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Justice (et Droit)

Journée du Lundi 13/10/2020

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-Au troisième jour du procès en appel de l’homme d’affaire Ali Haddad, qui se poursuit mardi à la Cour d’Alger, c’est le passage de Amar Ghoul à la barre qui a polarisé l’attention de la salle d’audience. « Vous êtres le maitre de cérémonie (Moul El aârs) , lui lance, un brin provocateur, le procureur qui l’interrogeait sur « le projet du siècle" , l’autoroute Est/Ouest et les privilèges accordés par ses soins à Ali Haddad. "Tous les contrats nt obtenu l'aval de la Commission des marchés du ministère des Finances, je n'ai accordé aucun privilège au groupe Haddad, je n'ai fait qu'appliquer à la lettre les instruction du Premier ministre et les orientations du président de la République qui insistait sur la nécessité d'accélérer la cadence des travaux à caractère social", réplique t-il « A mon époque, en tant que ministre il y a eu pas mois de 5.000 projets et seuls deux projets sont octroyés à Ali Haddad contre 13 autoroutes attribuées selon la formule de simple gré à gré à des entreprises publiques et privées », ajoute t-il. Et le procureur de le relancer sur les travaux des ports de Djendjen, Mostaganem,Béjaia, Annaba, Alger accordés à Ali Haddad, lui rappelant qu’il était encore ministre en poste en charge des Travaux publics. « Je n’étais plus ministre des Travaux publics, au moment de la passation des contrats pour les ports », se défend « le père spirituel de l’autoroute Est/Ouest, selon la formule du procureur. Qui lui rappelle justement que « la presse d’investigation a démontré que le projet du siècle a été surévalué » et ce à quoi Ghoul rétorque : « aucun organe officiel n’apporte de preuve » Alger déclare son attachement Ã