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  • 23-10-2020
    -En cinq jours, huit personnes sont mortes asphyxiées pour avoir inhalé du gaz généré par l’oxyde de carbone émanant d’un chauffe-bain, alors que l’on est encore en automne et la période du grand froid n’a pas encore commencé. Ce vendredi, c’est toute une famille entière de cinq personnes qui a été décimée à Boufarik dans la wilaya de Blida. Il s’agit d’un imam, sa femme et leurs trois enfants dont deux sont âgés de 5 et 8 ans, alors que le nourrisson ne dépasse pas les trois mois. Mardi dernier, trois autres personnes sont également mortes à Aïn El Turck (Oran), asphyxiées. Les victimes sont issues d’une même famille, un jeune homme de 28 ans, une jeune fille de 21 ans et un bébé (une fillette) d’un an.
  • 19-10-2020
    -L'Organe national de protection et de promotion de l'enfance (ONPPE) a reçu, depuis le début de l’année en cours, plus de 1.700 signalements de cas d'atteinte aux droits de l'enfant via le numéro vert (11/11), a indiqué ce lundi 19 à Alger la Déléguée nationale de la promotion et de la protection de l'Enfance, Meriem Cherfi. «L’ONPPE a reçu, du 1er janvier au 17 octobre 2020, 1.728 signalements de cas d’atteinte aux droits de l’enfant (977 garçons et 751 filles)», a indiqué Mme Cherfi à l'ouverture du séminaire national sur «Le rôle de la société civile dans la prévention des crimes commis contre les enfants», initié par l’ONPPE en coordination avec le bureau de l’Unicef en Algérie. Dans le même contexte, la déléguée a indiqué que l’ONPPE a également reçu, durant la période sus-indiquée, via son numéro vert, «un total de 704.125 appels téléphoniques portant, entre autres, sur des cas d’atteinte aux droits de l’enfant et sur des demandes d’orientations et des préoccupations liées à l'enfance ou aux missions de l'ONPPE». «Dès la réception d'un signalement, une démarche est engagée sur le terrain pour s'assurer de la véracité de l'information, qui est transmise, dans la majorité des cas, au service du milieu ouvert relevant du ministère de la Solidarité nationale pour prise en charge et traitement», a-t-elle précisé.
  • 18-10-2020
    -Le nombre de permis de séjour délivrés a presque chuté de moitié au premier semestre dans l’OCDE, une situation « sans précédent », souligne un rapport de l’organisation publié lundi, estimant que les migrations internationales dans la zone seront « exceptionnellement faibles » en 2020. « La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions majeures sur les flux migratoires au premier semestre », avec une diminution du nombre de nouveaux permis délivrés de 46%, même si cette diminution « pourrait être partiellement compensée au deuxième semestre », selon l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), qui regroupe une quarantaine de pays développés. Une baisse « sans surprise » dans un contexte où les frontières ont été fermées et les mobilités internationales fortement perturbées durant plusieurs mois, alors que le nombre de nouveaux immigrés permanents était resté stable en 2018 et 2019 – environ 5,3 millions par an-, décrypte Jean-Christophe Dumont, chef de la division migrations internationales de l’OCDE. Toutefois, l’impact de la crise varie beaucoup d’un pays à l’autre. « Il y a beaucoup de pays de l’OCDE notamment non-européens où les flux sont littéralement à zéro, comme l’Australie, le Japon, les Etats-Unis, la Corée », explique-t-il. « En Europe, la dynamique est différente. En Suède par exemple, il y a une diminution mais bien moindre qu’ailleurs. Et puis dans les pays comme la France, il y a une chute extrêmement forte des permis octroyés, notamment en avril, mais en juin on est revenu au niveau de l’an dernier ». « Au total, les migrations internationales dans la zone OCDE seront exceptionnellement faibles en 2020 », souligne le rapport. En 2019, avant la pandémie, le nombre d’immigrés admis pour des raisons humanitaires dans les pays de l’OCDE avait chuté de 25%, une diminution « essentiellement imputable aux Etats-Unis » où l’administration Trump a instauré un net durcissement de leur politique migratoire. Au contraire, l’immigration de travailleurs permanents était « en forte progression (+13 % en moyenne) » notamment au Royaume-Uni (+42 %), en Finlande (+29 %), au Luxembourg (+29 %) et en France (+12 %). Dans les pays européens de l’OCDE et aux Etats-Unis, « les immigrés sont fortement surreprésentés dans les secteurs des services dans lesquels les travailleurs peu qualifiés sont très nombreux, en particulier dans les services domestiques et l’hôtellerie-restauration », rappelle l’organisation.
  • 16-10-2020
    -Une embarcation, à son bord une vingtaine de harraga, s'est renversée hier au large de Beni Haoua (100 km au Nord-Est de Chlef) causant la mort d'au moins de 08 de ses occupants dont leurs dépouilles ont été repêchées. Alors que l'on est sans nouvelle de 12 autres candidats à l'émigration clandestine, selon des sources locales.
  • 15-10-2020
    -Des actrices algériennes ont lancé,ce jeudi , une campagne de sensibilisation pour dire «Stop aux féminicides», un phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur en Algérie, notamment durant la période du confinement sanitaire. Parmi elles figurent Bahia Rachedi, Souhila Maalem, Fatiha Oured, Narjes Asli, Leila Touchi et Salima Abada .Cet appel sera suivi par la publication prochaine d’une vidéo, dans laquelle elles dénoncent toutes les formes de violences à l’égard des femmes.
  • 10-10-2020
    -(Le Soir d’Algerie) Pas moins de 18 « Pateras » avec un total de 228 candidats à l’émigration clandestine tous de nationalité algérienne ont été interceptés au large des côtes de Murcia entre Almeria et El Cabo de Palos dans la nuit du mardi (6/10) au mercredi dernier (7/10) par des équipes de secours en mer et de la Guardia civile, rapporte le journal « La Opinion de Murcia » dans son édition du 8 octobre 2020. Selon le quotidien régional, 228 personnes se trouvaient dans ces 18 embarcations. Les mêmes sources indiquent que tous les clandestins sont arrivés en bonne santé pour être remis aux services de la police et à la Croix-Rouge. Dans un premier temps, les migrants ont été transférés sur l’îlot de Esc Ombreras au port de Cartagena pour être pris en charge conformément au protocole du Covid-19 et de subir des tests PCR. Enfin, ce mercredi dernier (7/10) à Mostaganem, 166 migrants qui tentaient la traversée nocturne de la Méditerranée à bord de différents moyens nautiques de fortune ont été interceptés dans 13 embarcations par les gardes-côtes maritimes et les services de sécurité sur terre et sur mer, a-t-on appris ce mercredi de source officielle. Les unités des gardes-côtes ont intercepté 11 embarcations au large du littoral mostaganémois transportant 142 personnes, des femmes, des enfants et des ressortissants étrangers tandis que la police a déjoué deux tentatives d’émigration clandestine sur les rivages des plages de la Salamandre et Meterba avec 24 personnes. Par ailleurs, selon le dernier communiqué de la Sûreté de wilaya parvenu ce jeudi (8/10) , les services de la police judiciaire ont arrêté, tôt le matin du 8 octobre, 81 autres candidats à l’émigration clandestine s’apprêtant à prendre la mer aux environs de 3h30. La première opération a concerné 66 individus, la seconde 15 autres dont 2 femmes aux alentours de 3 h du matin. Les migrants sont issus des wilayas de Tizi-Ouzou, Oran, Bordj-Bou-Arréridj, Biskra, Relizane, Béjaïa et Mostaganem. La police a saisi ces derniers jours 6 embarcations avec des moteurs de 40 à 115 CV, 1 170 litres de carburant et le nombre d’arrestations s’élève à 105 personnes dont 6 ressortissants tunisiens et 3 femmes................................................................................................................................................................................................................... -(Le Quotidien d’Oran) L'ONG américaine, Human Rights Watch (HRW) affirme, dans un rapport publié hier, que l'Algérie a expulsé des «milliers de migrants et de demandeurs d'asile vers le Niger dont des enfants». Selon le document publié sur le site web de l'Organisation, citant des «organisations humanitaires travaillant au Niger», les expulsions ont été opérées à partir de «neuf villes» algériennes, et concernent «plus de 3.400 migrants d'au moins 20 nationalités différentes», «dont 430 enfants et 240 femmes». «L'Algérie a certes le droit de protéger ses frontières, mais pas de placer en détention arbitraire et d'expulser collectivement des migrants, dont des enfants et des demandeurs d'asile, en l'absence de procédure régulière», a déclaré Lauren Seibert, chercheuse auprès de la division Droits des réfugiés et migrants de Human Rights Watch, rapporte le document. Précisant qu'«avant d'expulser quiconque, les autorités devraient vérifier individuellement le statut des personnes en vertu des lois relatives à l'immigration ou à l'asile et veiller à ce que chaque demande soit examinée individuellement par les tribunaux». Parmi les villes citées par HRW figurent Tlemcen, Oran, Alger, Blida, Boumerdès, Tipaza, Zeralda, Sétif et Annaba. Le document affirme également, selon des «travailleurs humanitaires qui aident des migrants en Algérie et au Niger», que «des enfants non accompagnés et des enfants séparés de leurs familles lors des rafles, dont certains étaient âgés de moins de 10 ans, ont été détenus et expulsés». «Le 1er octobre, le ministre de l'Intérieur algérien a annoncé une nouvelle opération de lutte contre la «migration clandestine», affirmant qu'elle respectait les droits humains. Le 3 octobre, l'Algérie a expulsé 705 adultes et enfants de 18 nationalités différentes, puis a renvoyé de force 957 Nigériens à bord d'un convoi vers leur pays le 5 octobre, et enfin a expulsé 660 personnes de 17 nationalités vers le désert le 8 octobre, selon des travailleurs humanitaires au Niger», écrit HRW. Selon la publication, outre les «Subsahariens (qui) forment l'essentiel des personnes» expulsées, «certains ressortissants non africains ont subi le même sort, notamment des demandeurs d'asile yéménites, syriens et palestiniens». Human Rights Watch affirme n'avoir reçu «aucune réponse des autorités algériennes à une lettre du 4 septembre demandant la remise en liberté des Yéménites et l'accès à des procédures d'asile complètes et équitables». Le document rapporte des témoignages de «migrants expulsés» qui affirment que «les autorités algériennes ont pris des mesures pour empêcher la propagation du Covid-19 en prenant leur température, en portant ou en distribuant de masques, ainsi qu'en désinfectant des véhicules», et d'autres qui affirment «qu'aucune précaution n'avait été prise». Hormis la «lettre du 4 septembre demandant la remise en liberté des Yéménites», le document de HRW ne fait pas mention d'une demande d'information adressée aux autorités algériennes sur les conditions de ces expulsions.
  • 08-10-2020
    -Des militantes, artistes, journalistes, et citoyennes, ont tenu un rassemblement ce 8 octobre, afin de dénoncer les crimes contre les femmes. Lancé par le collectif «femmes algériennes pour un changement vers l’égalité», cette initiative a pour but «d’interpeller les autorités sur l’expansion des féminicides » en Algérie. Elles étaient une centaine à tenir un sit-in devant la faculté centrale (Alger) . Munies de leurs pancartes, elles ont répondu à l’appel du collectif, qui entend par cette initiative « dénoncer les crimes de Chaima, Ikram, Razika, et toutes les autres victimes ». Selon le site «Feminicide Algérie», 38 féminicides ont été commis à travers le pays contre 75 en 2019. Le dernier en date, qui a créé l’indignation, et le cas de Chaime, violé et brulé, à Boumerdes. Des rassemblements similaires se sont organisés à Oran, Constantine et Setif.......................................................................................... - -Les jeunes algériens âgés de 18 à 24 ans sont massivement tentés par l’aventure de quitter le pays pour aller quérir un ailleurs meilleurs. C’est du moins la conclusion à laquelle est parvenue l’agence ASDA’A BCW relayé par Radio France Internationale (RFI) et plusieurs médias. On y apprend en effet que parmi ces bataillons de jeunes qui tentent de traverser la Méditerranée pour demander l’asile, les Tunisiens et les Algériens sont de «loinmajoritaires». Il en ressort en effet que plus d’un jeune sur deux de 17 pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient souhaite quitter son pays, le «plus souvent pour des raisons économiques. En contrairement à ce qu’on pouvait penser, l’enquête révèle que la France ne fait plus partie des cinq pays les plus demandés et ce depuis l’année 2013. L’étude menée par cette agence basé à Dubaï souligne également que plus de 42% des jeunes âgés de 18 à 24 ans songent à tenter leur chance dans un autre pays que le leur, et que 15% d’entre eux, «sont déjà passés du rêve à la réalité et ont entamé des démarches pour émigrer». Cette enquête a été menée auprès d’un échantillon de 4.000 jeunes composé aussi bien d’hommes que de femmes, en janvier d’abord c’est à dire avant l’apparition du coronavirus, puis au mois d’août dernier pour prendre en compte la pandémie et ses conséquences. Il y est précisé que le chômage qui affecte un jeune sur trois (deux fois plus que la moyenne mondiale) est la «première motivation» les poussant à tenter leur chance ailleurs. Ils sont prés de 77% de jeunes libanais à vouloir quitter leur pays à cause de la prolifération de la corruption. C’est pourquoi, les Émirats voisins sont cités comme étant la destination de prédilection des ces candidats à l’émigration suivis des États-Unis, du Canada, du Royaume-Unis et de l’Allemagne. En clair, les jeunes ont jeté leur dévolu sur des pays qu’ils considèrent économiquement viables et qui pourraient donc leur offrir plus de chances de trouver des postes de travail. .
  • 05-10-2020
    - L’Algérie a critiqué, lundi, au cours de la 71e session du Comité exécutif du Programme du Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés à Genève le faible financement du HCR (Haut Commissariat aux Réfugiés) en Afrique. « Le niveau actuel de financement n’est pas proportionnel au nombre de personnes relevant de son mandat dans la région. Il est clair que, sans les ressources budgétaires requises, la réponse sera en deçà de l’exigence minimale pour les populations qui dépendent de l’aide humanitaire », a déclaré Mehdi Litim, chargé d’affaires auprès de la Mission permanente d’Algérie à Genève, Selon lui, le manque de financement affecte « nombreux programmes de protection et d’assistance en Afrique ». Le Groupe africain (à l’ONU Genève) a exprimé « sa profonde inquiétude » à propos de ce sous-financement HCR dans le budget final pour 2019. « Il est impératif de protéger et de renforcer les capacités humanitaires des pays africains qui, malgré le fardeau supplémentaire qui pèse sur leurs économies, continuent de faire preuve de solidarité envers les personnes déplacées de force, dans la tradition africaine d’hospitalité et de générosité », a-t-il soutenu, dans une déclaration lue au nom ce ce Groupe qui a réitéré son appel à la communauté internationale « pour garantir un financement adéquat et flexible au profit des opérations du HCR en Afrique. Il a appelé à doter les pays africains de plus grandes opportunités économiques « pour aider et protéger les personnes déplacées de force ».
  • 01-10-2020
    -Le ministre de l'Intérieur Kamel Beldjoud, a annoncé jeudi le rapatriement de quelque 1500 migrants subsahariens, dans le cadre d'une convention entre les autorités algériennes et nigériennes. S'exprimant devant les députés, le ministre de l'Intérieur a indiqué que "le nombre des migrants clandestins s'est considérablement rétréci ces derniers temps, à la faveur des différentes mesures prises par les autorités en collaboration avec les pays émetteurs. "Les autorités ont mis en place une stratégie de lutte contre ce phénomène dans le cadre des conventions internationales et du respect des Droits de l'Homme", ajoute Kamel Beldjoud qui précise "l'Etat a réuni toutes les conditions logistiques, sanitaires et humanitaires, avec des centres d'accueils, un suivi médical et une législation pour lutter contre ce phénomène"....................................................................... --A l’occasion de la journée mondiale des Personnes âgées, célébrée le 1er octobre de chaque année, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a indiqué, dans son allocution intitulée «La prise en charge médicale et sociale des personnes âgées», que le nombre des personnes âgées de plus 60 ans en Algérie dépasse 4 millions. «Cette journée est une occasion pour mettre en exergue les efforts déployés par l’Etat à travers ses institutions et la société civile», a affirmé le responsable, ajoutant que les prévisions sur la question, font état d’une augmentation de ce nombre à l’horizon 2040, passant à plus de 10 millions de personnes âgées soit 20%. Le ministre a fait savoir, en outre, que l’espérance de vie localement, est passée de 72 ans en 2000 à près 78 ans en 2019.