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  • 27-01-2021
    -Le professeur Ahmed Laraba, accompagné des autres membres du Comité en charge de la révision de la loi électorale, a présenté mercredi au Centre international de presse Abdelatif Rahal, le projet de texte qu'il a élaboré, en expliquant sa philosophie générale et ses principales articulations dont le but final est, souligne t-il en substance, de mettre à l'abri les futures élections contre l'intrusion de l'argent sale. "Dans notre démarche, nous avons étudié les anciennes lois datant de 2016 et 2019 et on s'est référé aussi à différentes expériences en Europe et en Afrique pour enrichir ce document qui se décline en 319 articles ", explique le Pr Laraba. "Nous avons également travaillé avec l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) et le ministre de l'Intérieur", ajoute le président du panel qui parle aussi d'introduction de "nouveau concret dans le texte". Pour rappel, ce rendez-vous avec la presse intervient à la veille de la fin du délai fixé aux partis politiques pour clore leurs débats internes, afin de remettre, jeudi, leurs propositions d'amendements à la présidence de la République. Le projet du Gouvernement a divisé la classe politique entre une partie de l'opposition qui a préféré l'ignorer totalement, considérant que ce n'est pas la réponse idoine à la crise politique du pays, alors que d’autres, notamment les formations de l'ancienne majorité, ont joué le jeu des amendements, en participant à l'enrichissement du document.
  • 20-01-2021
    -L’avant-projet de loi organique portant régime électoral, dont la première mouture a été finalisée, est parvenu mardi à toutes les formations politiques. Ces entités disposent de dix jours pour éventuellement faire des propositions et enrichir ce document de 39 pages et près de 200 articles. L’ensemble des partis ont décidé, avant d’émettre leurs avis et appréciations, de se donner du temps pour décortiquer ce document.
  • 19-01-2021
    -Le texte du projet de loi organique relatif au nouveau mode électoral est distribué à partir d'aujourd'hui aux partis politiques, sur ordre du président de la République, annonce mardi un communiqué de la Présidence. Les partis politiques ont dix jours pour faire connaitre leurs propositions d'amendements par écrit, à remettre à la commission Laraba, en vue d'enrichir la copie finale du texte qui sera soumis, dans une deuxième temps, au vote parlementaire sans débat, comme pour le projet de révision constitutionnelles. Pour rappel, le président Tebboune avait pris l'engagement d'associer les partis politiques à l'enrichissement de ce projet pour aboutir "à un document consensuel", selon le souhait exprimé la semaine dernière par le président de l'ANIE, Mohamed Charfi. Des fuites ont circulé ces derniers jours sur des sites d'information et sur les réseaux sociaux, à propos de ce projet de loi organique, dont il est attendu qu'il redessine le nouveau paysage politique du pays post Hirak.
  • 14-01-2021
    -Une délégation du MSP, composée de neuf personnes, conduite par Abderazak Makri, s'est rendu jeudi au siège du FFS, où elle a été reçue par le Premier secrétaire, Youcef Aouchiche, et ses collaborateurs, a indiqué un communiqué de ce parti. "Cette visite a constitué une opportunité pour un échange de points de vue fructueux sur la nécessité de la relance du processus de dialogue national pour une solution consensuelle à la crise protéiforme que connait le pays", précise la communiqué. Pour rappel, le nouvelle direction du FFS, issue du congrès extraordinaire, a pris ses distances avec les partis du Pacte pour l'Alternative démocratique (PAD), pour se recentrer sur sa position traditionnelle d'un dialogue politique en vue de bâtir un consensus national. Pour sa part, le MSP a rendu public jeudi un communiqué pour appeler à l'ouverture d'un dialogue politique sur le projet de loi électorale, le calendrier électoral et la composante de l'Autorité nationale indépendante pour les élections(ANIE).
  • 13-01-2021
    -Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi a affirmé mercredi que le projet de la loi organique relative aux élections serait cristallisé dans un nouveau mode qui bannirait "la corruption et la fraude". Invité au forum du quotidien "El Hiwar", M. Charfi a précisé que le nouveau projet de loi, en phase de finalisation, permettrait l'émergence "d’un nouveau mode électoral qui rendrait l’argent sale +Chakara+ inutile et infructueux aussi bien pour le donneur que pour le receveur", et ce sera encore plus "évident" le jour où le projet en question sera rendu public. La lutte contre la corruption est principalement axée sur le financement des campagnes électorales, a-t-il souligné, faisant savoir que le nouveau texte réglementaire prévoira la mise en place "d’un comité indépendant placé sous tutelle de l’ANIE", composé de représentants des instances en mesure de veiller au respect de l'éthique et de la bonne gouvernance de l’Etat. Il s’agit, précise M. Charfi, du Conseil d’Etat, de la Cour des comptes et de la Cour suprême. Le comité indépendant s’emploiera, selon M. Charfi à "établir l’audit et mettre en évidence, des mois durant, le financement de tout le processus de la campagne électorale".......................................................................... - - Alors que le projet de nouvelle loi électorale est toujours en phase d'élaboration au niveau de la Commission Laraba, le président de l'ANIE, tout en affichant une certaine réserve, a déclaré mercredi que "cette nouvelle loi qui sera soumise aux partis politique vise à produire une rupture dans la culture électoral en Algérie." Invité au forum du journal El Hiwar, Mohmamed Charfi a cherché à convaincre que "je ne suis pas à la tête de l'ANIE pour gérer l'argent sale mais pour gérer et veiller surtout sur les voix du peuple, à travers des mécanisme de transparence et de régularité" S'agissant de la composante de l'instance électorale, il a précisé que ses membres "feront l'objet d'une enquête d'habilitation" et que "ceux qui n'ont pas déclaré leur appartenance à des partis politiques seront exclus, au nm du principe de neutralité" Cette énième sortie du président de l'ANIE aura été l'occasion pour lui d'insister sur la transparence, qui est certes un aspect majeur , mais il est resté muet sur d'autres aspects, comme le mode électoral.
  • 10-01-2021
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, est retourné en Allemagne, ce dimanche, indique un communiqué de la Présidence. Le communiqué précise qu’ «il s’agit de complications au niveau de son pied, suite à sa précédente contamination au covid-19», soulignant que ces complications n’étaient pas «graves ».. Le traitement de ces complications qui ne présentent pas un "caractère urgent", était déjà programmé avant le retour d'Allemagne du président Tebboune, le 29 décembre dernier. Toutefois, ses engagements n'avaient pas permis, entre-temps, un tel déplacement, selon la présidence de la République. Le président Tebboune a été salué à son départ de la base aérienne de Boufarik par le président du Conseil de la nation par intérim, Salah Goudjil, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Slimane Chenine, le président du Conseil constitutionnel, Kamel Fenniche, le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, le Général de Corps d’Armée, Chef d’Etat-Major de l'Armée nationale populaire (ANP), Saïd Chanegriha, et le Directeur du cabinet de la présidence de la République, Noureddine Baghdad-Daïdj……………………………………………….. Dans une déclaration avant son départ pour l'Allemagne à partir de la base aérienne de Boufarik (Blida) où il a été salué par les hauts responsables de l'Etat, le Président de la République a affirmé que ce retour "était programmé afin de poursuivre le protocole thérapeutique, décidé par les professeurs, et dont il ne reste pas beaucoup mais nécessaire", précisant qu'une "petite intervention chirurgicale au niveau du pied n'est pas à écarter". Exprimant le souhait que la période des soins soit "très courte", le président Tebboune a assuré que "même en étant physiquement loin, je continuerai à suivre au quotidien les affaires du pays avec tous les responsables". L'Etat, "est debout par ses institutions", a-t-il souligné valorisant "la mobilisation" de l'ensemble des responsables, et précisément l'Armée nationale populaire, digne héritière de l'Armée de libération nationale pour ses efforts dans l'assistance aux citoyens et la préservation de la sérénité au niveau national". Le Président Tebboune a également adressé ses remerciements aux "institutions élues", relevant "des aspects positifs et négatifs" pour ce qui est du Gouvernement. -Le président de l'ANIE , Mohamed Charfi, a indiqué que l'Etat va accorder des aides aux jeunes qui souhaiteraient entrer dans l'aréné politique , à l'occasion des prochaines législatives anticipées. Cela en application de l'un des 54 engagements électoraux du président Tebboune qui avait défendu le principe d'un renouvellement et d'un rajeunissement de la classe politique.. Invité samedi par la télévison publique, Mohamed Charfi a expliqué que la transparence et la propreté des futures élections constituent une sorte de fil rouge de cette nouvelle loi électorale dont la copie du projet sera remise sous peu aux partis politiques pour enrichissement. "Depuis le dépôt des dossier jusqu' à la campagne électorale, tout sera balisé tout sera placé sous le sceau de la transparence de façon à éviter les fraudes qui ont discrédité les précédentes élections dans notre pays", ajoute encore Mohamed Charfi. Un contrôle instantané et systématique sera appliqué à tous les niveaux du processus avec un travail de coordination avec les autres institutions de l'état quia évoqué aussi la mise en place d'un organe sans donner plus de détails.
  • 04-01-2021
    -Intervenant à l’issue d’une réunion du bureau politique du Parti des travailleurs, Louisa Hnaoune a commenté l’issue du Conseil des ministres tenu la veille et consacré au bilan de l’action gouvernementale. Si le communiqué dresse un bilan mi-figue, mi-raisin, la numéro un du PT estime qu’il s’agit là d’une « fuite en avant » et de « politique de l’autruche » au moment où « ça va très mal ». Le pays, dit-elle, est au bord de la faillite de laquelle seules des « mesures urgentes » peuvent le sauver. En ce début d’année, assure Hanoune, certaines sont urgentes à l’image de la libération des détenus d’opinion qui sera perçue comme un signe des bonnes intentions du président de la République. Il est également primordial, dit-elle, de cesser les politiques antisociales tout comme la déstructuration du service public. La secrétaire générale du Parti des travailleurs en appelle également à l’arrêt de la politique de la fuite en avant dans la gestion de la crise sanitaire, estimant que l’Etat s’était débiné en choisissant le confinement comme solution et en ne jouant pas pleinement son rôle en matière de prévention en prenant en charge les tests, en mobilisant tous les moyens humains et matériels pour le dépistage plutôt que de faire le choix de la facilité. Évoquant le procès en appel qui s’est tenu en début de semaine, Louisa Hanoune a tenu à rappeler qu’elle avait fait appel en vue de sa réhabilitation et pour redonner à l’action politique la place que l’on a voulu lui ôter en ciblant la secrétaire générale du Parti des travailleurs. Si elle estime qu’elle n’en attendait pas moins que l’acquittement et l’abandon de toutes les charges, Hanoune considère qu’il s’agissait surtout de corriger un verdict qu’elle assimile à des « décisions politiques » prises pour se venger des positions politiques du parti et de sa première responsable. Le vrai complot, dit-elle, c’était le « hold-up du mouvement populaire » après la démission de Bouteflika qui a empêché le départ du régime