importance de l’intégration économique de l’Afrique qui pourrait ainsi s’affranchir de l’aide internationale. La Zlecaf, qui représente la plus grande zone de libre-échange du monde, est susceptible de transformer le continent grâce à son marché potentiel de 1,2 milliard de personnes et son PIB combiné d’environ 3000 milliards de dollars américains pour les 54 Etats membres de l’UA. Selon un communiqué répercuté par la Banque aricaine de développement (BAD), le Ghana a été choisi en juillet 2019 par les dirigeants africains pour abriter le siège de l’organisme, lors d’un sommet des chefs d’Etat de l’UA tenu à Niamey au Niger, où avait été donné le coup d’envoi à la mise en œuvre de l’accord de libre-échange qui devrait stimuler les échanges commerciaux régionaux entre les pays membres. Les 54 Etats africains sont signataires de la Zlecaf, tandis que 28 d’entre eux l’ont ratifiée.
  • 16-08-2020
    -Une nouvelle mesure réglementaire a été prise au profit des opérateurs économiques afin d'encadrer les opérations d'exportation vers les pays voisins (Mali, Niger et Mauritanie), a indiqué samedi un communiqué du ministère du Commerce. "Le ministère informe l'ensemble des opérateurs économiques assurant des opérations d'exportation vers les pays voisins, le Mali, le Niger et la Mauritanie, qu'une nouvelle mesure réglementaire a été prise à l'effet d'encadrer ces opérations en garantissant le transport des produits exportés par le groupe de transport des marchandises et de logistique (Logitrans), jusqu'au point kilométrique (0) sur les frontières avec chaque pays, pour qu'il soit un point de transit et de réception de marchandises par la partie importatrice des pays voisins, et ce dans le respect total de toutes les mesures de prévention et de protection contre la propagation du Coronavirus, édictées par les pouvoirs publics", a précisé le communiqué. En ce qui concerne les opérateurs économiques qui utilisent leurs propres moyens pour le transport des marchandises destinées à l'exportation, ajoute la source, "ils sont tenus de respecter strictement toutes les mesures sanitaires de protection contre la propagation du Coronavirus, notamment après la livraison des marchandises à l'intérieur des pays importateurs". Afin d'éviter toute entrave pouvant avoir des répercussions négatives sur le bon déroulement de ces opérations, le ministère appelle chaque opérateur économique à informer l'importateur de la nécessité de prendre toutes les mesures nécessaires à la réception de marchandises exportées au niveau des points frontaliers à fixer à cet effet.
  • 10-08-2020
    -Le ministère du Commerce a fait état, lundi, de la levée de la suspension des exportations des produits locaux, à l'exception de ceux produits subventionnés ou fabriqués à partir de matières subventionnées et de l'ail. «Le ministère du commerce informe l'ensemble des opérateurs économiques activant dans le domaine de l'export de la levée de la suspension de l’exportation de produit où l'Algérie dispose d'un potentiel de production, hormis les produits subventionnés ou fabriqués à partir de matières subventionnés et de l'ail», a précisé le communiqué. Le ministère souligne cependant que «vu la crise sanitaire que traverse le pays, il demeure interdit d'exporter les masques de protection, les gels hydro alcooliques et les savons liquides ''lave mains'' en raison de la nécessité de les garantir en quantités suffisantes pour couvrir la demande locale croissante. Une cellule de veille a été installée au niveau du ministère en vue de suivre l’approvisionnement du marché national et garantir sa stabilité et prendre toutes les mesures à même de prémunir le marché national de tous les dysfonctionnement», a conclu le communiqué.
  • 03-08-2020
    -Les conditions et les modalités d’exercice du commerce de troc frontalier et la liste des marchandises faisant l’objet d’échange avec le République du Mali et la République du Niger ont été fixées par un arrêté interministériel publié au journal officiel N 44 (30/7).