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  • 30-10-2020
    -Les bureaux de vote pour le référendum sur le projet d’amendement constitutionnel du 1er novembre 2020 ont été ouverts au niveau de plusieurs centres électoraux relevant de représentations diplomatiques et consulaires à l’étranger, a indiqué vendredi un communiqué de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE). Il s’agit des représentations diplomatiques et consulaires aux Emirats arabes unies, en Irak, en Syrie, en Arabie Saoudite, au Koweït, au Qatar, en Egypte, au Bahreïn, à Oman, en Russie, au Niger et au Mexique, a précisé la même source. L’opération de vote pour le référendum se poursuit dans les bureaux itinérants dans certaines wilayas du Sud, à savoir Adrar, Laghouat, Béchar, Tamanrasset, Ouargla, Illizi, Tindouf, El-Oued et Naâma.
  • 29-10-2020
    -Le vote a débuté jeudi matin à 08h00 au niveau des bureaux itinérants d'Illizi, de Tindouf et de Tamanrasset, concernés par l’avancement réglementaire de 72 heures de la consultation référendaire sur le projet d’amendement constitutionnel. Dix bureaux itinérants sont déployés dans les zones éparses de trois communes de la wilaya d’Illizi(extrême Sud-est du pays), à savoir Illizi, Djanet et Bordj El-Haouès pour commencer à accueillir les 4.800 électeurs portés sur leurs listes. Un autre bureau itinérant sera ouvert vendredi pour les populations nomades et des zones enclavées de la commune de Bord Omar-Idriss.
  • 27-10-2020
    -La campagne référendaire sur le projet de révision de la Constitution a atteint, mardi , sa vitesse de croisière, à la faveur notamment du meeting du Premier ministre, Abdelaziz Djerad, organisé à l’auditorium de l’Université es sciences et de la technologie Houari-Boumediène (USTHB) de Bab Ezzouar (Alger) Parlant de la symbolique du 1er Novembre 1954, il a rappelé que le peuple s’était soulevé comme un seul homme contre le colonisateur, qui a tenté de détruire nos valeurs et repères socioculturels, et pour mettre le pays sur les rails du progrès. Et de faire le parallèle avec le référendum sur la Constitution : «Le 1er novembre 2020 est une étape, non moins importante qui représente une passerelle entre le passé et le futur. La constitution de 2020 n’est pas une rupture avec notre passé glorieux, mais une nette coupure avec la bande, la corruption et l’injustice.» S’agissant du projet de l’amendement de la loi fondamentale du pays, Djerad l’a qualifié «d’affirmation d’une ambition, celle de commencer à écrire une nouvelle histoire». Il ne s’est pas privé de ringardiser certaines réalisations ou pratiques de l’ancien système. «Il faut tout changer», a-t-il déclaré, salué par un tonnerre d’applaudissements. S’attardant sur la «relation naturelle» entre la déclaration du 1er Novembre et la nouvelle Constitution, il a rappelé que le projet fait partie des engagements phares du Président……… A noter que pour Abdelaziz Djerad, ceux qui pourfendent ce texte veulent, en fait, que l’on «demeure dans la situation passée et que l’on ne sorte pas de la crise». Et de poursuivre que ceux-là ne veulent pas de la démocratie et des libertés, invitant à faire «bloc» pour faire passer ce projet, afin de faire échec à ce projet……………………………. ; -Les meetings organisés dans le cadre de la campagne référendaire auront permis aux ministres de s’exprimer en dehors de leur domaine de compétences, de déraper et même de se faire des mises au point. À la veille du silence électoral imposé avant le référendum, ils étaient nombreux à animer des meetings. C’était le cas du garde des Sceaux qui, dans son intervention, a fait une allusion à peine voilée aux récents propos tenus par son jeune collègue du département des Sports. Visiblement offusqué, Zeghmati s’est demandé «Comment en est-on arrivé là ? Ne sommes-nous donc pas en mesure de garder nos enfants chez nous ? Est-ce qu’une mère peut se séparer de ses enfants ?», ajoutant que l’Algérie, c’est la mère qui a enfanté des cadres. Comment peut-elle aujourd’hui leur demander de partir ? Que nous est-il arrivés ? Que s’est-il passé pour qu’on en arrive là ?» Avant de finir son intervention sur ce qui s’apparente à une sentence : «Si les martyrs revenaient aujourd’hui, ils nous condamneraient tous, sans exception !». S’il n’a fait aucune référence au récent discours du ministre de la Jeunesse et des Sports, il est difficile de ne pas voir en ce coup de gueule, une réponse indirecte à Khaldi, qui avait soulevé un tollé, en affirmant que les personnes qui n’étaient pas d’accord avec les référents auxquels s’adosse la Constitution, pouvaient «changer de pays». Il a dû, le lendemain, «clarifier» sa pensée et présenter ses excuses pour avoir été «mal compris».
  • 21-10-2020
    -Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a rendu visite à l’ancien chef de l’État, Liamine Zeroual, à son domicile, et il lui a transmis les salutations du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé un communiqué du Premier ministère.
  • 20-10-2020
    -L'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) a rappelé, dimanche dernier dans un communiqué, que l'octroi des salles et autres espaces pour abriter les rassemblements et meetings dans le cadre de la campagne référendaire sur le projet d'amendement de la Constitution du 1er novembre prochain, était soumis à une autorisation préalable délivrée par l'autorité administrative et tributaire de l'application stricte du protocole sanitaire. Cette décision intervient «en application de l'arrêté du 3 octobre 2020 fixant les règles régissant la tenue des réunions et manifestations publiques dans le cadre de la campagne référendaire sur le projet d'amendement de la Constitution, notamment son article 7», précise la même source. L'ANIE a préconisé «le port obligatoire du masque, le respect de la distanciation physique et la mise à disponibilité du gel hydroalcoolique désinfectant». De même qu'elle a invité l'ensemble des acteurs à faire montre de responsabilité en veillant à l'application rigoureuse des gestes barrières en vigueur afin d'éviter toute éventuelle propagation du coronavirus et préserver, partant, la santé et l'intégrité des citoyens, a conclu le communiqué.
  • 12-10-2020
    -Malgré son récent congrès extraordinaire qui a débouché par l’émergence d'une nouvelle direction, le FFS n’en a visiblement pas fini avec les turbulences internes. Signe de cette crise inerme, l’occupation illégale du siège nationale par un membre de l'ancienne direction, comme l’atteste le communiqué du parti rendu public lundi pour expliquer à l’opinion publique que « Belkacem Benameur, ne représente nullement le Front des Forces Socialistes. » et que « Ce dernier, qui orchestre actuellement l’occupation illégale du siège du FFS, sis au 56 avenue Souidani Boudjema agit en violation des textes du parti et de la loi. » Tout en informant qu’ «Une procédure disciplinaire est en cours contre cette personne, ainsi qu’une procédure en justice pour occupation illégale du siège et usurpation de fonction. », le FFS rappelle que « depuis le congrès extraordinaire du FFS tenu les 09 et 10 juillet dernier, les instances légales, du FFS au regard des textes du parti et de la loi, sont l’Instance Présidentielle élue, ainsi que les instances désignées, ou élues, à la suite du Congrès extraordinaire. » « Le congrès extraordinaire et la nomination de Monsieur Youcef Aouchiche au poste de Premier Secrétaire du parti ont été dûment validés conformément à la loi régissant les partis politiques., ajoute le communiqué signé par le Premier secrétaire Youcef Aouchiche qui dégage toute responsabilité de toutes les activités qui sont organisées au siège du parti , quelque soit leur nature........................................................................................ --La petite ville d’Ighzer Amokrane, chef-lieu de la daïra d’Ifri-Ouzellaguen, a renoué, hier, avec la mobilisation à la faveur de la marche pacifique initiée par un collectif citoyen local. C’est une manifestation qui s’inscrit dans le cadre du prolongement du mouvement populaire né le 22 février 2019. Les manifestants qui se sont donné rendez-vous sur la place du marché hebdomadaire de la commune d’Ouzellaguen, point de départ de la marche, ont commencé à battre le pavé en direction du centre-ville, vers 10h30. En tête du premier carré de cette marche, une banderole annonce la couleur. On y lit ces deux mots d’ordre : “1er novembre 2020 : 0 votant” et “Le combat continue pour une Algérie libre et démocratique”.
  • 06-10-2020
    -Une quarantaine de personnes, arrêtées samedi 05 octobre 2020 lors d’une manifestation à Alger-Centre, seront présentées à la justice. Des arrestations ont également eu lieu dans plusieurs autres villes, dont Sétif, Annaba et Béjaïa, rapporte le Comité national pour la libération des détenus (CNLD). Six femmes, dont une étudiante, figurent parmi les personnes arrêtées à Alger-Centre et placées en garde à vue dans plusieurs commissariats de la capitale. Selon l’avocat Smaine Saad, dans un post Facebook, ils seront présentés devant les Procureurs près de plusieurs tribunaux tard ce mardi ou demain, mercredi 07 octobre 2020. Quelques-uns ont été relâchés durant la soirée du lundi, au-delà des horaires de confinement sanitaire. D’autres ont été relâchés ce mardi pour être comparaître demain, mercredi 07 octobre................................................................................... --La direction du parti de Jil Djadid a arrêté mardi sa position au sujet de référendum constitutionnel du 1er novembre, optant pour la participation, mais sans donner de consignes de vote à ses militants, laissés libres de choisir entre le "Oui", le "Non", ou l'abstention. La position mitigée de Jil Djadid vient de sa lecture critique du document du projet qui contient, selon lui "des aspects positifs" comme le chapitre des libertés, mais aussi des points négatifs relevés au niveau des prérogatives du président de la République et de l'équilibre des pouvoir en général et de leur séparation, en particulier. Jil Djadid, qui ne rentre pas dans les clous fixés par l'ANIE, notamment avoir des élus dans 25 wilayas ne participera pas à des meetings de campagne et se limitera à "l'accompagner", selon son responsable de la communication………………………………………………….. -Les partis de l’alternative démocratique (PAD) réunies lundi à Alger ont décidé d’organiser le 10 de ce mois une journée baptisée «rencontre et mobilisation» sur les libertés et le multipartisme. Dans leur communiqué les partenaires du PAD précisent que leur rencontre sera animée par des «acteurs de terrain apporteront leur éclairage sur les questions liées, entre autres, à la liberté de la presse, à l’instrumentalisation des institutions dans la répression, à la liberté syndicale et au multipartisme».
  • 05-10-2020
    --Quelques dizaines de personnes, des centaines selon d'autres témoins, ont marché à Alger, hier en début d'après-midi, malgré un important dispositif policier constaté dès la matinée. La manifestation provenait de Belouizdad (via Hassiba Ben Bouali) et de Bab El Oued, avant de se diriger vers le centre de la capitale, vers le quartier Ferhat Boussad (ex-Meissonier) puis la place Maurice Audin. Elle a été organisée en réponse à des appels anonymes sur les réseaux sociaux à «manifester le 5 octobre 2020». Ce qui explique, d'ailleurs, l'important dispositif policier installé très tôt dans la journée. La où le dispositif sécuritaire était le plus visible c'était à la place Audin. Selon des vidéos diffusées sur Facebook, les manifestants scandaient des slogans du Hirak. Les marcheurs provenant de Hassiba Ben Bouali ont bifurqué sur la ruelle menant vers Réda Houhou pour se diriger dans le sens de la Mosquée Errahma (Meissonier). D'autres vidéos montrent des manifestants à Audin tentant de remonter Boulevard Mohamed V, avant de rebrousser chemin sur Didouche Mourad, sous la pression d'une forte présence policière à ce niveau. Par ailleurs, selon le Comité national pour la libération des détenus (CNLD), plusieurs personnes ont été arrêtées hier. Il s'agit, selon la même source, «d'une vingtaine de manifestants» parmi eux «Mohamed Lamine Maghnine, Nawel Laib (étudiante), Abdeldjabbar Bennouna, Hassan Mabtouche, Maasoum Massoum Frantz Fanon, Djaber Abdelrahman Righi, Yassine Zerkani et l'étudiante Chahrazed».
  • 04-10-2020
    -Le président du parti Jil Jadid, Soufiane Djilali, a été une nouvelle fois invité ce dimanche à l’émission « l’Invité de la Rédaction» de la Chaîne 3 pour commenter l’actualité politique et s’exprimer sur le projet de révision de la constitution devant être soumis le 01 novembre prochain au peuple via un référendum. L’occasion pour le patron de Jil Jadid de confirmer nettement son rapprochement avec le pouvoir et ses distances vis-à-vis de l’opposition. En effet, Soufiane Djilali a mis en garde contre la tentation «d’aller très vite» vers ce qu’il appelle, une «démocratisation complètement ouverte», et qui pourrait, selon lui, « entrainer des frictions au sein de la société, jusqu’à allumer des conflits idéologiques et identitaires». D’où d’après lui, «la nécessité d’avoir un Etat qui puisse mettre de l’ordre». Et le chef de Jil Jadid concède que le président de la République détient «énormément de pouvoirs», il soutient qu’il est « légitimé par les urnes» et qu’il est «soumis à une limitation de ses mandats.» Quid du projet de constitution revu et corrigé ? L’invité de la Chaine 3 estime qu’il ne s’agit pas d’un «choix handicapant pour la suite, en ce sens où il s’agit d’une Constitution de protection sociale, qui a une tendance au «souverainisme». Il en veut d’autant plus pour lui que cette constitution consacre «un État fort, et protège les dimensions politiques et économiques du pays» Transition faite, Soufiane Djilali s’en est pris allusivement aux animateurs des partis de l’alternative démocratique (PAD), qu’il a désigné par «certains milieux» qui selon lui, «tentent de refuser la démarche actuelle, souhaitant que l’État soit beaucoup plus ouvert, en d’autres termes, qu’ils recherchent un État ayant moins d’emprise sur la société, confronté à une phase de « bouleversements et de changements ». Pour autant et contrairement aux déclarations du président Tebboune qui considère son projet comme une «constitution d’Etat» et non pas celle d’une personne», le chef de Jil Jadid, pense plutôt que c’est une «constitution d’étape». «Il y a encore beaucoup de choses à améliorer (...) aussi belle qu’elle soit, il reste à savoir comment cette dernière sera appliquée dans les faits, et non pas rester évasive sur les droits et devoirs des Algériens», précise t-il. S’il se félicite de ce que la nouvelle constitution apporte une «notable amélioration» sur le plan des libertés, il n’en pense pas moins qu’elle a la forme d’une «Constitution programme». Et Soufiane Djilaili de souhaiter que ce projet sur lequel les Algériens sont invités à se prononcer le 1er Novembre prochain, «inaugure la création d’un État fort, doté de légitimité».
  • 01-10-2020
    - Abderazak Makri semble tomber de très haut en apprenant mercredi soir la nomination, par le président Tebboune, de Hachemi Djaâboub, comme ministre du Travail, un porte-feuille, resté sans titulaire depuis le limogeage brutal de Ahmed Chawki Fouad Acheuk Youcef, le 29 juillet. La surprise du patron du MSP se traduit largement dans sa première réaction sur sa page Facebook, juste après l’annonce de l’information par plusieurs médias, avant sa confirmation, dans la soirée, par l’agence officielle APS. « De nombreux organes d’information ont annoncé la nomination, par le président Tebboune, de Hachemi Djaâboub au sein du gouvernement, écrit-il avant d’ajouter que si cette nomination se confirme, nous informons l’opinion publique que nous n’avons pas été consultés sur le sujet ni par le Gouvernement, ni par le concerné lui-même ». En tout état de cause ajoute Abderazk Makri, « après confirmation de cette nomination, les instances du parti prendront la décision qui convient ». On comprend à travers le commentaire de Abderazak Makri que la nomination de Hachemi Djaâboub, au- delà de la surprise, est vécue comme un coup de Jarnac porté au parti par le pouvoir, quelques jours seulement après la décision du Madjliss Echoura d’appeler à voter « Non » au projet de révision de la constitution, le 1er novembre prochain. Pour rappel, Hachemi Djaâboub est membre de la direction du MSP et a occupé antérieurement, successivement le poste de ministre de l'Industrie et du Commerce.