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Energie (et Mines)

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  • 31-12-2020
    -L'entreprise nationale des hydrocarbures, Sonatrach, compte mettre en œuvre un plan d'investissement de 40 milliards de dollars sur cinq (05) ans, dont 51 % en Dinars notamment à travers la mise en production et la montée en cadence de plusieurs gisements, a indiqué jeudi le P-dg de Sonatrach, Toufik Hakkar, dans un message à l'occasion du nouvel An. Dans un message adressé à l'occasion du nouvel An 2021 , a fait le P-dg de Sonatrach, Toufik Hakkar, ce jeudi 31, savoir que le programme d'investissement de Sonatrach s'élèvera à 40 milliards de dollars dont 51 % en Dinars sur les cinq prochaines années "traduisant la mise en œuvre de notre politique de promotion du contenu local, ayant constitué un axe hautement stratégique durant cette année". De plus, le même responsable a fait savoir qu'en matière d’activités opérationnelles, "la production et les ventes connaitront, en 2021, une croissance grâce notamment à la mise en production des gisements périphériques de Gassi Touil et Hassi Bir Rekaiz ainsi que la montée en cadence de la production au niveau de Tinrhert et l’achèvement du Boosting Hassi R’Mel pour la zone Nord". Au moyen terme, le P-dg de Sonatrach souligne que l'entreprise continuera à satisfaire les besoins croissants du marché national, qui atteindront 70 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) à partir de 2024, tout en maintenant un niveau d’export au-dessus de 90 millions TEP annuellement, grâce à la mise en production de nouveaux gisements dans les régions Sud-Ouest et Sud-Est. Sur le plan financier et malgré les conséquences négatives de la crise sanitaire provoquée par la Covid-19 , Sonatrach escompte clôturer l’exercice 2020 avec un résultat bénéficiaire "que nous considérons comme le fruit des efforts consentis par l’ensemble de nos collectifs et par l’entreprise à travers, notamment, la réduction des dépenses d’exploitationet d’investissement". Par ailleurs, T. Hakkar a fait observer la résilience de l'entreprise publique face à la double crise tout à fait inédite, sanitaire et celle des marchés pétroliers et gaziers, permettant à Sonatrach de faire face à ses conséquences en limitant son impact sur ses activités opérationnelles et ses capacités financières, tout en maintenant le cap pour la réalisation de ses objectifs de production et de commercialisation. "Ceci s’est notamment traduit par la réalisation de 18 nouvelles découvertes, avec un taux de succès nettement plus élevé qu’en 2019, ainsi que la mise en service d’importants projets et infrastructures gazières, permettant de continuer à Sonatrach d'honorer ses engagements tant sur le marché national qu’auprès de ses clients étrangers tels que le gisement gazier de Tinrhert, le Boosting Hassi R’mel pour les Zones Sud et Centre, le Boosting Hamra, le gazoduc GR7 et l’extension du gazoduc GPDF" a-t-il rappelé. L’année 2020 a vu, par ailleurs, la relance de l’intérêt des partenaires étrangers pour le domaine minier algérien, à travers la concrétisation de plusieurs accords et mémorandums, ainsi que le renouvellement des accords gaziers conclus avec des partenaires italiens et espagnols, "qui sont autant de signaux positifs ouvrant des perspectives prometteuses", s'est-il réjoui. "Il y a également lieu de citer, la signature du contrat de réalisation de la nouvelle raffinerie de Hassi Messaoud, qui renforcera nos capacités actuelles afin de satisfaire les besoins du marché national en carburants, et la signature du contrat FEED du projet pétrochimique pour la production de polypropylène", cite T. Hakkar.
  • 30-12-2020
    -Les prix du pétrole sont en hausse ce 30 décembre aidées par la faiblesse du dollar avant les données hebdomadaires sur les réserves américaines. Mercredi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, dont c’est le dernier jour de cotation, gagnait 0,59% à Londres, à 51,39 dollars.
  • 27-12-2020
    -Le Groupe Sonelgaz et la société énergétique libyenne Général Electric Company (GECOL) ont signé dimanche à Alger une nouvelle convention de coopération élargissant ainsi la coopération entre les deux entités à la production, au transport et à la distribution d'électricité et de gaz, selon le P-dg de Sonelgaz, Chaher Boulekhras.
  • 22-12-2020
    -L’Etat ambitionne de réaliser 1.000 mégawatts (MW) d’installations solaires en 2021 à travers le pays afin de parvenir à 15.000 MW d’ici 2035, a indiqué lundi à Alger le ministre de la Transition énergétique et des Energies renouvelables, Chems-Eddine Chitour. Intervenant lors de l’émission "L'invité de la rédaction" de la Radio nationale Chaine III, le ministre a fait savoir que l’Etat a pour but de réaliser 1.000 MW d’installations solaires au cours de l’année 2021 ce qui correspond à une économie de 1,5 milliards m3 de gaz. Selon M. Chitour, l’Algérie financera ces centrales solaires avec le gaz naturel non consommé. Il a également souligné l’intérêt de nouer des partenariats avec des acteurs majeurs du solaire dans le monde, citant des pays comme l’Allemagne,les Etats-Unis et la Chine. "Un partenariat stratégique permet d’aller plus vite. Nous devons mettre en place minimum 1.000 mégawatts par an d’ici 2035 pour réussir le plan des 15.000 MW", a-t-il estimé ajoutant que dans ce cadre, des appels d’offre seront lancé "dans la transparence la plus totale". L’intervenant a rappelé que la nécessité de parvenir à cet objectif est notamment appelée par la forte consommation nationale de gaz. Le pays possède, a-t-il étayé, 2.500 milliards m3 de gaz de réserves, alors que la consommation nationale est de 200 milliards m3 gaz/an. Cela fait dire aux experts qu’en 2028 "la consommation est telle qu’il faudra choisir entre consommer ou exporter". De plus, le ministre a plaidé pour "freiner l’investissement dans le gaz naturel destiné aux centrales thermiques". Par ailleurs, M. Chitour a évoqué l’une des principales missions de son département ministériel consistant à réaliser des économies d’énergie au niveau de l’ensemble des secteurs de consommation ciblant le résidentiel, l’habitat et le transport. Il a également cité l’objectif de rendre les mosquées plus rationnelle en termes de consommation d’énergie, précisant qu’une commission travaille à réhabiliter les mosquées du pays et à réaliser une mosquée verte au niveau de la nouvelle ville de Sidi Abdallah (Alger Ouest). S’agissant du transport, le ministre a indiqué que pour la première fois dans l’histoire de l’Algérie, des bus convertis en GPLc vont être mis en circulation au niveau de la capitale permettant ainsi une économie de 30% de la consommation de diesel. Le ministre, a en outre, évoqué plusieurs actions menées par les plusieurs institutions du pays afin d’intégrer la locomotion électrique en Algérie. Ainsi, plusieurs bornes électriques, a-t-il dit, ont été importées et bientôt installées. Des véhicules électriques devraient également être acquis selon le ministre, affirmant que le coût des véhicules peut être estimé à 10.000 euros seulement.
  • 21-12-2020
    -La production nationale d'hy drocarbures devrait enregis trer, d'ici la fin de l'année en cours, une baisse de 8% par rapport à l'exercice 2019, pour se stabiliser à environ 143 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP), selon le ministre de l'Energie, Abdelmadjid Attar. «Les chiffres de 2020 font ressortir un recul de la quasi totalités des indicateurs du fait des répercussions de la pandémie du coronavirus, qui a fortement impacté l'activité économique nationale », a précisé, samedi, le ministre devant la Commission des Finances et du Budget de l'Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre de l'examen du projet de Règlement budgétaire 2018. Le ministre a précisé que les exportations hydrocarbures devront atteindre, à la fin décembre, quelque 82 millions TEP, soit 22 milliards de dollars US (MUSD), et que les produits pétrochimiques enregistreraient une baisse de 33% par rapport à 2019, où ils avaient atteints 33 MUSD. Quant aux recettes prévisionnelles de la fiscalité pétrolière, elles devront atteindre 1.850 milliards DA (MDA), soit un recul de 33% par rapport à l'année dernière. Une baisse de la consommation locale d'énergie, à hauteur de 60 millions tonnes TEP, est également prévue, affirme M. Attar, tirée par un recul de la demande sur les produits pétroliers et le gaz, suite aux mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre la propagation du Coronavirus. D'ailleurs, suite à cette baisse de la demande en produits pétroliers et de la saturation des capacités de stockage, une décision a été prise par le secteur de l'Energie de réduire les importations d'essence et de gasoil. En conséquence, les importations en produits pétroliers devront s'établir, fin 2020, à environ 700 millions USD, contre plus d'un milliard USD en 2019. Le ministre de l'Energie a également évoqué une série de mesures visant à rationaliser la consommation dans le cadre de la Loi de finances 2021, à travers la proposition d'une taxe sur la consommation des carburants pour les véhicules sortant des frontières du pays. Abdelmadjid Attar a également évoqué les projets de raccordement à l'électricité et l'approvisionnement en gaz, annonçant que durant le Quinquennat 2020-2024, quelque 140.000 ménages seront reliés au réseau électrique et 370.000 foyers approvisionnés au gaz naturel. Selon le ministre, les programmes financés par l'Etat ont permis de raccorder près de 2,3 millions de ménages au gaz et quelque 400.000 autres à l'électricité, pour une enveloppe de 600 MDA. Concernant les projets de raccordement réalisés dans les zones d'ombre au profit des investisseurs agricoles, M. Attar a évoqué 527 projets raccordés à l'électricité et 348 autres au gaz. M. Attar a expliqué que la réalisation de ce programme demeure tributaire de la disponibilité des ressources financières nécessaires, mais également de l'existence de voies d'accès aux sites des projets et des passages pour les lignes électriques, dira le ministre qui a cité en outre la lenteur des procédures liées à la passation des marchés publics. Hydrocarbures: Baisse du volume des exportations en 2018 Faisant un bilan des exportations d'hydrocarbures en 2018, le ministre a fait état d'une baisse de volume à hauteur de 101,4 millions TEP, contre 108,8 millions en 2017, soit un recul de 7%. Ce recul s'explique, selon le ministre, par le respect des décisions de l'Opep relatives à la réduction de la production, ainsi que par une baisse de la demande des pays européens sur le gaz naturel. Cependant, malgré cette baisse du volume des exportations d'hydrocarbures, les recettes ont enregistré une hausse de 17,6%, passant à 39 MUSD en 2018, contre 33,2 MUSD en 2017, en raison de la hausse du prix moyen du baril de pétrole qui est passé à 71,3 USD en 2018, contre 59,3 USD en 2017. Par ailleurs, les importations des produits pétroliers ont reculé de 73,3% par rapport à l'année 2017. Ainsi, la facture des importations a baissé de 1,8 MUSD en 2017 à 500 MUSD en 2018. Lors de son exposé sur la Loi portant Règlement budgétaire de l'exercice 2018, le ministre a indiqué que le budget de fonctionnement du ministère, en 2018, était d'environ 50,8 MDA, dont 98% ont été consommés soulignant que 87% étaient destinés à la subvention du dessalement de l'eau de mer, à hauteur de 44 MDA. Par rapport à celui de 2017, le budget de fonctionnement de 2018 a connu une hausse de 7% suite à l'augmentation des dotations destinées à la subvention du prix du dessalement de l'eau de mer, a-t-il ajouté. Pour ce qui est du budget d'équipement, 57,5 MDA ont été consommés par le Fonds national de soutien à l'investissement et l'électrification et la distribution publique du gaz et 635 millions de DA du total des dotations affectées ont été consommés par le Fonds national de soutien aux Energies renouvelables et à l'efficacité énergétique. Environ 10 MDA ont été consommés, en vue de poursuivre la réalisation des infrastructures de la Ville nouvelle de Hassi Messaoud et plus de 95 millions de DA pour le raccordement de la zone industrielle Sidi Khettab (Relizane).
  • 19-12-2020
    -Quelque 178 champs aurifères répartis entre les wilayas de Tamanrasset et Illizi seront proposés, comme 1re étape, à l'exploitation, au cours des prochaines semaines, annonce , à Alger, le ministre des Mines, Mohamed Arkab Une annonce faite en marge de la signature d'une Convention sectorielle visant à assurer la connexion au réseau téléphonique des zones de prospection d'or, dans le sud pays afin de préparer le terrain aux petites entreprises qui devront s'y installer pour lancer cette activité. De son côté, le ministre-délégué auprès du Premier ministère, chargé des micro-entreprises, M. Nassim Diafat a tenu à assurer que les micro-entreprises retenues, il y a 2 semaines, dans le cadre du projet d'exploitation de ces sites aurifères bénéficieront d'opportunités de financement. M. Diafat a rappelé à ce propos, qu'un travail colossal a été réalisé en collaboration avec le ministère des Mines en vue de créer ces micro-entreprises spécialisées dans l'exploitation artisanal de l'or, précisant que, dans ce cadre, pas moins de 200 jeunes avaient été inscrits à l'Agence nationale de soutien à l'Emploi des jeunes (ANSEJ). En plus des possibilités de financements, les jeunes bénéficient de formation spécialisée pour l'exploitation minière artisanale de l'or, tel que l'avait annoncé fin- septembre dernier, le ministre des Mines Mohamed Arkab.
  • 11-12-2020
    -Les cours du pétrole repartaient un peu en arrière vendredi, après des sommets en plus de neuf mois atteints la veille, les investisseurs s'accrochant à l'espoir d'une reprise de la demande que portent en eux les vaccins contre le Covid-19. Vers 11H20 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février perdait 0,42% à Londres par rapport à la clôture de jeudi, à 50,04 dollars. Le baril américain de WTI pour le mois de janvier abandonnait de son côté 0,38% à 46,60 dollars. Les deux cours de référence ont engrangé plus de 30% depuis le 1er novembre. Jeudi, le Brent a culminé à 51,06 dollars le baril et le WTI à 47,74 dollars, un record depuis respectivement les 5 et 4 mars. "L'optimisme sur les vaccins qui s'est emparé du marché depuis quelques semaines semble se poursuivre en raison des approbations successives et du déploiement plus rapide que prévu des premières campagnes dans les marchés clés" pour la consommation de pétrole, a estimé Paola Rodriguez-Masiu, analyste de Rystad.
  • 10-12-2020
    -Le prix du baril de pétrole brut de référence en Europe a dépassé les 50 dollars jeudi, pour la première fois depuis le 6 mars, porté par l'optimisme des campagnes de vaccination contre le Covid-19 qui augure d'une reprise de la demande d'or noir. Vers 14H45 GMT (15H45 à Alger), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février gagnait 2,44% à Londres par rapport à la clôture de mercredi, à 50,05 dollars. Le baril américain de WTI pour le mois de janvier était également à son ,plus haut, mais depuis le 5 mars, à 46,71 dollars. Le début de la campagne de vaccination au Royaume-Uni dès mardi "a renforcé l'espoir placé par les ,investisseurs dans la (reprise de la) demande" de brut, ont souligné des analystes. Cette reprise des cours intervient aussi après la décision de l'Agence américaine des médicaments (FDA) sur l'autorisation du vaccin de Pfizer/BioNTech contre le Covid-19 attendue ces jours-ci……………………………………….. - Le prix du panier de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), dont le pétrole brut algérien, a poursuivi sa hausse à plus de 48 dollars le baril, selon les données publiées jeudi par l’Organisation. "Le panier de référence de 13 bruts de l’Opep (ORB) s'est élevé à 48,31 dollars le baril mercredi, contre 47,79 dollars la veille (mardi)", selon la même source. L’ORB est composé également du Girassol (Angola), Djeno (Congo), Zafiro (Guinée équatoriale), Rabi Light (Gabon), Iran Heavy (Iran), Basra Light (Irak), Kuwait Export (Koweït), Es Sider (Libye), Bonny Light (Nigéria), Arab Light (Arabie saoudite), Murban (Emirats arabes unis) et Merey, brut de référence du Venezuela. Avec cette progression, le brut de l’Opep se maintient au niveau le plus élevé depuis mars dernier, une période caractérisée par une forte baisse de la demande mondiale sur le pétrole, affectée notamment par la pandémie de Covid-19. Cette amélioration a débuté en fin novembre dernier, avec les annonces par différents laboratoires dans le monde sur l’efficacité d’un vaccin réduisant le risque d’atteinte de la Covid-19 et la possibilité d’entamer des campagnes massives de vaccination. Durant la première semaine du mois de décembre, les choses se sont accélérées avec le début mardi de la campagne vaccination en Grande Bretagne, ce qui donne un espoir sur la généralisation de l’usage du vaccin contre le Coronavirus à d’autres pays dans le monde. En cas d’efficacité des vaccins utilisés, plusieurs observateurs s’attendent à la levée des différentes mesures de confinement, dont celles relatives au déplacement des personnes, sachant que le secteur des transports notamment aérien est parmi les secteurs importants consommateurs d’énergie, ce qui signifie une reprise de la demande du brut. C’est dans ce contexte que les cours de l’or noir connaissent une amélioration, le baril de Brent de la mer du Nord, côté sur le marché de Londres, sur lequel est établi le pétrole algérien, a entamé la séance de jeudi à 49,62 dollars, gagnant 1,56% par rapport à la clôture de mercredi. Les cours de l’or noir restent aussi soutenus par les dernières décisions de l’Opep+ portant sur une augmentation graduelle de la production pétrolière à partir du janvier prochain. L'Opep et ses alliés se sont accordés, jeudi dernier, de limiter l’augmentation de leur production de 500.000 barils quotidiens en janvier prochain au lieu de passer directement à une hausse de prés de 2 millions de barils par jour…………………………………………. -La Compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach et le groupe énergétique italien Eni ont signé jeudi à Alger, un accord renforçant le partenariat dans le bassin de Berkine, sous l’égide du nouveau dispositif légal et règlementaire régissant les activités d'hydrocarbures, a indiqué Sonatrach dans un communiqué. "Un Protocole d’accord, ayant pour objet l’élaboration d’une feuille de route fixant les démarches nécessaires en vue d’une éventuelle conclusion d’un ou de plusieurs contrats d’hydrocarbures dans le bassin de Berkine, sous l’égide du nouveau dispositif légal et règlementaire régissant les activités hydrocarbures, a été signé aujourd’hui (jeudi) entre Sonatrach et Eni", a précisé la même source. Ce document a été paraphé par le P-dg de Sonatrach Toufik Hakkar et celui du groupe Eni, Claudio Descalzi lors d’une réunion de travail tenue jeudi à Alger entre les deux responsables.
  • 04-12-2020
    -L'accord trouvé par les membres de l'Opep+ sur une augmentation graduelle de leur production d'or noir à partir de janvier portent à la hausse les cours les cours du pétrole retrouvant des prix plus vu depuis près de neuf mois. En effet, vers 10H30 GMT (11H30 à Alger), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février gagnait 1,09% par rapport à la clôture de jeudi, à 49,24 dollars. Le Brent s'est rapproché plus tôt dans la séance de la barre symbolique des 50 dollars le baril, à 49,92 dollars, plus franchie depuis le 6 mars. A New York, le baril américain de WTI pour le mois de janvier s'appréciait de 1,01% à 46,10 dollars. Le groupe des treize membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) plus dix alliés producteurs se sont finalement mis d'accord jeudi pour "restituer progressivement" sur le marché les quelque 2 millions de barils par jour prévus en début d'année prochaine, en commençant par 500.000 barils quotidiens en janvier, à l'issue de quatre jours de négociations. Cette décision fait donc passer le volume de pétrole brut retiré volontairement du marché par l'alliance de 7,7 mbj à 7,2 mbj au 1er janvier et amende l'accord précédent arraché en avril, qui prévoyait une marche plus haute à 5,8 mbj, jugée par beaucoup trop conséquente au vu d'un marché toujours déprimé par la pandémie de Covid-19. Des analystes affirment que l' accord permet aux deux cours de référence de revenir à des prix comparables au début du mois de mars de cette année.