Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Dimanche 01/02/2021

<< janvier 2021 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
26 27 28 29 30 31 1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 31 1 2 3 4 5



-Un coup d’Etat a été perpétré ce lundi en Birmanie par l’armée qui a arrêté la cheffe de facto du gouvernement civil Aung San Suu Kyi, proclamé l’état d’urgence pour un an et placé ses généraux aux principaux postes. Ce putsch, immédiatement condamné par plusieurs capitales étrangères, est nécessaire pour préserver la «stabilité» de l’État, ont fait savoir les militaires dans une annonce sur leur chaîne de télévision, NAME. Ils accusent la commission électorale de ne pas avoir remédié aux «énormes irrégularités» qui ont eu lieu, selon eux, lors des législatives de novembre, remportées massivement par le parti d’Aung San Suu Kyi, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), au pouvoir depuis les élections de 2015. Tôt dans la matinée de lundi, Aung San Suu Kyi et le président de la République, Win Myint, ont été arrêtés…………………………………………. -Un document permettant le recours à la force pour la libération d'un Etat occupé a été adopté par les chefs d'Etat-major et les ministres de la Défense des pays membres de l'Union Africaine (UA). Le Chef de la délégation sahraouie du comité d'experts participant à la 3e réunion extraordinaire du Comité technique spécialisé sur la Défense, la Sûreté et la Sécurité (CTSDSS) de l'UA précise que les clauses de ce document, adopté à l'issue des travaux de la 3e réunion extraordinaire du CTSDSS de l'UA concernant les opérations de paix en Afrique, étaient "très positives" et "en faveur de la cause sahraouie". Parmi les principaux points contenus dans ce document, à soumettre pour débat au prochain Sommet de l'UA prévu les 6 et 7 février, figurent "le recours à la force militaire contre un Etat occupant un autre" et "l'impératif respect par les pays africains des frontières héritées au lendemain de l'indépendance", ce qui constitue , selon l'intervenant, "un autre camouflet aux visées expansionnistes du Royaume du Maroc dans la région".