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Industries (et Artisanat)

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  • 27-09-2020
    -La production industrielle du secteur public, a reculé de 14,1% durant le 2e trimestre 2020, par rapport à la même période de 2019 (Office national des statistiques/ONS). Durant le 1er semestre de l'année en cours et par rapport à la même période de 2019, la variation moyenne de la production industrielle du secteur public s'est située à -10,4%, précise la même source. En 2019, la production industrielle du secteur public a connu une hausse de 2,7%.
  • 21-09-2020
    -Le ministre des Mines, Mohamed Arkab, qui était l'invité du Forum de la radio chaîne 1, a révélé que le processus qui permet la «création par des jeunes du Sud de 95 petites entreprises d'exploitation des mines d'or» est à «sa dernière étape», annonçant également un objectif de production annuelle de «240 kilogrammes d'or pur» dans une «première phase». Il a précisé que les experts de l'Agence nationale des activités minières (ANAM) et les services de cartographie géologique ont préparé toutes les zones saturées d'or et ont achevé l'enregistrement des zones sur les cartes, annonçant la formation de «plus de 95 zones» variant entre 6 hectares de type gisement filonien et des zones de 200 à 400 hectares de sédiments de type placer. Le ministre a également expliqué que les 95 petites entreprises, qui seront créées dans les wilayas de Tamanrasset et d'Illizi, prendront en charge chacune une zone d'exploitation, assurant que la formation des jeunes sera prise en charge à travers un programme supervisé par le ministère de la Formation professionnelle. Selon M. Arkab, des «conditions strictes» ont été fixées dans le cahier des charges afin que les jeunes n'utilisent pas de produits chimiques et restent dans le traitement physique afin de préserver leur santé, l'environnement et le patrimoine matériel de la région saharienne. «La tâche des jeunes sera donc de fracturer les sédiments et de collecter des roches contenant de l'or, avant d'être transportées vers les complexes miniers de la société ENOR pour y être broyées pour extraire le métal précieux», précise le ministre.
  • 18-09-2020
    -A l’arrêt depuis mars dernier, le haut-fourneau (HF) n°2 a redémarré dans l’après-midi, annonce Tarek Bouslama, PDG du groupe Imetal. «Tous les essais sont concluants et les premières coulées de fonte sont attendues dans les 72 heures qui suivent. La décision a été prise en concertation avec tous les intervenants dans ce secteur», s’est félicité le patron d’Imetal. Interrogé sur l’indisponibilité du groupe électrogène (en panne), qui assurait l’alimentation du HF n°2 lors des coupures d’électricité, et les faibles réserves de coke, T. Bouslama rassure : «Outre les assurances de Sonelgaz, nous avons prévu une seconde ligne, disponible en cas de basculement, pour assurer l’énergie aux installations. Quant aux réserves de coke, la commande sera disponible avant l’épuisement des stocks, estimés à un mois.» Le redémarrage de la production au niveau de Sider El Hadjar intervient au lendemain de la visite du Premier ministre, Abdelaziz Djerad, le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali, et le PDG d’Imetal. A cette occasion, une nouvelle version du plan de développement de 2018 a été présentée à Abdelaziz Djerad, visant la réhabilitation du complexe avec moins de d’investissement financier et de meilleurs résultats à court terme.
  • 15-09-2020
    -Le mégaprojet intégré d’exploitation et de transformation de phosphate est fin prêt et sera soumis prochainement au gouvernement pour validation, a déclaré, à Alger, le ministre de l'Énergie, Abdelmadjid Attar, à l’ouverture d’une réunion interministérielle consacrée au projet intégré phosphate. Etaient présents à la rencontre, Mohamed Arkab, Chems Eddine Chitour, Arezki Berraki, Farouk Chiali et Hani Lazhar, respectivement ministres des Mines, de la Transition énergétique et des Energies renouvelables, des Ressources en eau, des Travaux publics, des Transports, ainsi que Mohamed Cherif Mihoub, ministre délégué chargé de la Prospective. «C’est un important projet qui entre dans le cadre du programme du président de la République qui a donné des instructions fermes pour son lancement dans les plus brefs délais», a indiqué M. Attar, ajoutant que c’est un projet extrêmement important qui concerne plusieurs secteurs nécessitant des investissements énorme qui s’élèvent à 6 milliards de dollars.
  • 09-09-2020
    -Le ministre de l’industrie,. . Ferhat Ait Ali a asséné aujourd’hui lors de son passage au forum d’ Echâab, que les revenus du mastodonte d’Annaba ne dépassent pas les 30 milliards de dinars ! «Les revenus du complexe El-Hadjar ne dépassent pas les 30 milliards de dinars et ses équipements n’apportent pas de valeur ajoutée», a asséné le ministre de l’industrie, suggérant ainsi que son éventuel privatisation ne serait pas une si mauvaise chose. Sa réplique en tout cas laisse entendre que le gouvernement en a assez d’intervenir à chaque fois pour remettre en marche un méga complexe qui avait été vendu au géant mondial, l’indien Arcelor-Métal au début des années 2000 pour une bouchée de pain avant de le laisser tomber comme de la vieille ferraille. L’Etat a été en effet contraint de reprendre le contrôle d’El Hadjar en juillet 2013 à hauteur de 49% suivant un accord dit «stratégique avec le groupe public Sider pour un plan d'investissement de 763 millions de dollars, dans le complexe sidérurgique d'Annaba et dans les mines de Ouenza et Boukhdera. Ce fameux accord visait à «doubler» la capacité de production de l'usine en la portant de 1 million de tonnes à 2,2 millions de tonnes par an en 2017. Cependant, la renationalisation du complexe El-Hadjar n’a pas impulsé, loin s’en faut, son développement surtout que l’Etat fait face depuis 2014 à une crise financière aigue. Précisément, Ferhat Ait Ali en visite lundi dernier à Annaba, a promis que son département allait "étudier" la possibilité de rééchelonner la dette du complexe laminé par la «situation difficile» dans laquelle il se trouve. Le ministre a par ailleurs évoqué des «solutions radicales» pour amorcer un nouveau départ du complexe au même titre que pour «plusieurs complexes industriels publics». Ferhat Ait Ali a enfin assuré que d’ici 2021, la production du complexe sidérurgique atteindra «un rythme tel qu’il ne sera pas une charge pour le Trésor public» selon un communiqué de son département. Un discours déjà entendu à maintes reprises dans le passé.