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Energie (et Mines)

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  • 31-01-2021
    -Le groupe Sonatrach a signé dimanche un protocole d’accord avec ses partenaires Occidental, Eni et Total visant à consolider leurs relations et leur "partenariat historique" dans le périmètre contractuel situé dans les blocs 404 et 208 de Berkine. Selon un communiqué de Sonatrach, ce protocole d’accord a pour objet l'élaboration d'une feuille de route en vue de la conclusion d’un contrat d’hydrocarbures dans le bassin de Berkine, sous l’égide du nouveau dispositif régissant les activités hydrocarbures. "Les parties mettront les moyens et les ressources pour atteindre cet objectif", assure la même source. Cet accord traduit, selon le communiqué, la volonté de Sonatrach et de ses partenaires de conforter leurs traditionnelles relations et de développer leur coopération à travers la recherche de nouvelles opportunités de partenariat…………………………………………………………………………………………
  • 29-01-2021
    -Le pétrole termine cette semaine à 56 dollars le baril au terme d’une semaine relativement calme sur les marchés du brut, les gains restant limités par les perspectives toujours obscures de la demande d’or noir. Vers midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c’est le dernier jour de cotation, gagnait 0,83% à 55,99 dollars. Le baril américain de WTI pour le même mois s’appréciait dans le même temps de 0,52% à 52,61 dollars
  • 25-01-2021
    -Le ministre de l'Energie, Abdelmadjid Attar a annoncé, lundi, que les recettes pétrolières de l’Algérie ont atteint 22 milliards de dollars en 2020, dont 2 milliards de dollars générés par les produits pétroliers. Invité du Forum de la Radio, Attar a précisé que 96% des recettes de l'Etat en devises provenaient du pétrole et du gaz, expliquant que celles-ci avaient diminué de 11 milliards de dollars (-30%) par rapport à 2019 avec un prix du baril à 42 dollars. A une question sur les industries pétrochimiques, le ministre a fait état de huit (8) projets proposés à la réalisation pour une enveloppe d'environ 8 milliards de dollars. Deux d’entre eux, actuellement en phase d’études préliminaires, sont pris en charge par Sonatrach, a-t-il fait savoir. Il a également évoqué six autres projets, dont trois dans le cadre du partenariat étranger, le premier avec Total à Arzew au titre d’un accord signé, le deuxième avec une société turque à l’étranger et le troisième avec une société coréenne à Skikda. Les trois autres projets, d’une valeur de 11 milliards de dollars, sont à l'étude par le groupe Sonatrach pour trouver des partenaires étrangers. Selon le ministre, ces projets "ont été proposés il y a 10 ans, mais n’ont pas été concrétisés", d’où la détermination du secteur à changer de stratégie. Attar a, par ailleurs, indiqué que l'Algérie n'importera plus de gasoil après l'entrée en production attendue du nouveau projet réalisé par Sonatrach à Hassi Messaoud. 70% des véhicules du parc automobile national roulent au gasoil, un chiffre record par rapport au reste du monde, et la nouvelle raffinerie n’est pas en mesure de répondre à tous les besoins nationaux, d’où la nécessité de réaliser de nouveaux projets. Le secteur modifiera progressivement le type de carburant utilisé sur le marché, avec la production de quantités d'essence sans plomb 91 octanes aux côtés des trois autres types de carburant disponibles dans les stations.
  • 24-01-2021
    -L'Algérie a été élue membre du Conseil de l'Agence Internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), pour un mandat de deux (02) années, a indiqué dimanche un communiqué du ministère de la Transition énergétique et des Energies renouvelables. Cette élection au Conseil de l'IRENA a eu lieu lors des travaux de la 11e session virtuelle de l’Assemblée générale de l'Agence tenus du 18 au 21 janvier 2021, a précisé la même source. L'Algérie a été élue pour siéger au Conseil de l'Agence pour la période 2021-2022, en tant que représentant du Groupe Afrique, sous-groupe Afrique du Nord, selon la même source, ajoutant que le Conseil, composé de 21 membres, est chargé de faciliter la coopération entre les membres, superviser le programme de travail et budget de l’Agence, ainsi que son adoption par l'Assemblée générale, qui comprend 163 membres et 21 Etats en cours d’accession. S'agissant des travaux de la 11e session virtuelle de Assemblée générale de l'Agence, qui se sont conclus le 21 janvier en cours, le communiqué a indiqué que l'Algérie y a pris part avec une délégation composée des représentants des ministères des Affaires étrangères, celui de la Transition énergétique et des énergies renouvelables, ainsi que celui de l’Energie. Elle était conduite par le ministre de la Transition énergétique et des Energies renouvelables, Professeur, Chems Eddine Chitour.
  • 19-01-2021
    -Exacerbée par les factures impayées, à hauteur de 160 milliards DA, la Sonelgaz passé à l’acte extrême, soit la coupure de l’électricité pour les récalcitrants, identifiés par le P-dg de l’Enterprise, Chahar Boulakhras , comme étant «les clients à grande consommation, notamment les industriels et les commerçants, ayant accumulé plusieurs factures non-payées », a-t-il précisé lors d’une conférence de presse tenue, mardi. Pour autant, Boulakhras n’a pas exclu de la même mesure les particuliers qui ont accumulé 4 à 5 factures impayées, soulignant que certains d’entre eux cumulaient un retard de 18 mois, dans le paiement de leurs redevances. Le P-dg de la Sonelgaz a conclu, véhément, que la société n’en pouvait plus de "supporter toutes ces charges»; pour dire un peu le seuil critique atteint par son entreprise................................................................................................................................ -Le ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar, a instruit la Société nationale de l’Electricité et du gaz (Sonelgaz) d’interrompre « temporairement » sa campagne de récupération de créances de se clients en leur coupant l’approvisionnement en électricité et en gaz et ce, en raison de la période hivernale actuelle. Dans un communiqué de presse, le ministère de l’Energie n’a pas manqué de rappeler la situation financière de la compagnie. Le département de M. Attar qualifie ainsi les créances de « très importantes avec un impact très négatif sur l’équilibre financier de la société ». Le ministre de l’Energie a ainsi demandé à Sonelgaz de « surseoir provisoirement en cette période d’hiver difficile à toute coupure d’électricité ou de gaz, surtout pour les citoyens à faibles revenus, isolés (zones d’ombre), et bien sur les usagers dont l’activité est sensible ». Une décision prise « conformément aux directives du Président de la république et du Premier ministre concernant l’allégement de l’impact économique de la pandémie Covid-19 sur le citoyen algérien ». « Pour certains cas sensibles où il y a déjà eu coupure, le ministre de l’Energie a instruit Sonelgaz d’envisager le rétablissement du raccordement de façon provisoire, et a demandé un compte rendu hebdomadaire sur cette situation pour permettre un suivi régulier de la situation durant cette période », conclut le communiqué. CHRONO
  • 18-01-2021
    -Les prix du pétrole se tassaient légèrement lundi, tirés vers le bas par plusieurs facteurs dont un regain de vigueur du dollar, les investisseurs attendant par ailleurs davantage d'éléments sur la future politique américaine vis-à-vis de l'Iran. Lundi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars abandonnait 0,13% à Londres par rapport à la clôture de vendredi, à 55,03 dollars. Le baril américain de WTI pour le mois de février lâchait de son côté 0,02% à 52,35 dollars Les cours des deux contrats de référence du brut ont terminé la semaine passée sur une séance de forte baisse, de plus de 2% vendredi, après avoir touché deux jours plus tôt des plus hauts depuis la fin du mois de février 2020, à respectivement 57,42 dollars et 53,93 dollars le baril. Les prix du pétrole "restent sous pression", a constaté Eugen Weinberg, analyste. "
  • 17-01-2021
    -La société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz) suspend l’approvisionnement en électricité et en gaz aux clients n’ayant pas encore payé leurs dettes et ce, à partir de ce ce lundi 18 janvier 2021, a annoncé la chargée de communication Fatma-Zohra Zerrouki à la Radio nationale. Cette mesure de coupure concerne toutes aussi les entreprises publiques que les ménages, a-t-elle fait savoir. Dans sa déclaration, elle a rappelé que les dettes de la société ont atteint 160 milliards de Da, dont 53% de créances chez les clients privés et 47% chez l’administration publique. Mme Zerrouki a précisé que la coupure de l’alimentation en électricité et en gaz concerne tous ceux qui cumulent des antécédents de 4 factures. Elle a affirmé que la campagne de sensibilisation lancée en octobre 2020 « a participé à la prise de conscience chez plusieurs clients » qui se sont rapprochés des agences de la société pour régler leurs dettes................................................................................................................................................. --Le P-DG de Sonatrach , Toufik Hakkar, a assuré dimanche, qu’en matière d’activités opérationnelles, la production et les ventes connaitront, en 2021, une croissance grâce notamment à la mise en production des gisements périphériques de Gassi Touil et Hassi Bir Rekaiz ainsi que la montée en cadence de la production au niveau de Tinrhert et l’achèvement du Boosting Hassi R’Mel pour la zone Nord. Dans un message de vœux aux collectifs à l’occasion de la nouvelle année 2020, le P-DG a tracé la feuille de route de l’entreprise pétroliére et gaziére pour l’année en cours . « Au moyen terme, nous continuerons à satisfaire les besoins croissants du marché national, qui atteindront 70 millions TEP à partir de 2024, tout en maintenant un niveau d’export au-dessus de 90 millions TEP annuellement, grâce à la mise en production de nouveaux gisements dans les régions Sud-Ouest et Sud-Est », assure le responsable. En outre , le programme d’investissement de Sonatrach, pour les cinq prochaines années, s’élèvera à 40 milliards de Dollars, dont 51% en da « traduisant la mise en œuvre de notre politique de promotion du contenu local, ayant constitué un axe hautement stratégique durant cette année, avec la volonté tangible de SONATRACH, de s’inscrire dans une démarche intégrative des Entreprises nationales quant à la réalisation de ses projets, leur garantissant ainsi des plans de charge et permettant au pays, des économies importantes en devises » , poursuit le P-DG. Dans son message, M. Hakkar n’a pas manqué d’évoquer l’impact de la pandémie du Coronavirus. « SONATRACH a notamment été impactée en matière de délais de réalisation de projets, suite aux restrictions sur le déplacement des personnes et sur le transport aérien et maritime, induisant la perturbation des activités d’approvisionnement et de construction durant le premier semestre 2020 », relève le P-DG. Toutefois, Sonatrach a réussi la réalisation de 18 nouvelles découvertes, avec un taux de succès nettement plus élevé qu’en 2019, ainsi que la mise en service d’importants projets et infrastructures gazières, qui nous permettront de continuer à honorer nos engagements tant sur le marché national qu’auprès de nos clients étrangers et parmi lesquels je citerais, le gisement gazier de Tinrhert, le Boosting Hassi R’mel pour les Zones Sud et Centre, le Boosting Hamra, le gazoduc. Le P-DG a rendu à l'occasion hommage à ses cadres et fonctionnaires . "Sur le plan financier , Sonatrach a clôturé l'exercice 2020 avec un résultat bénéficiaire et ce malgré les conséquences négatives de la crise sanitaire. Ceci est le fruit des efforts consentis par l’ensemble de nos collectifs et par l’Entreprise à travers, notamment, la réduction des dépenses d’exploitation et d’investissement", écrit-il dans son message .
  • 15-01-2021
    -Le prix du pétrole Brent devrait augmenter progressivement au cours des cinq prochaines années pour atteindre 62 dollars le baril en 2025. C’est ce que relève l’IFP Énergies nouvelles (Ifpen) dans son dernier “tableau de bord” sur les marchés pétroliers. “Pour 2021, la valeur médiane du consensus Bloomberg pour le prix du Brent est de 50 dollars le baril. Les économistes interrogés par l'agence de presse américaine prévoient une augmentation progressive du prix du Brent au cours des cinq prochaines années pour atteindre 62 dollars le baril en 2025”, indique l’institut de recherche français dans les domaines de l'énergie, du transport et de l'environnement. Dans son analyse, l’IFP Énergies nouvelles a constaté qu’en moyenne hebdomadaire, le Brent, sur le marché à terme de Londres, a gagné la semaine dernière 2,6 dollars le baril, soit une hausse de 5,1%. Le WTI suit la même tendance et gagne sur la semaine 2,1 dollars le baril, soit une progression de 4,4%. “La structure des prix du Brent en déport ou ‘backwardation’ s'intensifie, signe que le marché pétrolier se resserre et le nombre de positions longues nettes est en hausse de 2,6% sur la semaine”, souligne l’institut de recherche français.
  • 14-01-2021
    -Les prix du pétrole évoluaient proches de l'équilibre jeudi, au lendemain de nouveaux records en dix mois et demi et de la publication par l'EIA de données sur les stocks de brut aux Etats-Unis en demi-teinte. Jeudi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars s'appréciait de 0,16% à Londres par rapport à la clôture de la veille, à 56,15 dollars. Le baril américain de WTI pour le mois de février gagnait de son côté 0,17% à 53,00 dollars. Les cours du brut "sont en phase de consolidation après leurs récents gains, qui les ont fait grimper à leur plus haut niveau depuis que l'épidémie de coronavirus a détruit la demande", a constaté Carlo Alberto De Casa, analyste. La veille, les cours des deux contrats de référence sont respectivement montés à 57,42 dollars et 53,93 dollars le baril, une première depuis les prémices de la pandémie de Covid-19 à la fin du mois de février dernier, avant de reculer en milieu de séance. Ils restaient jeudi près de 10% supérieurs à leur niveau du début d'année 2021. Les investisseurs digéraient par ailleurs les données sur les réserves de pétrole brut aux Etats-Unis, qui ont baissé de 3,2 millions de barils la semaine passée, selon un rapport de l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) diffusé mercredi………………………………………………………………. -La production mondiale de gaz naturel a reculé de 3,6% en 2020 pour atteindre 3918 milliards de mètres cubes, résultant de la faiblesse des investissements dans l’amont et de la baisse des cours du pétrole, a rapporté jeudi l'agence d'information économique africaine "Ecofin". S'appuyant sur le rapport du cabinet norvégien d’analyses de données pétro-gazières Rystad "Gas Year 2020 Review" publié récemment, l'agence a précisé que les Etats-Unis et le Canada ont enregistré la plus grande récession, avec une chute de 47 milliards de mètres cubes de leur production par rapport à 2019. Ecofin a indiqué que le gaz est resté, néanmoins, "compétitif" et "protégé" par des prix déjà "relativement bas" et une demande qui n'a reculé que - 2,5 % pour atteindre 3840 milliards de mètres cubes. A ce titre, l’Europe a baissé sa demande de près de 7%, comparativement à 2019, ce qui correspond, selon la même source, à environ 40 milliards de mètres cubes. L’Afrique a commandé 26 milliards de mètres cubes en moins qu'en 2019, a ajouté l'agence. La demande des pays de l'Asie est restée "relativement élevée" sur l’ensemble de l’année, soit +4 %, a mentionné Ecofin, justifiant cela par une reprise plus rapide des économies de ces contrées, menée par la Chine, alors que d'autres territoires de la région ont constitué des stocks et remplacé le charbon, profitant de la faiblesse des prix du gaz. L'agence a signalé que les transactions mondiales de GNL ont augmentées de 3% pour atteindre 363 millions de tonnes. La capacité mondiale de liquéfaction a grimpé, pour sa part, de 5% pour afficher 464 millions de tonnes par an, à la faveur du lancement de plusieurs projets aux Etats-Unis (Cameron, Corpus Christi, île d’Elbe et Freeport). La capacité de production américaine de GNL a, ainsi, connu un croissance de +42 % en 2020, atteignant 71 millions de tonnes par an, dépassant de loin celle de la Russie étant de 29 millions de tonnes par an, a relaté Ecofin. Le rapport de Rystad prévoit une augmentation de 24% de la production mondiale de gaz naturel pour atteindre 4857 milliards de m3 en 2040, précisant que les Etats-Unis, la Russie et le Moyen-Orient porteront cette hausse. La capacité mondiale de liquéfaction devrait, selon la même source, grimper de 91% en 2040 par rapport à l'année écoulée, totalisant 886 millions de tonnes par
  • 07-01-2021
    -Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse jeudi et retrouvaient des sommets plus atteints depuis fin février 2020, soutenus par une offre contenue des membres de l'Opep+ et la perspective d'un plan de relance américain après la victoire des démocrates dans l'Etat de Géorgie. Jeudi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars gagnait 0,20% à Londres par rapport à la clôture de la veille, à 54,41 dollars, peu après avoir touché 54,90 dollars, un prix plus vu depuis le 26 février 2020. Le baril américain de WTI pour le mois de février grimpait de son côté de 0,55% à 50,91 dollars après avoir atteint son plus haut depuis le 25 février à 51,28 dollars. La hausse des deux cours de référence "se poursuit, bien qu'à un rythme plus lent que la session précédente", a observé Craig Erlam, analyste. "Les marchés du pétrole continuent de se nourrir de la réduction unilatérale de sa production d'or noir par l'Arabie saoudite, à laquelle vient s'ajouter la victoire des démocrates en Géorgie", a-t-il continué. A l'issue du premier sommet des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de leurs partenaires mardi, le chef de file saoudien a annoncé une coupe volontaire et supplémentaire par rapport à l'accord en vigueur d'un million de barils par jour en février et mars, de quoi rassurer le marché alors que la reprise de la demande reste fragile.(Avec agences)
  • 06-01-2021
    -Les prix du pétrole continuaient leur ascension mercredi, atteignant des plus hauts depuis fin février, au lendemain de l’annonce d’une coupe importante de l’Arabie saoudite dans sa production d’or noir tandis que le reste de l’Opep+ n’augmentera la sienne qu’à la marge les mois prochains. Vers 10H35 GMT (11H35 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars gagnait 1,58% à Londres par rapport à la clôture de mardi, à 54,50 dollars, peu après avoir touché 54,63 dollars, un prix plus vu depuis le 26 février 2020. Le baril américain de WTI pour le mois de février grimpait de son côté de 1,08% à 50,47 dollars après avoir atteint son plus haut depuis le 25 février à 50,59 dollars.
  • 05-01-2021
    -Les cours des deux contrats de pétrole brut de référence bondissaient mardi dans un marché très sensible aux bruits autour des discussions en cours au sein de l'Opep+ qui pourraient se conclure par un maintien des coupes de production actuelles en février. Dans l'après midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars gagnait 3,64% à Londres par rapport à la clôture de lundi, à 52,95 dollars. Le baril américain de WTI pour le mois de février grimpait de son côté de 4,41% à 49,72 dollars. Celui-ci porterait sur le maintien en février du niveau actuel des quotas de production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de ses alliés, réunis sous la bannière Opep+, et non l'ouverture de leur robinet d'or noir comme aussi envisagé. Lundi, les ministres de l'alliance s'étaient quittés divisés entre une approche prudente, qui passe par le maintien en l'état des coupes actuelles, et la tentation de réinjecter jusqu'à 500.000 barils quotidiens sur le marché le mois prochain, à l'image de ce qui avait été décidé en décembre pour janvier. Le WTI et le Brent se rapprochent par ailleurs de leurs précédents records en dix mois atteints lundi à l'entame de la première séance de l'année, à respectivement 39,83 et 53,33 dollars le baril……………………………………………………………….. -Les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliées, ont décidé mardi de maintenir leurs niveaux de production actuels, en février et mars, mais ont accordé une exception à la Russie et au Kazakhstan, a indiqué le ministre de l’Energie Abdelmadjid Attar. "Après un long débat et des concertations qui ont duré prés de 24h, les membres de l’Opep+ ont décidé d’écarter la possibilité d’augmenter la production globale du groupe de 500.000 barils/jour, mais ont accordé une exception à la Russie et au Kazakhstan, qui peuvent augmenter leurs productions de, respectivement, 65.000 barils/jour et 10.000 barils/jour", a déclaré A. Attar à la presse à l’issue de la réunion. Cette augmentation exceptionnelle d’un total de 75.000 barils/jour a été décidée en prenant en considération les besoins énergétiques croissants durant la période d’hiver dans ces deux pays, explique le ministre. Ces 75.000 barils/jour seront déduits ultérieurement des quotas de la Russie et du Kazakhstan, si l’Opep+ décide d’augmenter sa production lors des prochaines réunions. En outre, l’Arabie saoudite s’est engagée "volontairement" à compenser cette augmentation et même d’approfondir la baisse actuelle de l’Opep+ afin de stabiliser le marché mondiale de brut. A. Attar a salué, à cette occasion, l’initiative saoudienne, "sans laquelle il n’y aurait pas eu d’accord" et qui permettra de "maintenir l’équilibre du marché et protège les intérêts de tous les producteurs". Dans ce sens, le ministre a fait remarquer que cette décision qui sera annoncée officiellement par les Saoudiens durant les prochains jours, a déjà eu son impact positif sur le marché avec un prix de Brent qui a dépassé les 53 dollars le baril. Les ministres de l’Opep+ devront tenir leur prochaine réunion mars prochain afin d’examiner les évolutions sur le marché pétrolier et discuter un éventuel ajustement des niveaux de production pour le mois d’avril. Pou rappel, les ministres de l’Opep+ ont décidé lors de leur réunion tenue début décembre dernier, d’augmenter la production globale des 23 pays du groupe de 0,5 million de barils/jour, à partir de janvier 2021. Ainsi, le volume retiré du marché devient 7,2 millions de barils/jour contre 7,7 millions de barils/jour fin 2020