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Vie politique

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  • 27-09-2019
    - 32è Vendredi de marches populaires pacifiques à travers les principales villes du pays
  • 26-09-2019
    - Election présidentielle .80 postulants dont Tebboune et Benflis
  • 25-09-2019
    - Election présidentielle: 60 postulants
  • 18-09-2019
    - Election présidentielle: Lancement de l'opération de collecte de signatures (dépôt de candidatures le 25 octobre et campagne électorale du 17 nov au 8 décembre)
  • 17-09-2019
    - Les membres de l'Autorité nationale indépendante des élections prêtent serment
  • 16-09-2019
    - L’Autorité nationale des élections (ANE) installe son bureau national lors de sa première réunion tenue à l’hôtel El Djazair (ex Saint George) Ainsi, le bureau est composé notamment du Dr Bekkat Berkani choisi parmi les «compétences professionnelles», du journaliste Ali Draa puisé parmi les «personnalités nationales», et Abdelhafid Milat issus des «compétences universitaires». Le bureau national de l’autorité nationale des élections dont le décret d’instauration vient d’être publié au journal officiel, est composé également de Madjid Blilta chargé des «documents, de la programmation juridique et la recherche», de Ouali Ben Zaidi auquel est confiée la mission de l’installation des bureaux de wilaya et d’Amel Dassi au titre de représentante de la communauté algérienne à l’étranger. Pour r appel, l’article 54 du décret de sa création, stipule que l'Autorité est chargée de «procéder à la tenue du fichier national du corps électoral et des listes électorales des communes et des centres diplomatiques et consulaires à l'étranger, outre la réception et l'examen des dossiers de candidatures pour le poste de président de la République. Elle aura également pour mission le contrôle du financement de la campagne électorale».
  • 15-09-2019
    - L’ancien ministre de la Justice (2002 puis 2012) , Mohamed Charfi, a été plébiscité, dimanche 15 septembre 2019 comme président de l’Autorité indépendante des élections dont la mission sera de préparer et d’organiser l’élection présidentielle prévue avant la fin de l’année. Lors d’une réunion de l’Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM) présidée par Karim Younès, Mohamed Charfi a déclaré que la mission de l’Autorité consiste à réunir les conditions nécessaires pour la tenue des élections, et cela, afin de «rendre la parole au peuple, de décider de son avenir et parachever l'édification de l'Etat, en lui permettant de choisir librement son président». «L’Autorité nationale indépendante des élections et au régime électoral a hérité, en vertu de la loi, les attributions de quatre administrations : l’Intérieur, les Affaires étrangères, la Justice ainsi que les prérogatives du Conseil constitutionnel», a expliqué M. Charfi.La composition de l’Autorité révélée par le coordinateur du panel du dialogue, Karim Younès, comporte 50 personnalités, dont des universitaires, des activistes de la société civile, des syndicalistes, des avocats et des universitaires, entre autres. Conscient de la tâche lourde qui attend les membres de cette Autorité, M. Charfi a affirmé que «c’est sur de nouvelles règles qu’elle a été installée et qu’elle assumera la responsabilité de la surveillance institutionnelle et concrétisera le respect de la souveraineté populaire consacrée par les articles 7 et 8 de la Constitution». «L’installation de cette l’Autorité illustre une nouvelle expérience démocratique, dont la tâche est loin d’être aisée», admet M. Charfi qui parle d’un défi de «17 chantiers auxquels doit faire face cette Autorité, en commençant par la mise en place d'un fichier électoral pour mieux assurer la transparence et la sincérité des scrutins, la surveillance du processus électoral, la désignation des membres de l’Autorité au niveau local ainsi que le lancement de l'enregistrement des candidats à l'élection présidentielle. Mais avant tout cela, il nous est impératif, explique-t-il, de commencer par le règlement intérieur et l’installation des différentes commissions». Le président de la nouvelle autorité affirme «que sa mise en place est un gage pour la pratique démocratique et une garantie réelle pour matérialiser le droit à la citoyenneté», avant d’ajouter : «Les membres de cette Autorité sont d’une intégrité morale et sont conscients de la lourde responsabilité à assumer en ces moments charnières de l’histoire du pays pour la réinstauration de la confiance entre les gouvernants et les gouvernés». M. Charfi a exprimé sa gratitude au chef de l’Etat et au chef d’état-major de l’ANP pour «l’esprit de responsabilité dans l’accompagnement du mouvement populaire pour la réalisation de l’espoir de changement et des réformes». «Par la mise en place de cette Autorité, les pouvoirs publics réaffirment leur volonté de répondre aux exigences et revendications du peuple qui a pris l’initiative d’engager le processus de refondation de l’Etat», a-t-il dit.S’agissant du plan d’action, M. Charfi a d’abord exprimé son souhait de voir «toutes les bonnes volontés se regrouper pour œuvrer dans la sincérité, la collaboration et l’esprit de consensus pour préparer, organiser et superviser le prochain scrutin». M. Charfi a tenu à indiquer que «la Constitution constitue une feuille de route claire pour l’Autorité ainsi que les deux textes de lois adoptés récemment par le Parlement qui précisent bien ses missions». En réponse à une question sur la date de la présidentielle, M. Charfi a signalé que le choix de la date des élections est lié à celui de la convocation du corps électoral par le chef de l’Etat. «Tout est expliqué dans les textes juridiques», a-t-il dit avant d’indiquer que «cela pourrait être fixé au cours de la moitié de décembre prochain». Tout en affirmant que l’Autorité possède toutes les prérogatives lui permettant d’assurer la préparation, l’organisation et la supervision du processus électoral, M. Charfi a souligné que «tous les moyens humains et matériels seront mis à sa disposition pour garantir un scrutin transparent et impartial». «L’Autorité accomplira sa mission dans le cadre de la gestion rigoureuse», a-t-il affirmé. S’agissant du vote, M. Charfi a expliqué que «pour persuader les citoyens d’exercer leur droit constitutionnel, exprimer leur volonté par l’acte de voter, il est impératif de mettre en place des mesures effectives qui seront de réelles garanties de la transparence des futures élections». M. Charfi, seul candidat au poste de président, a été plébiscité à main levée. Dans une déclaration suite à sa désignation, il a assuré : «La priorité de l'Instance sera de concrétiser la revendication principale du peuple, celle de choisir librement celui qui le représentera au plus haut sommet de l'Etat». Diplômé de l'Ecole nationale d'administration (ENA), M. Charfi est également détenteur d'une licence et d'un doctorat en droit. Il a occupé, auparavant, plusieurs hautes fonctions dont celle de magistrat, juge d’instruction puis procureur général au niveau de différentes cours (1972-1989 ), secrétaire général au ministère de la Justice (1989-1991), conseiller à la Cour suprême, ministre de la Justice (2002), puis ministre de la Justice, garde des Sceaux (2012). Pour rappel, le Parlement a adopté, vendredi dernier, un nouveau dispositif législatif en vue du scrutin : une loi sur la création d'une Autorité indépendante chargée des élections et une autre sur la révision de la loi électorale. Elle sera chargée d'organiser le processus électoral et de «superviser toutes les étapes, depuis la convocation du corps électoral jusqu'à l'annonce des résultats préliminaires. Quant à la nouvelle loi électorale, elle doit garantir «la transparence, la régularité et la neutralité» des élections à venir, en instaurant notamment un fichier national des électeurs, qui sera placé sous la tutelle de l'autorité électorale. - Le Chef de l'Etat convoque le corps électoral pour la présidentielle qui aura lieu le 12 décembre
  • 13-09-2019
    - 30 è Vendredi des marches populaires....................................... - Annonce du procès des Said Bouteflika et des co-accusés , pour le 23 septembre
  • 11-09-2019
    - Karim Tabou (UDS) est interpellé dans la soirée par la police.Il est placé en détention, poursuivi pour "atteinte au moral des troupes" par le tribunal de Koléa.................................
  • 10-09-2019
    - Editorial d'El Djeich. "L'ère des diktats et de fabrication des présidents est définitivement révolue"
  • 09-09-2019
    - Le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, préside à Alger, une réunion du Conseil des ministres, indique un communiqué de la présidence de la République. A l’ouverture des travaux du Conseil, M. Bensalah a prononcé une allocution, suivie d’une communication du vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, le général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, et d’une communication du Premier ministre, Noureddine Bedoui, sur l’activité gouvernementale. Le Conseil des ministres a entamé ses travaux par l’examen et l’adoption du projet de loi organique relatif à l’Autorité électorale nationale indépendante, présenté par le ministre de la Justice, garde des Sceaux..................................... Le Conseil des ministres a poursuivi ses travaux par l’examen et l’adoption du projet de loi organique modifiant et complétant la loi organique n°16-10 du 22 Dhou El Kaâda 1437, correspondant au 25 août 2016 relative au régime électoral. Cette révision législative qui vise à intégrer les différentes propositions et suggestions, formulées par la classe politique, les personnalités nationales et les représentants de la société civile, recueillies par l’Instance nationale de dialogue et de médiation, vient adapter en conséquence, le dispositif législatif relatif au régime électoral avec les nouvelles dispositions du projet de loi organique relatif à l’Autorité nationale indépendante des élections, et introduire toutes les garanties, à même de conférer au régime électoral toutes les exigences d’impartialité, de régularité et de transparence. Parmi les principaux amendements contenus dans ce projet de loi organique, figure la création du fichier national des électeurs qui sera tenu exclusivement par la nouvelle Autorité Indépendante des élections. Le projet de loi organique comporte également des mesures visant l’allègement des conditions de participation aux élections présidentielles, notamment la suppression de la condition liée au parrainage d’un minimum de 600 élus, ainsi que la réduction du nombre de signatures individuelles d’électeurs à recueillir par le candidat à l’élection présidentielle, qui passe de 60.000 signatures à 50.000 signatures à travers au moins 25 wilayas tout en réduisant le nombre minimal de signatures exigées pour chacune des wilayas concernées de 1.500 à 1.200 signatures. Par ailleurs, les candidats à l’élection présidentielle sont désormais tenus de présenter un diplôme universitaire. Le projet de loi organique prévoit que le dépôt des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle, s’effectue désormais auprès de l’Autorité indépendante des élections .............................................. Le Conseil des ministres a achevé l’examen de son ordre du jour par l’adoption de décisions individuelles relatives à des emplois et fonctions supérieures de l’Etat. A la fin des travaux du Conseil des ministres, M. Bensalah a prononcé un discours de clôture dans lequel il a adressé ses remerciements aux membres du gouvernement pour leurs contributions et observations, qui ont enrichi notre débat.
  • 08-09-2019
    - L'Instance nationale de Dialogue et de Médiation remet son rapport final au Chef de l'Etat. Karim Younès est appelé à mener les consultations nécessaires pour former et installer l'autorité nationale
  • 06-09-2019
    - 29 è Vendredi des marches populaires pacifiques à travers les villes du pays
  • 04-09-2019
    - Mouloud Hamrouche publie 'El Watan/ El Khabar) une contribution (Voir texte intégral in Vie Politique/Documents politiques) : "Le changement du système est la solution et non le problème". ..................................... - Point de presse du coordinateur du Panel de Médiation: "Une conférence nationale est inopportune"...." 23 partis et 5084 activistes et organisations de la société civile ont été entendus